Ses sujets sont les nus, les portraits, les paysages et les scènes de genre.
À plusieurs reprises, il concourt sans succès pour le prix de Rome et reçoit quelques mentions[6].
Il expose le portrait de Son altesse royale, la princesse Georges de Grèce (Marie Bonaparte) au Salon de 1914, le portrait d'Une petite fille blonde après la Première Guerre mondiale au Salon de 1919[7]. Au Salon des artistes français, il envoie sa Dormeuse en 1921[8], le Portrait de ma mère en 1926[9], Au bord du lac en 1928 [10],[11], des nus au pastel en 1930[12], le Portrait du chanoine Desgroux au Salon de 1931 [13], le Portrait du maréchal Franchet d'Espèray en 1932 [14].
Il compose aussi des poésies[16] et reçoit le prix Le-Fèvre-Deumier de l’Académie française en 1933 pour le recueil Ut pictura poesis dans lequel il s'attache à faire revivre les grands artistes disparus[17].
↑La Nouvelle Revue, 1921, p. 237 : « [… par la finesse de ses lignes, la grâce de ses attitudes et la lumière dont elle est parée est à placer parmi les deux ou trois qui dominent l'ensemble »], sur Gallica.