En , le site se transforme en un portail média, proposant notamment des brèves (notamment sur les résultats d'audiences), des articles et des interviews[2]. En septembre 2005 s'ajoute à l'actualité du cinéma[3].
En , une nouvelle version est lancée, avec notamment un système de fiches sur des films, des séries, des émissions ou des personnalités du monde des médias[3].
En , en mettant en place une rédaction permanente, imedias.biz s'associe avec Cyréalis[2].
En , imedias.biz devient Ozap.com[4]. La maquette du site évolue et le contenu est réparti en quatre rubriques : « médias », « cinéma », « musique » et « séries ». Outre ses nombreuses fiches, Ozap.com entend aussi développer l'interactivité avec ses lecteurs et de nouveaux services (programmes de télévision, horaire de cinéma, comparateur de prix puis pré-écoute de titres musicaux ou encore bandes-annonces de films). En juin 2010, une nouvelle version du site est lancée avec une nouvelle présentation voulant notamment accorder davantage de place aux images[5].
En , Ozap change de nom à la suite de l'arrivée dans son capital du groupe Webedia pour devenir Puremédias[6].
Début , Puremédias lance une nouvelle version de son site web adoptant une nouvelle identité visuelle ainsi que des nouvelles fonctionnalités[7].
Identité visuelle
Logos de Puremédias
Logo de à .
Logo de à .
Logo d' à .
Logo de à .
Logo de à .
Logo de à .
Logo d' à .
Logo d' à .
Logo de à .
Logo de à septembre 2024.
Logo de Puremédias depuis septembre 2024.
Slogans
: « Imédias, en long. en large. en décryptage. »[réf. souhaitée]
2004 - 2006 : « Imédias, toujours + de médias »
2006 - 2008 : « Imédias, toujours plus de médias »
Journalistes : Florian Guadalupe et Christophe Gazzano
Anciens membres : Charles Decant (ex-rédacteur en chef), Julien Bellver (Quotidien), Julien Lalande (C8), Julien Mielcarek (BFMTV), Benoît Daragon (Le Parisien), Kevin Boucher et Pierre Dezeraud
Capital
Ozap.com est édité par « la Boîte à News »[3], qui est détenue à 50 % par les journalistes fondateurs et à 50 % par Cyréalis[11], absorbé au printemps 2008 par M6net, une filiale du groupe M6[12].
En , « d'un commun accord » entre les fondateurs du site et le groupe M6, le groupe Webedia, éditeur du site Purepeople notamment, prend la place de M6net dans l'actionnariat du site[13].
Concurrence avec le blog de Jean-Marc Morandini
Ozap.com est le principal concurrent du blog de l'animateur Jean-Marc Morandini[14], lui aussi spécialisé sur les informations sur les médias.
En , Jean-Marc Morandini annonce sur son blog qu'il engage une action en justice contre Raphaëlle Ricci[15], la professeure de la Star Academy ayant eu sur W9 des mots très durs à l'encontre de l'animateur, qui l'avait critiquée à de multiples reprises sur son blog. Il réclame également 20 000 euros à imedias.biz, qui avait mis en ligne une vidéo de cette intervention, pour les « préjudices moral et professionnel subis », alors que parallèlement, il n'attaque ni la chaîne qui diffuse les propos de Raphaëlle Ricci ni l'ensemble des sites internet qui reprennent l'intervention[16].
En , Jean-Marc Morandini accuse le site de partialité, car il fait partie de Cyréalis, qui vient d'être racheté par le groupe M6, lui-même détenu par RTL Group qui possède par ailleurs la station RTL, concurrente d'Europe 1, pour laquelle il travaille. [réf. souhaitée] « Cela n'a bien sûr aucun lien avec les charges régulières que l'on peut lire sur le forum de ce site contre Europe 1 ou contre les animateurs de cette radio... », ironise l'animateur[17].
En , Ozap.com annonce avoir attiré 909 000 visiteurs uniques au mois de selon Médiamétrie/Nielsen[18], ce qui place le site derrière Programme-tv.net et Programme.tv mais devant le blog de Jean-Marc Morandini dont il est le principal concurrent [réf. souhaitée]. Évoquant des « informations erronées » bien que d'autres médias aient confirmé cette information[19],[20], Jean-Marc Morandini affirme quant à lui être toujours « le premier blog média de France »[21]. Médiamétrie précisera que l'animateur « mélange [...] des chiffres qui ne sont pas comparables »[11] en utilisant à son avantage deux chiffres calculés selon des méthodes différentes[22] et en , convaincue en première instance de « concurrence déloyale » pour utilisation « [d']affirmations inexactes et de chiffres mensongers »[23], la société éditrice de son blog est condamnée à verser 5 000 euros à Ozap.com pour couvrir les frais de justice[24],[25]. Jean-Marc Morandini fait appel de cette décision[23]. Fin 2009, il affirme être « très largement numéro un face à [se]s concurrents », avec près d'1,4 million de visiteurs uniques par mois[26]. En , peu avant le jugement en appel, un accord à l'amiable est trouvé entre les deux sites. Le blog de Jean-Marc Morandini publie un communiqué « Nous avions à l’époque commis une confusion involontaire entre les chiffres [de] deux interfaces, et rectifions aujourd’hui notre erreur, à la demande de notre concurrent, auquel nous présentons nos excuses » et verse 5 000 euros de dommages et intérêts au propriétaire d'Ozap[27],[28].