Le XXIe siècle en droit québécois a, pour l'instant, été marquée par le débat de la clarté référendaire et sur quelques décisions de la Cour suprême sur la langue d'enseignement au Québec.
Plus récemment, les décisions des tribunaux sur la constitutionnalité du Code civil du Québec relativement aux conjoints de faits a soulevé beaucoup de débats. La Cour suprême a maintenu le régime actuel.
- Québec et Ottawa signent une entente avec certaines communautés innus, accordant l'autonomie gouvernementale autochtone ainsi que la disparition des réserves sur les territoires[3].
— À la suite de la tentative de nommer le juge Marc Nadon à la Cour suprême, celle-ci statue que les juges québécois siégeant dans les tribunaux fédéraux sans être avocat ne peuvent être nommer à la Cour suprême pour occuper l'un des trois postes réservés au Québec[8]. La nomination de Marc Nadon est annulé et le poste sera occupé par Clément Gascon.
↑La décision est connue sous le nom « Éric c. Lola » : Cour suprême du Canada, Québec (Procureur général) c. A, (lire en ligne), 2013 CSC 5, [2013] 1 R.C.S. 61.
↑Presse canadienne, « Conjoints de fait - Le régime est discriminatoire, mais constitutionnel : Le jugement de la Cour suprême maintient le statu quo », Le Devoir, (lire en ligne, consulté le ).
↑[PDF] Canada, Québec. « Loi visant l’amélioration de la situation juridique de l’animal », L.Q. 2015, chap. 54 [lire en ligne (page consultée le 28 décembre 2015)].