d’argent au chevron ondé d’azur accompagné en chef à dextre d’une épée et à senestre d’une crosse posées dans le sens du chevron et en pointe, d’une hache consulaire, le tout de gueules, chaperonné de sinople aux deux abeilles d’or.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans.
Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[7]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[8],[Note 1].
En 2013, la commune comptait 897 habitants, en évolution de +2,87 % par rapport à 2008 (Eure : +2,66 %, France hors Mayotte : +2,49 %).
Le parc du domaine du château[11]. C'est le paysagiste Achille Duchêne qui a dessiné et réalisé le parc.
Église Saint-Martin
Personnalités liées à la commune
La famille de Péricard, qui a donné plusieurs évêques, a l'un de ses membres qui y est décédé (François de Péricard, évêque d'Avranches). Le château servit de résidence d'été aux évêques d'Évreux.
↑Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
↑ Découverte et exploration d'une villa agraria romaine, près de Condé-sur-Iton (Eure) [1]
↑Marie Casset, « Le manoir des évêques d’Évreux à Condé-sur-Iton », dans Les Évêques aux champs : Châteaux et manoirs des évêques normands au Moyen Âge (xie-xve siècles), Presses universitaires de Rouen et du Havre, (DOI10.4000/books.purh.7145), alinéa 1.