En 1950, il monte à nouveau en loge sans succès avec pour sujet : Dans la nature des jeunes filles expriment le retour du Printemps. Il se lie d'amitié avec quelques concurrents des ateliers voisins[Notes 1]. Il est lauréat de la 21e promotion (1950 - 1951)[2] de la Casa de Velázquez à Madrid[3],[4]. Il y a peint des portraits de femmes espagnoles.
Claude Petitet est cité dans l'ouvrage "Études Normandes, la Normandie intellectuelle" (Pierre Sement, 1955) comme un "jeune qui promet, prix de Rome de peinture, installé depuis deux ans à Caen"[5].
Il expose régulièrement dans les Salons parisiens. Il reçoit et exécute des commandes privées, comme celles de la famille Boisgibault[6] et ses œuvres font l'objet d'enchères dans les ventes publiques.
Collection privée : portraits de Louis Boisgibault, gouache signée réalisée au domicile de l'enfant, dans le 17ème arrondissement de Paris, en 1969, puis de sa sœur et de son frère ultérieurement, dans un format plus petit.
Ventes aux enchères à Drouot : Kerbourg et autres aquarelles et gouaches signées[7].
Jean-Marc Delaunay, Des palais en Espagne. L'École des hautes études hispaniques et la Casa de Velázquez au cœur des relations franco-espagnoles du XXe siècle (1898-1979), éditions de la Casa de Velázquez, 1994, 670 p.
Alain Valtat, Catalogue Raisonné du Peintre Geoffroy Dauvergne (1922-1977), préface de René Quillivic, introduction de Mickaël Compagnion, Sceaux, Lévaña (auto-édition), 1996, pp. 25-28.