Le régiment reçoit son numéro par décret du , en prévision de la mobilisation[1].
Il est formé à Rouen du 3 au conformément aux prescriptions de la mobilisation générale. Après avoir achevé son organisation et complété son instruction, il embarque à destination du front le [2].
Le 21e R.I.T. est dissous le . Ses 1er et 2e bataillon sont transformés en bataillons de pionniers. Les compagnies de mitrailleuses sont incorporées au sein du bataillon de mitrailleuses du 9e Corps d'armée[3].
Chefs de corps
- : lieutenant-colonel Jean-Marie Durand (tué à l'ennemi).
- : lieutenant-colonel Louis-François-Émile Angelby (tué à l'ennemi).
- : chef de bataillon Casanova (par intérim).
- : lieutenant-colonel Maurice-Victorin Prat (mortellement blessé, mort à l'ambulance le soir même).
- : lieutenant-colonel puis colonel Claude-Ennemond Clément.
- : lieutenant-colonel Charles-Emmanuel de Laage de Chaillou.
Historique des garnisons, combats et batailles du 21e RIT