Le texte ne doit pas être écrit en capitales (les noms de famille non plus), ni en gras, ni en italique, ni en « petit »…
Le gras n'est utilisé que pour surligner le titre de l'article dans l'introduction, une seule fois.
L'italique est rarement utilisé : mots en langue étrangère, titres d'œuvres, noms de bateaux, etc.
Les citations ne sont pas en italique mais en corps de texte normal. Elles sont entourées par des guillemets français : « et ».
Les listes à puces sont à éviter, des paragraphes rédigés étant largement préférés. Les tableaux sont à réserver à la présentation de données structurées (résultats, etc.).
Les appels de note de bas de page (petits chiffres en exposant, introduits par l'outil « Source ») sont à placer entre la fin de phrase et le point final[comme ça].
Les liens internes (vers d'autres articles de Wikipédia) sont à choisir avec parcimonie. Créez des liens vers des articles approfondissant le sujet. Les termes génériques sans rapport avec le sujet sont à éviter, ainsi que les répétitions de liens vers un même terme.
Les liens externes sont à placer uniquement dans une section « Liens externes », à la fin de l'article. Ces liens sont à choisir avec parcimonie suivant les règles définies. Si un lien sert de source à l'article, son insertion dans le texte est à faire par les notes de bas de page.
Selon Christian Settipani, il est probablement le fils d'un Rupilius et d'une Licinia. Par son père, il est possible qu'il soit le descendant de Publius Rupilius Rex, un sénateur romain de rang prétorien proscrit en -43 et officier dans l'armée de Brutus en -42. Par sa mère, il est très probablement le petit-fils de Marcus Licinius Crassus Frugi, consul en 27, et de son épouse Scribonia. Au vu de la récurrence des noms de Fundania et Galeria dans sa descendance, on suppose très fortement que son épouse était une fille de Vitellius et de Galeria Fundana. Cette fille de Vitellius a en effet, selon Suétone, fait un très beau mariage, sous le règne de Vespasien[1]. Le terme employé par Suétone, splendidissime, évoque que l'époux devait appartenir à la haute aristocratie.
De son mariage avec (Vitellia? Galeria Fundania), il eut au moins une fille, Rupilia Faustina, mariée à Marcus Annius Verus, triple consulaire. Il eut peut-être deux fils, un certain Libo, consul suffect en 118, et un (Rupi)lius Severus, jeune aristocrate qui nous a laissé une inscription votive à Éphèse en 124.
Son ascendance et ses liens familiaux avec l'aristocratie romaine est incertaine et sujets, en l'attente de nouvelles découvertes épigraphiques, à prendre "avec des pincettes". Cependant, on considère qu'il fait office de "chainon manquant" entre les grandes familles républicaines et l'empereur Marc-Aurèle[2],[3].
Biographie
Il est consul suffect en 88, de mai à août, avec comme collègues Quintus Ninnius Hasta. Il est cité comme consulaire dans une lettre de Pline le jeune en 101[4].
Notes et références
↑Suétone, Vie des 12 Césars, Vie de Vespasien, XIV.
↑Christian Settipani, Continuité gentilice et continuité familiale dans les familles sénatoriales romaines à l'époque impériale : mythe et réalité, , 620 p. (ISBN9781900934022).