Peintre d'Histoire et portraitiste, il reçut lors de sa première exposition au Salon de 1804 la grande médaille du Salon. Il fut l'assistant de son maître pour la réalisation du portrait de Napoléon en costume impérial destiné à la ville de Gènes. Le rejet de ce portrait par Napoléon, qui le considérait comme mauvais, fut imputé à Devillers qui selon Auguste Jal, aurait fait un travail médiocre[1].
Paris, Cour des comptes, Un Portrait de Napoléon Ier, provenance: préempté par la Direction des musées de France, lors d'une vente aux enchères à l'hôtel Drouot le , où le tableau était présenté comme de C. de Villers.
Saint-Maur-des-Fossés, musée municipal, Énée sauvant son père de l'embrasement de Troie, huile sur toile, 2,81 × 3,05.
Bibliographie
Le dictionnaire artistique Gabet dresse une liste de ses envois et cite une autre adresse parisienne: 7, rue de Caumartin, voir [1].
Saskia Hanselaar, « La redécouverte d'une œuvre de Jean Georges Devillers (vers 1779-1839), élève de David : Énée sauvant son père de l'Embrasement de Troie », Les Cahiers d'histoire de l'Art, 2012, no 10.
Fortune Critique
L'écrivain Henri Troyat le cite dans son roman La Femme de David.