Pour Billy-Montigny : Cailleret (4 dont 2 penalties), A. Nita (3 dont 2 penalties), Ferrand (3), Rada (2), Parrat (2), Revelant (2), Louis (1). Gardiens : Majchrzyk
Pour Dijon : Bornot (5 dont 1 penalty), Bourgeois (5), A. Sellenet (4), Alba (1 penalty), J.-F. Nubourg (1). Gardien : B. Sellenet.
Pour Dijon : Alba (5 dont 2 penalties), A. Sellenet (4), Bornot (4 dont 1 penalty), Bourgeois (3), Picoche (2), J.-F. Nubourg (1). Gardiens : B. Sellenet et Lacroute
Pour Billy-Montigny : Cailleret (7 dont 3 penalties), A. Nita (4 dont 1 penalty), Revelant (3), Rada (1), Ferrand (1). Gardiens : Majchrzyk.
Arbitres : MM. Gregori et Dockwiller.
Finale
Tout le monde s'accorde pour dire que le PUC a fait une saison exemplaire, que son jeu est solide, pensé, plaisant et efficace, et qu'il était le favori logique de cette Finale du Championnat de France. Et pourtant, il n'a pu décrocher le titre. C'est le CSL Dijon, dont les chances de qualification à mi-saison paraissaient bien incertaines, qui a remporté à l'ultime seconde et après prolongations (16-15), son premier titre de Champion de France division Nationale[5]. Victoire de l'improvisation sur l'application du désir de vaincre sur la connaissance du jeu, du dépassement de soi-même ? Un peu de tout cela, mais victoire surtout d'une équipe qui a su et pu bénéficier, le jour J, du talent d'un homme, le gardien de buts Bernard Sellenet, qui a dominé partenaires et adversaires.