Les dates de son épiscopat ne sont pas précisément connues. Cependant Bligny (1979), dans son ouvrage sur le diocèse de Grenoble, propose de l'année 573 à 601/8[8]. Cette période est également retenue par Odette Pontal (1989)[5],[6].
Il fait partie des évêques réunis à Poitiers devant se prononcer sur les sœurs de l'abbaye Sainte-Croix[3],[4], qui s'étaient révoltées entre 589 et 590.
Duchesne (1907), s'appuyant sur une vita de Saint Arey, évêque de Gap, indique qu'il semble mourir peu de temps après le saint, soit au plus tôt en 601[3].
Références
↑Jules Marion, « Cartulaires de l'église-cathédrale de Grenoble, dits Cartulaires de saint Hugues », Bibliothèque de l'École des chartes, vol. 32, no 1, , p. 61, 107 (lire en ligne, consulté en ).
↑ a et bOdette Pontal, Histoire des conciles mérovingiens, Paris, CNRS - Cerf - Institut de Recherche et d'Histoire des Textes, , 428 p. (ISBN978-2-20403-191-2), p. 291 (pp. 156-159dans la version en allemand).
↑ a et bOdette Pontal, Histoire des conciles mérovingiens, Paris, CNRS - Cerf - Institut de Recherche et d'Histoire des Textes, , 428 p. (ISBN978-2-20403-191-2), p. 291 (pp. 161-167dans la version en allemand).
↑Odette Pontal, Histoire des conciles mérovingiens, Paris, CNRS - Cerf - Institut de Recherche et d'Histoire des Textes, , 428 p. (ISBN978-2-20403-191-2), p. 291 (pp. 160-161dans la version en allemand).
Louis Duchesne, Fastes épiscopaux de l'ancienne Gaule. Provinces du Sud-Est (tome premier), Paris, Albert Fontemoing. Anc. Thorin et fils, , 2e éd. (lire en ligne), notamment pp. 371-372.