Aldo Killy publie sept 45 tours entre 1964 et 1968[2]. Son disque Un Matin/ Je ne vis que pour toi est l'objet d'une importante publicité en Belgique en 1965[3].
Il est l'un des concurrents du concours Rose de France d'Antibes en 1966 avec Trois roses rouges[4].
Cette même année, il participe à une tournée organisée par Roland Hubert à travers la France avec Alain Barrière, Los Incas, Valérie Lagrange, Marjorie Noël et Pierre Provence. Ils sont victimes d'un accident de la route alors qu'Aldo Killy conduit[5].
Publié par Columbia, il passe à la fin de sa carrière à Disc'AZ.
En 1977, il édite un disque de Heitor Villa-Lobos à destination des enfants : Francette et Pia[6].
Discographie
EP 45 tours
1964 : Ces vagues bleues (sous le nom de « Aldo ») (Columbia) (Ces vagues bleues : Hubert Ithier/ Paul Piot, Mon cœur crie que c'est l'amour : Hubert Ithier/ F. et D. Daniels, Chaque jour (No greater love) : Christine Fontaine/ Michaël Carr ; Celle que j'aime : Ralph Bernet/ Charles Tobias)
1964 : Je n’ai jamais pu t’oublier (Columbia) (Je n'ai jamais pu t'oublier (In ginocchio di te) : Z. Ambrini/ Migliacci/ Franck Gérald), Tiens-moi bien serré : Ivor Slaney/ Marcel Stellman/ Fernand Bonifay, Sapore di sale : Gino Paoli/ Hubert Ithier, Avant de partir :Jacques Revaux/ Johny Rech)
1965 : Je n’ai jamais su parler d’amour (EMI / Columbia / Pathé-Marconi) (Je n’ai jamais su parler d’amour : Paul Piot/ Billy Nencioli, Toi aussi, un jour : Janko Nilovic, Guy Bertret, Tais-toi "Cryin', sobin',wailin' : N. Jonas/ Bacharach/ A. Fervil, Pourquoi le ciel est gris ce soir "When it's all over" : G. Robinson/ N. Levenson/ Billy Nencioli)
1966 : Un amour merveilleux (Columbia / EMI / Pathé-Marconi) (Trois roses rouges : Jean-Claude Annoux/ Pierre Cour, Un amour merveilleux : Paul Piot/ Valérie Sarn, Du côté du soleil : J. Ricotta/ Christian Sarrel/ Eddy Marnay, Notre amour ne finira jamais : Christian Sarrel/ E. Marnay)
1967 : Quelle fiesta ! (Columbia / EMI) (Quelle fiesta (what a party) : Hugo/ Luigi/ George D. Weiss/ ad. A. Fervil, Cet air-là :Beethoven, arr. Bill Ivory/ A. Fervil, Dommage, dommage (Too bad, too bad)[7] : Paul Vance/ Lee Pockriss/ ad. Hubert Ithier[8], La Mélodie : Francis Fumière/ Pierre Barouh)
1968 : Ce soir ou jamais (Disc'AZ) (Ce soir ou jamais : Eddy Marnay/ Francis Lumière, Je ne suis plus l'homme que j'étais : Billy Nencioli/ Francis Fumière, Dans mon cœur inutile : Henri Gougaud/ Gary Brooker, Le soleil est bleu : Michel Jourdan/ Francis Fumière)