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Régulièrement invitée par les médias belges francophones, elle s'est spécialisée dans le financement public des cultes.
Biographie
De père suisse et de mère belge, Caroline Sägesser passe son enfance à Zurich, puis à Montreux. Au début des années 1980, ses parents divorcent. Elle s'installe avec sa mère en Belgique.[réf. nécessaire]
Elle étudie l'histoire à l'ULB. Diplômée, alors qu'elle envisage une thèse de doctorat sur « la puissante influence de la culture américaine dans la Belgique de l’après-guerre », elle obtient dans ce cadre une bourse pour partir étudier un an aux USA. Elle y apprend le récit des discriminations dont avaient été victimes les noirs, les femmes et les homosexuels. Déphasée par rapport aux normes bruxelloises, l'historienne abandonne son doctorat et ouvre une bouquinerie sur la place des Acacias à Etterbeek.[réf. nécessaire]
Xavier Mabille, directeur du Centre de recherche et d'information socio-politiques, devient un client très régulier du commerce. En 1997, il invite la patronne à postuler comme chercheuse dans son organisme. Elle y travaille jusqu'en 2009. Elle retourne alors à l'ULB pour passer son doctorat en histoire sur le sujet du « financement public des cultes »[1]. Après plusieurs années académiques, Caroline Sägesser ne parvient pas à obtenir un salaire lui permettant de vivre en tant que mère de famille. En raison de son âge, elle estime plus prudent de retourner chez son ancien employeur le CRISP[2].
À partir du milieu des années 2010, les médias belges francophones et ses journalistes politiques présentent Caroline Sägesser comme une « politologue ». Selon elle : « À cette époque, il était devenu souhaitable de mettre les femmes en avant comme expertes. Cela a clairement joué en ma faveur (...) j’ai bénéficié de cette conjoncture où l’on cherchait des voix féminines[3]. »
Ses principaux centres d’intérêts concernent l'histoire du fonctionnement des institutions et des politiques publiques en matière de faits religieux[4].
Elle a publié aux éditions du Centre d’Action Laïque : Le prix de nos valeurs. Financer les cultes et la laïcité en Belgique (2010) et Le vivre ensemble à l’école. Plaidoyer pour un cours philosophique commun (avec Patrick Loobuyck, 2014)[11]. Elle a également participé avec Jean Faniel et Pierre Blaise au livre Introduction à la Belgique fédérale.