Le gouvernement provisoire applique le même calcul qu'en métropole pour les citoyens français d'Algérie, ce qui donne 13 députés à élire. Ce résultat détermine aussi le nombre de députés pour les Non-Citoyens.
Ce procédé ne tient pas compte de la grande différence démographique entre les deux collèges et encore moins de la population générale. Les femmes non-citoyennes sont exclus du vote[1].
Treize sièges pour le Collège des Citoyens et donc treize sièges aussi pour celui des non-citoyens.
Ils sont répartis entre les trois département français d'Algérie en fonction de leurs populations respectives.
↑Daniel Lefeuvre, « 1945-1958 : un million et demi de citoyennes interdites de vote ! », Clio. Femmes, Genre, Histoire, Éditions Belin, no 1, (ISSN1252-7017, DOI10.4000/clio.524, lire en ligne, consulté le ).