Dans ses ouvrages il attaque vivement le presbytérianisme et tout ce qui s'en rapproche. Il soutient toutes les mesures de Jacques II. Son soutien est reconnu par sa nomination comme évêque d'Oxford, en 1686. Jacques II l'impose à la tête du Magdalen College (Oxford), ce qui entraîne un fort mécontentement des professeurs et de l'église[3].
Publications
Tentamina physico-lheologica de Decsive Iheologia scoastica ad norniam novoe et reformata; philosophiez cocinnata, Londres 1665. C'est son premier ouvrage écrit, en latin, alors qu'il a 25 ans,il s'agit d'un recueil d'essais physico-théologiques en latin relatif à la Divinité.
A Free and Impartial Censure of the Platonick Philosophie. Oxford, 1666.
A Discourse of Ecclesiastical Politie. London: 1670. suivi l'année suivante de Defence and Continuation of the Ecclesiastical Politie. London: 1671.Dans ce livre Parker attaque les non-conformistes, John Owen lui répond par un ouvrage qui conduit Parker a un nouveau texte, critiqué à son tour, ironiquement, par Andrew Marvell.
Religion and Loyalty, London: 1684 et Religion and Loyalty, the Second Part, London: 1685.
Références
↑Pierre Larousse, Grand dictionnaire universel du XIXe siècle : français, historique, géographique, mythologique, bibliographique T. 12, Paris, Larousse, 1866-1877, 1556 p., p. 295
↑Charles de Rémusat, Histoire de la philosophie en Angleterre : depuis Bacon jusqu'à Locke. Tome 2, Paris, Didier et cie, , 432 p. (lire en ligne sur Gallica), p. 125-146