Le Peintre de la vie moderneLe Peintre de la vie moderne est un recueil d'essais de Baudelaire, traitant du peintre et dessinateur Constantin Guys. L'oeuvre vise principalement à théoriser l'esthétique de l'impression instantanée et de la modernité. Cette étude a été publiée en trois épisodes, les 26 et et le , par Le Figaro, et en 1869 dans L'Art romantique. Constantin Guys et BaudelaireBaudelaire découvre Guys et son oeuvre en 1859, année où il achète plusieurs de ses dessins. En 1861, il communique au ministère d'Etat un album de dessins de Guys pour aider celui-ci à obtenir une indemnité, mais l'ensemble de sa collection (2000 dessins) est saisie à cause de ses problèmes financiers[1]. Il lui dédie le poème Rêve parisien et lui offre un exemplaire de la deuxième édition des Fleurs du mal avec l'envoi suivant : "Témoignage d'amitié et d'admiration"[1]. Guys est tant attaché à son anonymat qu'il se querelle avec Baudelaire lorsque celui-ci annonce son projet de lui rendre hommage dans un essai :
Baudelaire et Guys flânent parfois ensemble à Paris ; on les voit ensemble au Casino, et peut-être dans des maisons closes[1]. Contenu
AnalyseLe texte de Baudelaire est bien plus qu'une simple critique de Constantin Guys :
Les idées transmises dans Le peintre de la vie moderne ont été rapprochées de celles qu'on trouve dans son poème Le Cygne et À une passante. [2] AnnexesRéférences
Articles connexesLien externe
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