Au cœur du Far West, Cat Stevens, joueur confirmé de poker, a tué le célèbre brigand Bill San Antonio lors d'un duel. Un jour, une attaque de train se produit et le seul survivant décrit l’agresseur comme étant Bill San Antonio. Une cargaison d’or a également été volée lors de l’attaque. Hutch Bessy, qui travaille pour une compagnie d’assurance, se rapproche de Cat Stevens afin qu'ensemble ils retrouvent Bill et le magot.
Fiche technique
Titre : Dieu pardonne... moi pas !
Autres titres francophones : Trinita ne pardonne pas et Même à l'ombre le soleil leur a tapé sur la tête[1]
Dieu pardonne… moi pas ! marque la rencontre entre Terence Hill et Bud Spencer. Mais les deux hommes ne forment pas leur duo dans l'immédiat.
Le rôle de Cat Stevens devait à l'origine être tenu par Peter Martel. Celui-ci s'étant cassé une jambe (vraisemblablement à la suite d'une dispute conjugale), il fut remplacé au pied levé par Mario Girotti qui joue pour la première fois sous le pseudonyme de Terence Hill.
Le titre du film devait à l'origine être « Le chien, le chat et le renard », animaux qui correspondent respectivement à Bud Spencer, Terence Hill et Frank Wolff. On note d'ailleurs chez le personnage de Terence Hill de nombreuses références au chat, comme son aquaphobie.
Tout comme Clint Eastwood et Franco Nero, Terence Hill interprète un pistolero taciturne, mal rasé, aux yeux bleus, qui fume un petit cigarillo toujours planté au coin de sa bouche et qui est fin tireur.
Le film n'est sorti en France qu'en 1972. En 1977, pour des raisons d'exploitation du succès des Trinita, le film ressort sous le titre Trinita ne pardonne pas. Par ailleurs, Frank Wolff (Bill San Antonio) a mis fin à ses jours sept mois avant la sortie sur les écrans français.