Le ligand tétraméthyléthylènediamine est facilement déplacé par des bases telles que les bipyridines et les diphosphines. Le traitement du complexe avec les alcènesélectrophiles entraîne l'élimination de l'éthylène, ce qui donne des complexes d'alcènes[3].
↑(en) Inigo Göttker-Schnetmann et Stefan Mecking, « A Practical Synthesis of [(tmeda)Ni(CH3)2], Isotopically Labeled [(tmeda)Ni(13CH3)2], and Neutral Chelated-Nickel Methyl Complexes », Organometallics, vol. 39, no 18, , p. 3433-3440 (DOI10.1021/acs.organomet.0c00500, S2CID224930545, lire en ligne).
↑ a et b(de) Wilfried Kaschube, Klaus R. Pörschke et Günther Wilke, « tmeda-Nickel-Komplexe: III. (N,N,N′,N′-Tetramethylethylendiamin)-(dimethyl)nickel(II) », Journal of Organometallic Chemistry, vol. 355, nos 1-3, , p. 525-532 (DOI10.1016/0022-328X(88)89050-8, lire en ligne).