En décembre 1806, sous prétexte de découvrir les complices de son fils Constantin qui entretenaient des contacts avec la Russie, mais en réalité pour lui extorquer sa fortune, il est arrêté par les Ottomans et livré aux bourreaux qui le torturent pendant 35 jours. Il ne cède pas : les Ottomans torturent alors l'un de ses secrétaires qui désigne une cachette où se trouvaient 300 000 piastres. Le vieux prince, qui était âgé de plus de 80 ans, est alors décapité et son fils Constantin perd une grande partie de son héritage[1].
Alexandru Dimitrie XenopolHistoire des Roumains de la Dacie trajane : Depuis les origines jusqu'à l'union des principautés. E Leroux Paris (1896).
Alexandre A.C. Sturdza L'Europe Orientale et le rôle historique des Maurocordato (1660-1830) Librairie Plon Paris (1913).
Nicolas IorgaHistoire des Roumains et de la romanité orientale. (1920)
(ro) Constantin C. Giurescu & Dinu C. Giurescu, Istoria Românilor Volume III (depuis 1606), Editura Ştiinţifică şi Enciclopedică, Bucureşti, 1977.
Mihail Dimitri Sturdza, Dictionnaire historique et généalogique des grandes familles de Grèce, d'Albanie et de Constantinople, M.-D. Sturdza, Paris, chez l'auteur, 1983 (ASINB0000EA1ET).
Jean-Michel Cantacuzène, Mille ans dans les Balkans, Éditions Christian, Paris, 1992. (ISBN2-86496-054-0)