Festival du Tatouage de Chaudes-Aigues
Le Festival du Tatouage de Chaudes-Aigues, également appelé Cantal Ink, Festival du Tatouage, Festival International du Tatouage de Chaudes-Aigues ou, anciennement, Cantal In'k the Skin, est une convention de tatouage organisée dans la commune de Chaudes-Aigues, dans le Cantal[2]. HistoireLe Festival du Tatouage de Chaudes-Aigues est organisé par le tatoueur réaliste Stéphane Chaudesaigues[2]. La première édition a eu lieu les vendredi 5 juillet, samedi 6 juillet et dimanche 7 juillet 2013[2]. La ville de Chaudes-AiguesLe Cantal Ink a lieu dans la ville de Chaudes-Aigues, commune française située dans le département du Cantal, en région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle doit sa notoriété à sa source d’eau chaude, baptisée source du Par[3]. Tatoueurs présentsParmi les tatoueuses et tatoueurs présent(e)s aux différentes éditions du Festival du Tatouage de Chaudes-Aigues figurent des représentant(e)s du tattoo international[4] comme Hannah Aitchison, Nikko Hurtado, Jeff Gogue, Shane O'Neill et Joe Capobianco[1]. Éditions1re édition - 2013La première édition du Cantal Ink s’est étalée du vendredi 5 au dimanche 7 juillet 2013[2]. 2e édition - 2014La deuxième édition du Festival International du Tatouage de Chaudes-Aigues a eu lieu du vendredi 4 juillet 2014 au dimanche 6 juillet 2014[1], avec la présence de Bruno Cuzzicoli, le tatoueur qui a ouvert la première boutique de tatouage en France dans les années 1960[5]. 3e édition - 2015Le mercredi 28 janvier 2015, Stéphane Chaudesaigues annonce sur le site officiel de l’événement, le report du prochain volet[6]. Au même endroit, un événement de soutien est organisé en remplacement et est baptisé Tatouage au Village[7]. 4e édition - 2016Les 2 et 3 juillet 2016, le Cantal Ink fait son retour[8]. Y participent notamment le tatoueur japonais Honda Tsuyoshi et la tatoueuse finlandaise Säde Sonck[9]. 5e édition - 2017La 5e édition se déroule du samedi 1er au dimanche 2 juillet 2017 avec, notamment, la présence du tatoueur américain Joshua Carlton[10]. Quelques jours plus tard, Stéphane Chaudesaigues déclare au journal La Montagne : « Cette édition était la plus belle, je me demande si, faute de soutien, je ne vais pas arrêter sur celle-là »[11]. Liens externesNotes et références
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