Un article paru dans la Gazette musicale illustre l'accueil favorable de l'œuvre :
« Nous avons entendu dernièrement trois mélodies nouvelles de M. Adolphe Botte, critique musical de la Presse théâtrale et en même temps pianiste-compositeur, connu et aimé du public… On retrouve dans des mélodies nouvelles les qualités fortes et sérieuses qui distinguaient ses premières œuvres. Les sujets sont empruntés à Lamartine et à Théophile Gautier et le choix en est aussi heureux que l'interprétation. Dans le Vallon M. Adolphe Motte a traduit avec un talent merveilleux les douces rêveries et les saintes aspirations du chantre de Jocelyn[6]. »
Créations
Grande valse composée pour le piano, Éd. C. Lenglart, Paris, lire en ligne sur Gallica.
Le Crucifix, méditation, de Lamartine ; mise en musique et transcrite pour le piano, Paris, 1880 La Revue et gazette musicale lire en ligne sur Gallica.
Juana, polka-mazurka pour piano, Paris, 1855, Éd. Heugel, lire en ligne sur Gallica.
La Sagesse, méditation de Lamartine ; mise en musique et transcrite pour le piano, Paris 1879, Brandus lire en ligne sur Gallica.
Graziella : valse brillante pour piano : op. 50, Paris, 1856, lire en ligne sur Gallica.
Nuit d'été, pour soprano ou ténor, poésie de Victor Hugo, Paris, 1856 lire en ligne sur Gallica.
↑François-Joseph Fétis et A. Pougin (suppl.), Biographie universelle des musiciens et bibliographie générale de la musique. Suppl. et complément.1, Paris, Firmin Didot et Cie, , 509 p., p. 111.
↑Pierre Larousse, Grand dictionnaire universel du XIXe siècle : français, historique, géographique, mythologique, bibliographique...., t. 17 suppl. 2, Paris, Larousse, 1866-1877, 2028 p., p. 624.