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Matières enseignéesSection A
En outre, les étudiants peuvent suivre des cours de grec ancien. Ces cours s'ajoutent au tronc commun en première année, et peuvent se substituer au thème latin en fin de seconde année[1],[2]. Section B
Lycées Compte tenu du petit nombre de places mises au concours — 12 pour la section A et 8 pour la section B en 2015 — seuls trois lycées ont chacun deux divisions (une de première année, une de seconde année) qui préparent les deux sections (A et B) de ce concours. Par ordre alphabétique des villes, ce sont :
Sept autres établissements proposent une préparation à la section B du concours, mais ne disposent pas de classes de plein effectif ; les élèves sont intégrés dans des khâgnes :
En outre, le lycée Henri-IV à Paris ouvre aux khâgneux des autres lycées parisiens ou franciliens ses enseignements de préparation aux deux épreuves de la section B (histoire médiévale et histoire moderne) qui n'existent pas aux concours des ENS. Folklore étudiantLa plupart des lycées comprenant ces filières sont dotées de classes dotées d'un fort esprit de groupe et d'un folklore estudiantin vivace, héritage goliard, depuis au moins les années 1960 : la classe préparatoire du lycée Pierre-de-Fermat est « dirigée » par une oligarchie nommée le « divin bhural ». Folklore « chartistique » à Henri-IVLa classe préparatoire du lycée Henri-IV était divisée en titres nobiliaires parodiques où aboutissent le roi, la reine et le « pape de Chartes ». Ce « folklore » n'a plus lieu depuis 1998 au titre de la loi anti-bizutage. Folklore à Pierre-de-FermatLa classe préparatoire du lycée Pierre-de-Fermat reprend de façon parodique les titres nobiliaires et politiques de l'Ancien Régime, bien que celle-ci n'ait pas de roi. Toute l'histoire de son folklore est compilée depuis sa création en 1964 dans ses archives, véritables reliques de la classe, faisant de la classe du lycée Pierre-de-Fermat celle avec les archives les plus anciennes. Références
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