Le Pouget est une commune rurale qui compte 2 101 habitants en 2022, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier. Ses habitants sont appelés les Pougétois ou Pougétoises.
Géographie
Le Pouget, situé en hauteur, se prolonge aux côtes de deux vallées: celle d'Aumelas, et celle de Clermont-l'Hérault. Son centre se trouve à l'entrée de la circulade médiévale. Assez étendu, le centre commence dès la première entrée de la circulade jusqu'à l'école primaire. Une terre favorable à la monoculture de la vigne y est présente, constituée d'argile. Les accès au villes sont contraignantes, par la petite route d'Aumelas (où fréquemment des accidents se produisent), et la départementale gignacoise. Le fleuve l'Hérault est situé à 2 kilomètres à peine du centre par un accès facile.
En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 744 mm, avec 6,4 jours de précipitations en janvier et 2,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-André-de-Sangonis à 7 km à vol d'oiseau[3], est de 15,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 652,4 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 1[Note 1] est recensée sur la commune[7] :
la « rivière de l'Hérault de Gignac à Canet » (317 ha), couvrant 8 communes du département[8] et une ZNIEFF de type 2[Note 2],[7] :
le « cours moyen de l'Hérault et de la Lergue » (976 ha), couvrant 22 communes du département[9].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 au Pouget.
Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Au , Le Pouget est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1].
Elle appartient à l'unité urbaine de Le Pouget[Note 3], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[I 2],[I 3]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[I 3]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 4],[I 5].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (90,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
cultures permanentes (74,1 %), zones agricoles hétérogènes (14,4 %), zones urbanisées (7,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,7 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,7 %)[10]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Hérault et le ruisseau de Rouvièges. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1994, 1997, 2002, 2003, 2014 et 2019[13],[11].
Le Pouget est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 5],[14].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 894 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 893 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 85 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[15],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[16].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[17].
La commune est en outre située en aval du Barrage du Salagou, un ouvrage de classe A[Note 6] sur le Salagou, mis en service en 1968 et disposant d'une retenue de 102 millions de mètres cubes. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[19].
Toponymie
La commune a été connue sous les variantes : ecclesiam S. Albani que vocant Pojet (990), in Poieto (vers 1005), lo castel del Pojet (1059), castro de Pojeto (1114), del Pouget (1529), etc.
Le nom Pouget dérive de l'occitan pojet = petite colline[20].
Histoire
La commune possède l'une des plus belles allées couvertes du département, monument funéraire préhistorique construit par les néolithiques (en photo) .
Village connu pour sa circulade du Moyen Âge qui accueillit en son temps le roi Louis XIV.
Politique et administration
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1790
1791
Antoine Bonniol
1791
1792
Joseph Darlay
1792
1795
Mathieu Fournet
Benoît aîné fin 95
1795
1799
Pierre Darlay
Agent municipal
1799
1802
Jean Fournier
1802
1803
Etienne Azèma
1804
1815
Jean-Louis Daudé d'Alzon
1815
1816
Darlay
Pendant les 100 jours - Darlay aîné
1816
1819
Pierre Fournier
1819
1828
Jean-Louis Daudé d'Alzon
1828
1830
Amans de Boussuges
1830
1840
Pierre Bouys
1840
1843
Pierre Fournier
Capitaine de réserve
1843
1848
Jacques Bourrely
1848
1850
Jacques Guieysse
1850
1852
Pierre Bouys
1852
1857
Louis Pégurier
Capitaine de réserve
1857
1861
Emile Gazagne
1861
1865
Adolphe Darlay
1865
1874
Gustave Fournier
Médecin
1874
1875
Gustave Pasquier
1875
1876
Ernest Bonniol
1876
1877
Gustave Fournier
Médecin
1877
1877
Jules Bonnafé
1877
1885
Gustave Fournier
Médecin
1885
1892
Jacques Bertrand
1892
1896
Jules Guieysse
1896
1898
Auguste Bernard
1898
1900
Fernand Soubeyran
1900
1908
Jules Guieysse
1908
1912
Théophile Darlay
1912
1925
Julien Maurel
1925
1938
Gaston Barral
1938
1941
Pierre Darlay
1941
1944
J. Darlay
Médecin militaire et Président de la Commission spéciale
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[22].
En 2022, la commune comptait 2 101 habitants[Note 7], en évolution de +3,14 % par rapport à 2016 (Hérault : +7,49 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 1 251 personnes, parmi lesquelles on compte 79,7 % d'actifs (70,7 % ayant un emploi et 9,1 % de chômeurs) et 20,3 % d'inactifs[Note 10],[I 8]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montpellier, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 11]. Elle compte 401 emplois en 2018, contre 403 en 2013 et 338 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 901, soit un indicateur de concentration d'emploi de 44,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 60,6 %[I 12].
Sur ces 901 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 192 travaillent dans la commune, soit 21 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 85,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,7 % les transports en commun, 6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].
Activités hors agriculture
181 établissements[Note 11] sont implantés au Pouget au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12],[I 15].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
181
100 %
(100 %)
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
8
4,4 %
(6,7 %)
Construction
31
17,1 %
(14,1 %)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
44
24,3 %
(28 %)
Information et communication
3
1,7 %
(3,3 %)
Activités financières et d'assurance
2
1,1 %
(3,2 %)
Activités immobilières
5
2,8 %
(5,3 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
30
16,6 %
(17,1 %)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
36
19,9 %
(14,2 %)
Autres activités de services
22
12,2 %
(8,1 %)
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 24,3 % du nombre total d'établissements de la commune (44 sur les 181 entreprises implantées au Pouget), contre 28 % au niveau départemental[I 16].
Agriculture
La commune est dans la « Plaine viticole », une petite région agricole occupant la bande côtière du département de l'Hérault[25]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est la viticulture[Carte 4].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 131 lors du recensement agricole de 1988[Note 15] à 105 en 2000 puis à 88 en 2010[27] et enfin à 74 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 44 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 67 % de ses exploitations[28],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 691 ha en 1988 à 530 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 5 à 7 ha[27].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Allée couverte du Pouget : monument attestant l'ancienneté de l'occupation du territoire.
Église Saint-Jacques du Pouget. De style roman (actuellement chapelle des pénitents blancs) (XIIe siècle-XIVe siècle)[29]. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historiques en 1954[30]. Devenue église paroissiale après l'abandon de Saint Saturnin de Laumède, avant le déplacement de la paroisse à Sainte Catherine.
Chapelle Saint Saturnin de Laumède : ancienne chapelle en ruine, propriété privée, située au lieu-dit de Laumède sur la route de Gignac. Il s'agit du premier lieu de culte du Pouget, construite avant le XIIe siècle par des moines. Elle fut abandonnée vers 1600[33].
L'intrigue du film Chien de la casse se passe majoritairement dans le centre du Pouget où les trois personnages principaux résident. Le film a été tourné dans la commune en novembre et décembre 2021[36].
Notes et références
Notes et cartes
Notes
↑Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
↑Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
↑Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[18].
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
↑La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
↑Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
↑L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
↑Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
↑L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
↑Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
↑Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[26].
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Alphonse Delouvrier, Histoire de la vicomté d'Aumelas et de la baronnie du Pouget, Gignac, Bibliothèque 42, , 350 p. (lire en ligne)
Étienne Dumont, « Le fief noble du Pouget (Hérépian) : de l'Antiquité gallo-romaine à l'Ancien Régime », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 33, , p. 65-72
André Hermet, « Le Pouget », Bulletin du GREC, Groupe de recherches et d'études du Clermontais, no 21, , p. 22-25
Philippe Huppé, « Privilèges et naissance, une harmonie disparue : la baronnie du Pouget et la vicomté de Plaissan au XVIIIe siècle », Études héraultaises, Montpellier, Association Études sur l'Hérault, nos 30-31-32, 1999-2000-2001, p. 93-103 (lire en ligne)
Mission Archives 34, Répertoire numérique détaillé des archives du Pouget, Montpellier, Mission Archives 34, , 126 p.
Christian Olive, « Les villae romanae à Le Pouget et Péret », Bulletin du GREC, Groupe de recherches et d'études du Clermontais, no 29, , p. 8-18
Palouzie Hélène, Le Pouget (Hérault), Montpellier, Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France, Région Languedoc Roussillon, (ISBN2-907276-02-6)
Denis Thézan (de), Le Pouget et ses alentours : étude historique, Paris, éd. Sault, , 56 p.