La liste des gravures de Mohammed Khadda couvre l'activité de Mohammed Khadda comme graveur de 1956 à 1991.
Historique
Mohammed Khadda grave le cuivre en 1960, l'ardoise en 1964[1], le linoléeum au début des années 1970. À partir de 1979 la réalisation à M'Sila d'une sculpture monumentale en béton de 9 mètres sur 25 à la base, à l'aide de coffrages eux-mêmes conçus sur le mode de creux et reliefs inversés, l'éloigne de la peinture. C'est à la gravure qu'il consacre, disposant d'une presse, le temps limité que lui laisse son travail sur le chantier[2].
Khadda met alors au point une technique particulière de « plombs gravés ». La matière lui a été familière durant des décennies dans les différents métiers de l'imprimerie qu'il a exercés ; elle est aussi aisément disponible. Khadda en récupère les moindres fragments, tubes de couleurs, chutes de tuyaux, capsules diverses, les fond puis coule le plomb liquide dans les moules, bois puis aluminium, qu'il construit. Il obtient ainsi des plaques d'un demi-centimètre d'épaisseur. Travaillant souvent à la loupe il les incise au burin, inventant bientôt empiriquement les outils qui lui permettent de modeler le métal quasiment à la façon d'un bas-relief. Il procède lui-même aux tirages, à des nombres chaque fois réduits d'épreuves, le métal risquant de réagir aux encres et d'en altérer les teintes[3].
En une démarche qui répond à ses « préoccupations sociales » d'artiste-citoyen, Khadda présente simultanément cinquante de ses gravures en avril et mai 1985 dans cinq villes d'Algérie (Alger, Oran, Tizi Ouzou, Constantine et Annaba). « Ces expositions simultanées (…) sont une tentative, une proposition pour une diffusion ample – massive si possible – de l'œuvre d'art. Et parce que le mot 'peuple' est souvent galvaudé, je mets quelque impertinence et beaucoup d'entêtement à vouloir le conjuguer au beau. », écrit-il dans la préface du catalogue[4]. Une exposition itinérante présentera ensuite ces gravures à Mostaganem, Montpellier, Tlemcen. Plusieurs d'entre elles figureront dans les rétrospectives consacrées au peintre avant et après sa mort en 1991.
En 1979 150 des 500 exemplaires, imprimés à Alger à l'initiative du peintre, de D'après les signes, Les plombs gravés de Khadda de Michel-Georges Bernard sont illustrés d'épreuves d'état de ses gravures réalisées durant l'année.
En 1983 dix-sept de ces plombs gravés, pour certains rehaussés d'aquarelle ou gouache, sont reproduits en illustration de La princesse et l'oiseau, conte de Sid Ahmed Bouali[5].
Les dimensions données dans cette liste sont celles des planches gravées. Sont indiqués les catalogues d'expositions et les ouvrages dans lesquelles ces gravures sont reproduites.
Écrire l'écume, gravure sur plomb, 21,5 × 13 cm, 20 exemplaires[51]
Soliloque, gravure sur plomb, 16,5 × 12 cm, 25 exemplaires[52]
Ambre, linogravure, 14,5 × 12,5 cm, 40 exemplaires
Quai aux fleurs, linogravure, 17 × 17 cm, 30 exemplaires[53]
Journée d'été, gravure sur plastique, 19 × 11 cm, 40 exemplaires[54]
Signe rappel, linogravure, 14,5 × 7 cm, 85 exemplaires, deux tirages, sable et bleu
1987
Sans titre, linogravure, 14 × 8 cm
1988
Sans titre, linogravure, 9 × 14,5 cm, deux tirages, ocre et bleu
1989
Sans titre, gravure sur plomb, 9 × 14,5 cm
1990
Sans titre, gravure sur plomb, 5,5 × 13 cm
Sans titre, gravure sur plomb, 9,5 × 15 cm
1991
Sans titre, linogravure, 10,5 × 7,5 cm
Notes et références
↑Jean Sénac, La Rose et l'ortie, avec une couverture et 10 ardoises gravées de Mohammed Khadda, Paris-Alger, Cahiers du monde intérieur, Rhumbs, 1964, 36 p. , tirage limité à 200 exemplaires
↑Michel-Georges Bernard, Khadda, Alger, ENAG Éditions, 2002, p. 136
↑Michel-Georges Bernard, « Plombs gravés », dans Art contemporain d'Afrique et d'Océanie, Paris, ADEIAO, 1995, n.p.
↑Plombs gravés de Mohammed Khadda, Centre culturel de la Wilaya d'Alger, 1985, n.p. ; Plombs gravés de Mohammed Khadda, Hôtel de Grave, Montpellier, 1985, p. 10
↑La princesse et l'oiseau, texte de Sid Ahmed Bouali, dessins de Mohammed Khadda, Alger, Entreprise Nationale du Livre, 1983
↑Khadda, collection du Musée national des beaux-arts d'Alger, textes de Malika Bouabdallah, Alger, 1992, liste p. 72-75.
↑Plombs gravés de Mohammed Khadda, Hôtel de Grave, Montpellier, 1985, reproduction p. 25 ; Khadda, collection du Musée National des Beaux-Arts d'Alger, 1992, reproduction p. 53
↑Plombs gravés de Mohammed Khadda, Centre culturel de la Wilaya d'Alger, 1985, n.p., reproduction ; Plombs gravés de Mohammed Khadda, Hôtel de Grave, Montpellier, 1985, reproduction p. 33 ; Khadda, collection du Musée National des Beaux-Arts d'Alger, 1992, reproduction p. 55
↑Khadda, collection du Musée National des Beaux-Arts d'Alger, 1992, reproduction p. 51
↑Khadda, collection du Musée National des Beaux-Arts d'Alger, 1992, reproduction p. 57 ; Mohammed Khadda, 1991-2001, Alger, Musée national des beaux-arts d'Alger, 2001, n.p., reproduction
↑Plombs gravés de Mohammed Khadda, Centre culturel de la Wilaya d'Alger, 1985,n.p., reproduction ; Plombs gravés de Mohammed Khadda, Hôtel de Grave, Montpellier, 1985, reproduction p. 23
↑Kateb Yacine et la modernité textuelle, Alger, OPU, 1992, reproduction en couverture
↑ a et bMohammed Khadda, 1991-2001, Alger, Musée national des beaux-arts d'Alger, 2001, n.p., reproduction
↑Khadda, collection du Musée National des Beaux-Arts d'Alger, 1992, reproduction p. 65 ; Mohammed Khadda, La Paix pour alphabet, Institut Français de Barcelone, 1995, Château d'Ô, Montpellier 1996, reproduction p. 19 ; Khadda, Paris, Institut du monde arabe, 1996, reproduction p. 45 ; Khadda, dix ans après, Paris, Centre Culturel Algérien, 2001, reproduction p. 30. Khadda se souvient de la composition générale de cette linogravure quand il crée la maquette (gouache et pastel sur papier, 25 x 74,5 cm) d'une tapisserie pour le Press Hall de l'Aéroport international Roi-Abdelaziz, Djeddah, Arabie saoudite. Cette maquette, demeurée dans la collection du maître d'œuvre du projet artistique, est proposée par la maison Piguet de Genève à la vente online Art moderne et contemporain du 7-21 septembre 2022, n° 4854 du catalogue.
↑Khadda, 1930-1991, Château de Saint-Ouen, Forum culturel du Blanc-Mesnil, 1994, reproduction p. 14
↑Plombs gravés de Mohammed Khadda, Centre culturel de la Wilaya d'Alger, 1985, n.p., reproduction ; Khadda, collection du Musée National des Beaux-Arts d'Alger, 1992, reproduction p. 35 ; Mohammed Khadda, Florilège, Alger, Musée national des beaux-arts d'Alger, 2006, reproduction p. 98
↑Mohammed Khadda, 1991-2001, Alger, Musée national des beaux-arts d'Alger, 2001, n.p., reproduction en couverture
↑Michel-Georges Bernard, Khadda, Alger, ENAG Éditions, 2002, reproduction p. 138
↑Khadda, dix ans après, Paris, Centre Culturel Algérien, 2001, reproduction p. 29 ; Michel-Georges Bernard, Khadda, Alger, ENAG Éditions, 2002, reproduction p. 141
↑Michel-Georges Bernard, Khadda, Alger, ENAG Éditions, 2002, reproduction p. 167
↑Michel-Georges Bernard, Khadda, Alger, ENAG Éditions, 2002, reproduction p. 162 ; Mohammed Khadda, Florilège, Alger, Musée national des beaux-arts d'Alger, 2006, reproduction p. 119
↑Michel-Georges Bernard, Khadda, Alger, ENAG Éditions, 2002, reproduction p. 147
↑Michel-Georges Bernard, Khadda, Alger, ENAG Éditions, 2002, reproduction p. 147 ; Mohammed Khadda, Florilège, Alger, Musée national des beaux-arts d'Alger, 2006, reproduction p. 118
↑Plombs gravés de Mohammed Khadda, Centre culturel de la Wilaya d'Alger, 1985, n.p., reproduction ; Plombs gravés de Mohammed Khadda, Hôtel de Grave, Montpellier, 1985, reproduction p. 19 ; Art contemporain d'Afrique et d'Océanie, Paris, ADEIAO, 1995, n.p., reproduction ; Michel-Georges Bernard, Khadda, Alger, ENAG Éditions, 2002, reproduction p. 136
↑Plombs gravés de Mohammed Khadda, Centre culturel de la Wilaya d'Alger, 1985, n.p., reproduction ; Plombs gravés de Mohammed Khadda, Hôtel de Grave, Montpellier, 1985, reproduction p. 27 ; Art contemporain d'Afrique et d'Océanie, Paris, ADEIAO, 1995, n.p., reproduction; Mohammed Khadda, Florilège, Alger, Musée national des beaux-arts d'Alger, 2006, reproduction p. 49
↑Plombs gravés de Mohammed Khadda, Centre culturel de la Wilaya d'Alger, 1985, n.p., reproduction ; Plombs gravés de Mohammed Khadda, Hôtel de Grave, Montpellier, 1985, reproduction p. 11 ; Khadda, dix ans après, Paris, Centre Culturel Algérien, 2001, reproduction p. 31 ; Michel-Georges Bernard, Khadda, Alger, ENAG Éditions, 2002, reproduction p. 164
↑Art contemporain d'Afrique et d'Océanie, Paris, ADEIAO, 1995, n.p., reproduction ; Mohammed Khadda, Florilège, Alger, Musée national des beaux-arts d'Alger, 2006, reproduction p. 124
↑Khadda, 1930-1991, Château de Saint-Ouen, Forum culturel du Blanc-Mesnil, 1994, reproduction p. 27
↑Mohammed Khadda, La Paix pour alphabet, Institut Français de Barcelone, 1995, Château d'Ô, Montpellier, 1996, reproduction p. 19 ; Khadda, Paris, Institut du monde arabe, 1996, reproduction p. 45 ; Michel-Georges Bernard, Khadda, Alger, ENAG Éditions, 2002, reproduction p. 161 ; Mohammed Khadda, Florilège, Alger, Musée national des beaux-arts d'Alger, 2006, reproduction p. 87
↑Plombs gravés de Mohammed Khadda, Centre culturel de la Wilaya d'Alger, 1985, reproduction en couverture ; Plombs gravés de Mohammed Khadda, Hôtel de Grave, Montpellier, 1985, reproduction en couverture et p. 15 ; Mohammed Khadda, La Paix pour alphabet, Institut Français de Barcelone, 1995, Château d'Ô, Montpellier 1996, reproduction p. 18 ; Khadda, Paris, Institut du monde arabe, 1996, reproduction p. 44 ; Khadda, dix ans après, Paris, Centre Culturel Algérien, 2001, reproduction p. 30 ; Michel-Georges Bernard, Khadda, Alger, ENAG Éditions, 2002, reproduction p. 144 ; Mohammed Khadda, Florilège, Alger, Musée national des beaux-arts d'Alger, 2006, reproduction p. 96
↑Plombs gravés de Mohammed Khadda, Centre culturel de la Wilaya d'Alger, 1985, n.p., reproduction ; Plombs gravés de Mohammed Khadda, Hôtel de Grave, Montpellier, 1985, p. 21 ; Art contemporain d'Afrique et d'Océanie, Paris, ADEIAO, 1995, n.p., reproduction ; Khadda, dix ans après, Paris, Centre Culturel Algérien, 2001, reproduction p. 29 ; Michel-Georges Bernard, Khadda, Alger, ENAG Éditions, 2002, reproduction p. 144
↑Khadda, dix ans après, Paris, Centre Culturel Algérien, 2001, reproduction p. 31 ; Michel-Georges Bernard, Khadda, Alger, ENAG Éditions, 2002, reproduction p. 148 ; Mohammed Khadda, Florilège, Alger, Musée national des beaux-arts d'Alger, 2006, reproduction p. 106
↑Plombs gravés de Mohammed Khadda, Centre culturel de la Wilaya d'Alger, 1985, n.p., reproduction ; Plombs gravés de Mohammed Khadda, Hôtel de Grave, Montpellier, 1985, p. 29 ; Michel-Georges Bernard, Khadda, Alger, ENAG Éditions, 2002, reproduction p. 149
↑Plombs gravés de Mohammed Khadda, Centre culturel de la Wilaya d'Alger, 1985, n.p., reproduction ; Plombs gravés de Mohammed Khadda, Hôtel de Grave, Montpellier, 1985, reproduction p. 31 ; Michel-Georges Bernard, Khadda, Alger, ENAG Éditions, 2002, reproduction p. 143
↑Mohammed Khadda, Florilège, Alger, Musée national des beaux-arts d'Alger, 2006, reproduction p. 93
↑Plombs gravés de Mohammed Khadda, Hôtel de Grave, Montpellier, 1985, reproduction p. 13 ; Mohammed Khadda, 1991-2001, Alger, Musée national des beaux-arts d'Alger, 2001, n.p., reproduction
↑Plombs gravés de Mohammed Khadda, Hôtel de Grave, Montpellier, 1985, reproduction p. 41; Michel-Georges Bernard, Khadda, Alger, ENAG Éditions, 2002, reproduction p. 152 ; Mohammed Khadda, Florilège, Alger, Musée national des beaux-arts d'Alger, 2006, reproduction p. 109
↑Mohammed Khadda, 1991-2001, Alger, Musée national des beaux-arts d'Alger, 2001, n.p., reproduction ; Khadda, dix ans après, Paris, Centre Culturel Algérien, 2001, reproduction p. 31 ; Mohammed Khadda, Florilège, Alger, Musée national des beaux-arts d'Alger, 2006, reproduction p. 112
↑Plombs gravés de Mohammed Khadda, Centre culturel de la Wilaya d'Alger, 1985, n.p., reproduction ; Plombs gravés de Mohammed Khadda, Hôtel de Grave, Montpellier, 1985, reproduction p. 8 ; Art contemporain d'Afrique et d'Océanie, Paris, ADEIAO, 1995, n.p., reproduction ; Michel-Georges Bernard, Khadda, Alger, ENAG Éditions, 2002, reproduction p. 154 ; Mohammed Khadda, Florilège, Alger, Musée national des beaux-arts d'Alger, 2006, reproduction p. 33
↑Plombs gravés de Mohammed Khadda, Centre culturel de la Wilaya d'Alger, 1985, n.p., reproduction ; Plombs gravés de Mohammed Khadda, Hôtel de Grave, Montpellier, 1985, reproduction p. 17 ; Michel-Georges Bernard, Khadda, Alger, ENAG Éditions, 2002, reproduction p. 151
↑'Plombs gravés de Mohammed Khadda, Hôtel de Grave, Montpellier, 1985, reproduction p. 37 ; Art contemporain d'Afrique et d'Océanie, Paris, ADEIAO, 1995, n.p., reproduction ; Michel-Georges Bernard, Khadda, Alger, ENAG Éditions, 2002, reproduction p. 170
↑Khadda, dix ans après, Paris, Centre Culturel Algérien, 2001, reproduction p. 30
↑Khadda, dix ans après, Paris, Centre Culturel Algérien, 2001, reproduction p. 29 ; Michel-Georges Bernard, Khadda, Alger, ENAG Éditions, 2002, reproduction p. 114
↑Khadda, collection du Musée National des Beaux-Arts d'Alger, 1992, n.p., reproduction p. 63
↑Michel-Georges Bernard, Khadda, Alger, ENAG Éditions, 2002, reproduction p. 150
↑Art contemporain d'Afrique et d'Océanie, Paris, ADEIAO, 1995, n.p., reproduction
↑Khadda, collection du Musée National des Beaux-Arts d'Alger, 1992, reproduction p. 61
↑Art contemporain d'Afrique et d'Océanie, Paris, ADEIAO, 1995, n.p., reproduction ; Khadda, dix ans après, Paris, Centre Culturel Algérien, 2001, reproduction p. 31 ; Michel-Georges Bernard, Khadda, Alger, ENAG Éditions, 2002, reproduction p. 153
↑Khadda, collection du Musée National des Beaux-Arts d'Alger, 1992, n.p., reproduction p. 59 ; Mohammed Khadda, La Paix pour alphabet, Institut Français de Barcelone, 1995, Château d'Ô, Montpellier 1996, reproduction p. 18; Khadda, Paris, Institut du monde arabe, 1996, reproduction p. 44; Mohammed Khadda, 1991-2001, Alger, Musée national des beaux-arts d'Alger, 2001, n.p., reproduction
↑Khadda, collection du Musée National des Beaux-Arts d'Alger, 1992, reproduit en couverture ; Mohammed Khadda, 1991-2001, Alger, Musée national des beaux-arts d'Alger, 2001, n.p., reproduction
Textes de Mohammed Khadda
Éléments pour un art nouveau suivi de Feuillets épars liés et Inédits, Alger, Éditions Barzakh, 2015 (ISBN9789931325635)
Bibliographie
Michel-Georges Bernard, D'après les signes, texte ronéoté, Sigean, sans date [], L'Orycte, 25 exemplaires numérotés dont 9 accompagnés de deux épreuves d'état de la gravure Kabylie exhumée ; D'après les signes, Les plombs gravés de Khadda, texte imprimé, sans lieu [Alger], sans date [] ni nom d'éditeur [Khadda/L'Orycte], 500 exemplaires dont 150 accompagnés d'une épreuve d'état signée d'une gravure de Khadda (texte repris dans Khadda, exposition rétrospective, Musée national des beaux-arts d'Alger, , et dans Khadda, Galerie am Weidendamm, Berlin, , traduction en allemand).
Plombs gravés de Mohammed Khadda (textes de Mohammed Khadda et Naget Belkaïd), Centre culturel de la Wilaya d'Alger, 1985.
Plombs gravés de Mohammed Khadda (textes de Mohammed Khadda et Naget Belkaïd), Hôtel de Grave, Montpellier, 1985.
Khadda, 1930-1991 (introduction de B. Epin, textes de M.-G. Bernard, Mohammed Dib et P. Siblot, témoignages de Paul Balta, D. Brahimi, R. Fayolle, M. Gadant, F. Madray-Lesigne, F. Liassine, C. et M. Touili, Geneviève Rodis-Lewis), Château de Saint-Ouen, 1994 ; Forum culturel du Blanc-Mesnil, 1995.
Michel-Georges Bernard, « Plombs gravés », dans Art contemporain d'Afrique et d'Océanie, Paris, ADEIAO, 1995.
Mohammed Khadda, La Paix pour alphabet (textes de Jamel Eddine Bencheikh, Martine Sagaert, Marc Sagaert), Institut Français de Barcelone, 1995, Château d'Ô, Montpellier, 1996