Marcus Asinius Marcellus (consul en 54)

Fonctions
Consul
Naissance	Vers l'an 20
Décès	Après 61
Époque	Haut-Empire romain
Activité	Homme politique
Père	Marcus Asinius Agrippa
Mère	Inconnue ou Calvisia Flaccilla (d) (mère adoptive)
Fratrie	Claudia Aesernina (d) (sœur adoptive)
Enfant	Marcus Asinius Agrippa
Gens	Asinii

Marcus Asinius Marcellus est un sénateur et un homme politique de l'Empire Romain.

Biographie

Né vers l'an 20, il est consul en 54 avec pour collègues Manius Acilius Aviola^[1].

En 61, Marcellus est lié dans le scandale du faux testament de l'ancien préteur Domitius Balbus, où l'un de ses parents Valerius Fabianus, aider en cela par deux chevaliers, Vinicius Rufinus et Terentius Pollion, et complice du sénateurs Marcus Antonius Primus, ont scellé l'acte faux avant d'être découvert et condamné à l'exil. Cependant Marcellus parvient à être gracié par Néron, du faite de ses nobles origine^[2].

Famille

Il est peut être le fils de Marcus Claudius Marcellus Aeserninus, préteur en 19.

Son épouse est inconnue, Marcus Asinius Marcellus, consul en 104, est son fils ou petit-fils^[3].

Voir aussi

Liste des consuls romains du Haut-Empire

Notes et références

↑ James H. Oliver et Attilio Degrassi, « I fasti consolari dell' impero romano dal 30 avanti Cristo al 613 dopo Cristo », The American Journal of Philology, vol. 74, n^o 4,‎ 1953, p. 450 (ISSN 0002-9475, DOI 10.2307/292071, lire en ligne, consulté le 23 août 2022)
↑ Tacite, Annales, vol. XIV, p. 40
↑ Luis Leal et Manuel M. Martín-Rodríguez, « Chicano literature », dans The Cambridge History of Latin American Literature, Cambridge University Press, 13 septembre 1996 (lire en ligne), p. 557–586.

Liens externes

Portail de la Rome antique

[1] James H. Oliver et Attilio Degrassi, « I fasti consolari dell' impero romano dal 30 avanti Cristo al 613 dopo Cristo », The American Journal of Philology, vol. 74, n^o 4,‎ 1953, p. 450 (ISSN 0002-9475, DOI 10.2307/292071, lire en ligne, consulté le 23 août 2022)

[2] Tacite, Annales, vol. XIV, p. 40

[3] Luis Leal et Manuel M. Martín-Rodríguez, « Chicano literature », dans The Cambridge History of Latin American Literature, Cambridge University Press, 13 septembre 1996 (lire en ligne), p. 557–586.

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