Nadège Lefebvre avait elle-même élue sénatrice lors de ce scrutin[2], mais a préféré opter pour le mandat départemental et a donc démissionné de son siège au Sénat, où elle n'a siégé qu'un mois[3].
Les présidents
Liste des présidents successifs du conseil général puis départemental
↑Patrick Caffin, « Sénatoriales dans l’Oise : la droite l’emporte, la gauche arrache un siège : La liste d’Edouard Courtial (LR) l’emporte avec 32,95 % des voix devant celles d’Olivier Paccaud (17,65 %) et de Laurence Rossignol (PS) (16,24 %). Alain Vasselle (LR) et Sophie Reynal (LREM) n’ont aucun siège », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le )« Le département aura trois sénateurs républicains, avec Edouard Courtial, Nadège Lefèbvre et Olivier Paccaud. Et la gauche, un seul, avec Laurence Rossignol ».
↑Patrick Caffin, « Oise : à droite, de qui se moque-t-on ? : Nadège Lefèbvre doit être élue présidente (LR) du département ce mercredi. Un poste laissé vacant par son prédécesseur, Edouard Courtial, qui ne jurait que par l’Oise avant de redevenir parlementaire à Paris », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Cuvinot Paul », Anciens sénateurs IIIe République, sur senat.fr (consulté le ).
↑« La maison Cuvinot rasée, c’est un bout d’histoire de Clermont qui disparaît : La décision a été prise dans le cadre des travaux de rénovation et d’agrandissement du centre hospitalier », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Chovet Alphonse », Anciens sénateurs IIIe République, sur senat.fr (consulté le ).
↑Jean-Yves Bonnard, « Ernest Noël, sénateur-maire de Noyon (1re partie) Les conquêtes politiques : Le 13 janvier 1931, le président du Sénat Paul Doumer rendait un hommage solennel à la
mémoire d’Ernest Noël décédé le 25 décembre 1930 : « Il n’a jamais eu d’autre préoccupation
que de servir l’intérêt public ». Quelques mois plus tard, devenu président de la république, il accepta de parrainer le comité d’honneur formé pour ériger un monument en l’honneur de l’illustre Noyonnais. Jules Magnier, alors maire de Noyon, lança un appel à la générosité de ses concitoyens : « C’est pour la ville de Noyon un devoir et un honneur d’attirer votre attention sur la vie exemplaire du grand Citoyen et du grand Français qui vient de disparaître, M. E. Noël, et de faire appel à vos sentiments de justice et de gratitude pour perpétuer la mémoire de cet homme de bien ». », Vivre Noyon, no 36, , p. 16 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
↑« Oise : Edouard Courtial (UMP) élu président du conseil départemental », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le )« Sans surprise, Edouard Courtial, le chef de file de l'UMP, vient d'être élu à la présidence. Le maire d'Agnetz recueille 30 voix en sa faveur. Michel Guiniot, le leader noyonnais du FN et l'un des deux représentants du Front national à avoir remporté un canton (avec Jean-Paul Letourneur à Crépy-en-Valois) est crédité de 4 voix ».
↑« Conseil départemental de l'Oise : la succession d’Édouard Courtial est ouverte », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
↑Benjamin Merieau, « Jean-Louis Aubry, ancien conseiller départemental et président de l’AS Beauvais-Oise, n’est plus », Le Courrier picard, édition Environs de Beauvais, (lire en ligne, consulté le )« Figure du PS dans l’ouest de l’Oise, Jean-Louis Aubry est décédé ce jeudi 28 novembre. L’homme avait notamment été élu vice-président du conseil général chargé du tourisme et des loisirs en 2004, ce qui l’avait fait démissionner de la présidence du club de football de l’AS Beauvais Oise ».
J. Mermet, « La naissance du conseil général de l'Oise », Bulletin de la Société historique de Compiègne, t. XXIV, , p. 179-188 (lire en ligne, consulté le ), sur Gallica.