De sinople à une ombre de filet en croix cantonnée aux 1er et 4e d'un demi-vol de gueules, celui du 1er contourné, aux 2d et 3e d'un château donjonné de trois pièces d'or, celle du milieu plus élevée[1]
Différences entre dessin et blasonnement : tour du chateau.
Conflit héraldique : le blasonnement dit que la tour du milieu est "plus élevée" ; le dessin la montre de la même hauteur que les deux autres. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
D'or à un Saint Martin de carnation, vêtu d'azur et chaussé du champ, monté sur un cheval de gueules sellé et harnaché du champ, coupant son manteau aussi de gueules pour en remettre la moitié à un pauvre boiteux de carnation vêtu aussi d'azur, à la béquille au naturel, le tout sur une terrasse de sinople.
D'azur à la source d'argent jaillissant d'un amas de rochers au naturel mouvant des flancs et herbés de sinople, et se jetant dans une rivière aussi d'argent mouvant de la pointe, le tout surmonté de l'inscription AQVA VIVA en lettres capitales d'or posées en fasce voutée[1].
Détails
Armes parlantes. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
D'azur au château d'argent ouvert et ajouré de sable, donjonné de trois tourelles du second, celle du milieu plus haute, le tout maçonné du troisième[1].
De sable à la montagne d'or sommée d'une croisette latine du même et soutenue d'un ruisseau de sinople mouvant de la pointe[1].
Détails
* Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (sinople sur sable). Le statut officiel du blason reste à déterminer.
D'or au taureau arrêté de sable, la tête de face, brochant sur une tierce abaissée d'azur; à la champagne de gueules chargée d'une croix cléchée, vidée et pommetée de douze pièces d'or[2].
Détails
Adopté en juillet 2016.
Alias
Écartelé en sautoir : au 1er de gueules à la croix cléchée vidée et pommetée de douze pièces aussi vidées d’or, au 2d d’argent à six besants de gueules 3,2,1, au 3e d’argent à trois fasces ondées entées d’azur, au 4e de gueules au rencontre de taureau de sable allumé et accorné d’argent. * Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (sable sur gueules).
1. Écartelé d'or à trois lambels de gueules l'un sur l'autre, et d'azur à trois pals d'or accompagnés de seize roses d'argent 4, 4, 4, 4 ; sur le tout d'argent au noyer terrassé de sinople.
2. D'azur au chevron sommé en chef d'un croissant accosté de deux étoiles et accompagné en pointe d'un trèfle, le tout d'argent [1]
De gueules aux trois tinettes suspendues chacune à un anneau du même par trois cordons aussi d'or, au chef cousu de sinople chargé de trois fleurs de lys d'or[1].
Détails
* Ces armes emploient le terme « cousu » dans le seul but de contrevenir à la règle de contrariété des couleurs : elles sont fautives : sinople sur gueules. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Écartelé: aux 1er et 4e d'or à quatre branches de genêt de sinople, ployées et passées en deux doubles sautoir entrelacés, aux 2e et au 3e de gueules à l'aigle d'argent[3].
D'azur au pont en dos d'âne de trois arches d'or, celles des flancs plus petites, maçonné de sable, posé sur une champagne coupée ondée d'argent herbée de sinople et d'azur, surmonté de l'inscription « PONS AERARIUS » en lettres capitales d'argent sur deux lignes[4].
D'azur à la barre d'or chargée d'une barre de gueules surchargée de trois ruches du second posées à plomb, accompagnée en chef d'une enclume d'argent et en pointe d'une pelle et d'un pic passés en sautoir soutenus d'une lanterne de mineur, le tout d'or ; au chef du même chargé de trois abeilles soudées d'argent[1].
Détails
* Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (argent sur or). Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Écartelé : au 1er d'azur à trois croisettes latines cousues de gueules mal ordonnées, au 2d d'hermine plain, au 3e d'argent à la grappe de raisin de gueules feuillée d'une pièce de sinople senestrée d'un rameau d'olivier du même fruité de sable ; au 4e d'azur à un moulin à vent d'or sur une terrasse du même, à la plume d'oie d'argent brochant en barre sur le tout [1].
Détails
* Ces armes emploient le terme « cousu » dans le seul but de contrevenir à la règle de contrariété des couleurs : elles sont fautives : gueules sur azur. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
De gueules au cavalier romain suivi de deux fantassins, les trois contournés et armés d'une lance, le tout d'argent posé sur une champagne du même chargée de deux fleurs de lys soudées d'or[1].
Détails
* Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (or sur argent). Le statut officiel du blason reste à déterminer.
De sable aux trois fasces échiquetées d'or et de sable de trois tires, accompagnées de six besants d'argent, 3, 2, 1. ; au chef de gueules chargé d'un sanglier cousu aussi de sable, allumé et défendu aussi d'argent[1].
Détails
* Ces armes emploient le terme « cousu » dans le seul but de contrevenir à la règle de contrariété des couleurs : elles sont fautives : gueules et sable. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Taillé de gueules à la croix cléchée, vidée et pommetée de douze pièces d'or ; et du même au trident de gardian d'argent*.
Détails
* Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (argent sur or). Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Écartelé d'argent à quatre têtes de maure de sable tortillées du champ, et de gueules aux quatre pals d'or ; sur le tout de gueules au mouton d'or surmonté d'un croissant d'argent[1].
* Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (argent sur or). Le statut officiel du blason reste à déterminer.
D'azur à trois pals d'or accompagnés de seize roses d'argent ordonnées 4,4,4 et 4, à la grande losange brochant écartelée : au 1er et au 4e d'argent au noyer terrassé de sinople, au 2e losangé d'argent et de gueules, au 3e de gueules au château d'or sommé de trois tours du même, maçonné de sable, la tour du milieu plus élevée que les deux autres ; sur le tout d'or aux trois lambels de gueules l'un sur l'autre[1].
Parti d'or plain et de gueules à l'épi de blé tigé et feuillé d'or ; au pal ondé réduit d'azur brochant sur la partition; à la grappe de raisin de pourpre, tigée et feuillée au naturel chargeant l'or et brochant en partie sur le pal[7].
De gueules au château d'argent ouvert, ajouré et maçonné de sable, surmonté d'un calice d'or d'où émerge une tête de serpent du troisième, languée du quatrième[1].
D'azur à un saint Martin au naturel donnant la moitié de son manteau à un pauvre du même[1].
Détails
Différences entre dessin et blasonnement : le "au naturel" du blasonnement est bien trop vague, et ne peut s'appliquer ni au cheval ni aux vêtements, ni aux harnais. Des couleurs sont donc manquantes. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Conflit héraldique : le blasonnement dit la tour "ouverte et ajourée du champ" ; le dessin la représente ouverte et ajourée d'argent. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
D'azur à deux montagnes d'or mouvant des deux flancs de l'écu, celle de dextre sommée d'une croisette haussée d'argent, celle de senestre d'un château du même, ouvert, ajouré et maçonné de sable[1].
De sinople au pairle cousu de sable chargé, en chef, de deux pics affrontés et, en pointe, d'une lanterne de mineur, le tout d'or, et accompagné de trois châteaux du même ouverts et ajourés aussi de sable[1].
Détails
* Ces armes emploient le terme « cousu » dans le seul but de contrevenir à la règle de contrariété des couleurs : elles sont fautives : sable sur sinople. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Parti d'or à deux thons de gueules posés en pal et rangés en fasce en pointe, surmontés d'une grappe de raisin du même feuillée de sinople ; et d'azur au lion d'or lampassé de gueules ; aux deux bisses d'argent entrelacées brochant en pal sur le tout[1].
D'argent à la botte de joncs de sinople, liée d'or, avec ces inscriptions en flancs L'EN TIENS à dextre et DEUX MILLE à senestre en lettres capitales de sable, accompagnée de trois ombres d'étoiles[1].
Détails
Armes parlantes.
(joncs) Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Pas d'information pour les communes suivantes : Junas
D'azur à la montagne cousue de sinople chargée d'une cardabelle d'or, surmontée d'un gril d'argent accosté de deux têtes de brebis affrontées du même.
Détails
* Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (sinople sur azur). Le statut officiel du blason reste à déterminer.
D'azur à trois pals d'or, au chef cousu de gueules chargé de trois hydres de sept têtes du second[1].
Détails
* Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (gueules sur azur). Le statut officiel du blason reste à déterminer.
De gueules au soleil d'or, au chef cousu de sinople chargé d'une colombe essorante d'argent accostée de deux croisettes du même[1].
Détails
* Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (sinople sur gueules). Le statut officiel du blason reste à déterminer.
D'azur au borie d'argent, ouvert et ajouré de sable posé sur une terrasse de sinople, au chef de gueules chargé de trois étoiles d'or.
Détails
* Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (chef de gueules sur champ d'azur). Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Parti d'or à la lampe de mineur de sable, la mèche d'argent allumée du champ ; et d'azur à la tour d'argent, maçonnée de sable et chargée d'un écusson de gueules au demi-vol d'or; le tout sommé d'un chef de gueules chargé d'une croix cléchée, vidée et pommetée de douze pièces d'or[11].
Écartelé : au 1er d'or au pal losangé d'argent et de sinople, aux 2e et 3e de gueules à la croix cléchée, vidée et pommetée de douze pièces d'or, au 4e d'or à la croix losangée d'argent et d'azur.
De sinople aux trois barres de sables, au chat-huant d'argent becqué et membré d'or, au canton senestre chargé d'une angemme aussi d'or[réf. nécessaire].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Pas d'information pour les communes suivantes : Montignargues
De gueules au palmier terrassé de sinople, au fût duquel est attaché par une chaîne d'or en bande un crocodile passant contourné aussi de sinople, colleté d'or, surmonté des inscriptions COL à dextre et NEM à senestre du même, les branches du palmier soutenant au quartier dextre une couronne de lauriers liée d'or.
Détails
* Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (Sinople sur gueules). Le statut officiel du blason reste à déterminer.
D'azur à la fontaine d'argent accostée de deux arbres d'or sur une terrasse de sinople[1].
Détails
* Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (sinople sur azur). Le statut officiel du blason reste à déterminer.
D'azur au pont de cinq arches d'or sur des ondes d'argent mouvant de la pointe, sommé d'une croisette haussée au milieu du pont et de deux tours, celle de dextre girouettée, le tout d'or, la croisette accostée de deux fleurs de lys du même et surmontée d'une colombe aussi d'argent en pal volant vers la pointe[1].
Détails
Armes parlantes. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
De gueules au puy d'argent mouvant d'une rivière d'azur mouvant de la pointe, et surmonté de trois fleurs de lis d'or rangées en chef.
Détails
La commune utilise une autre représentation, un puy (selon l'étymologie du lieu) stylisé en trapèze sur une étendue d'eau. voir ici Blason historique selon D'Hozier, officialisation du nouveau non effectuée.
Pas d'information pour les communes suivantes : Poulx
D'argent au pont de sept arches de gueules, celle du milieu plus grande, sommé d'un saule pleureur de sinople et posé sur des ondes du même mouvant de la pointe[1].
D'argent à la tour de gueules maçonnée de sable d'où isse un dextrochère armé tenant une épée posée en bande, le tout de sable; flanqué en pal à senestre de gueules semé d'ondes alésées en pal d'argent[15].
De gueules à l'ormeau de sinople accosté de deux tours d'or, ouvertes, ajourées et maçonnées de sable, les inscriptions REMO et ULIN en lettres capitales du même de chaque côté du fût de l'arbre[1].
Détails
* Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (sinople sur gueules). Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Parti d'un coupé d’or au taureau passant de sable, et d’azur au pont cousu* de gueules maçonné de sable sur une rivière du champ ; et de gueules au cep de vigne cousu de sable feuillé de sinople et fruité d’or.
Détails
* Ces armes emploient le terme « cousu » dans le seul but de contrevenir à la règle de contrariété des couleurs : elles sont fautives : gueules sur azur et sable sur gueules. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
D'azur au château d'argent, ouvert, maçonné et ajouré de deux fenêtres de sable, flanqué de deux grosses tours aussi d'argent, ajourées chacune d'une fenêtre aussi de sable[1].
Tranché de sinople à la grappe de raisin de gueules feuillée du champ, et de sinople au pont de trois arches d'argent sur des ondes d'azur mouvant de la pointe, surmonté d'un village d'or lui-même surmonté d'un soleil naissant du même ; à la bande losangée d'or et de gueules d'une tire brochant sur la partition[1].
Détails
* Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (gueules sur sinople). Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Parti ondé de deux ondes: au 1er d'azur à la tour d'or maçonnée de sable en chef, au 2e d'or à la grappe de raisin feuillée d'azur en pointe ; à la pyramide du lieu d'argent brochant sur la partition[17].
D'azur à la gerbe de blé d'or surmontée d'une colombe d'argent volant en barre du chef vers la pointe et tenant dans son bec un rameau d'olivier du second[1].
De gueules au château d'argent donjonné de deux tours du même, celle de dextre plus élevée que l'autre, ouvert et ajouré d'azur, posé sur une montagne aussi d'argent[1].
Détails
Armes parlantes.
(Fort/château) Le statut officiel du blason reste à déterminer.
D'azur au soleil non figuré rayonnant d'or, levant sur le versant en barre du mont Brion de pourpre représenté au naturel ; au pont de cinq arches d'argent, maçonné de sable, brochant sur la montagne et posé sur une rivière du champ ; à la tour de l'horloge d'argent posée sur une terrasse du même, ajourée d'une baie géminée de sable et maçonnée du même, brochant sur le tout[18].
Devise
« Al Sourel de la Liberta », comprendre « au soleil de la liberté ».
Détails
Blasonnement fautif ou ambigu : Le Mont Brion de pourpre représenté au naturel n'est pas conforme. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
D'azur au navire d'or équipé d'argent flottant sur des ondes du même mouvant de la pointe, au chef aussi d'argent chargé de l'inscription SAINT-JULIEN en lettres capitales de sable[1].
Détails
Armes parlantes. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
D’azur à l’arbre d’or et à Saint Laurent du même posé de front et brochant sur le tout, tenant de sa main dextre un gril d’argent et de sa senestre une palme aussi d’or.
Détails
Armes parlantes. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
D'or à la fasce d'azur chargée de deux rangées de fusées du champ[1].
Détails
Conflit héraldique : le blasonnement dit la fasce "chargée de deux rangées de fusées du champ" ; le dessin représente une fasce losangée du champ et d'azur. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
D'azur, à quatre navettes aboutées en croix d'or, bordées de douze glands du même, 3 dans chaque canton, et une grappe de raisin de gueules, tigée et feuillée de sinople, brochant sur la croix[19].
Détails
Adopté le 28 janvier 2021.
Alias
D'azur à la croix d'or cantonnée de douze glands du même ordonnés en orle, trois dans chaque canton [1].
D'argent, à une épée basse de gueules posée en barre, accompagnée en chef d'une feuille de mûrier posée en barre et en pointe d'une feuille de châtaignier posée en bande, à un mont de trois coupeaux mouvant de la pointe, le tout de sinople.
Écartelé : au 1er de gueules aux six besants d'or ordonnés 3, 2 et 1, au 2d d'azur à la chapelle d'or ouverte du champ, au 3e fascé ondé d'azur et d'argent, au 4e de gueules à la croix cléchée, vidée et pommetée de douze pièces d'or[1].
D'azur à Saint Sébastien de carnation, ceinturé d'une étoffe d'argent, attaché à un arbre arraché d'or mouvant du chef, percé de cinq flèches aussi d'argent[1].
Détails
Armes parlantes. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
D'azur à Saint Victor vêtu à la romaine, la tête entourée de rayons, la main dextre sur la poitrine, tenant de la senestre une palme, ayant à ses pieds un casque taré de profil à dextre, le tout d'or sur une terrasse du même[1].
Détails
Armes parlantes. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Tranché: au 1 d'azur à la bande ondée d'argent à dextre accompagnée d'une chouette d'or, au 2 de gueules à la bande ondée d'argent à senestre accompagnée d'une croix cléchée, vidée et pommetée de douze pièces d'or; à la lettre capitale S de sable brochant en cœur[20].
Détails
Créé par JF Binon. Sur site de la Communauté de Communes du Piémont Cévenol, 2018.
De gueules à la montagne de sable sommée d'une plante de sauge de trois branches de sinople, elle-même encadrée en chef de l'inscription SAL SAL en lettres capitales aussi de sinople, à la muraille crénelée avec deux tours, le tout d'or maçonné de sable, mouvant de la pointe[21].
Détails
* Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (montagne de sable et charges de sinople... sur champ de gueules..). Le statut officiel du blason reste à déterminer.
D'argent au mont au naturel parsemé d'oliviers de sinople, issant d'ondes d'azur, accompagné en chef à dextre d'une étoile soudée* d'or[1].
Détails
* Ces armes emploient le terme « cousu » dans le seul but de contrevenir à la règle de contrariété des couleurs : elles sont fautives : or sur argent. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
D'or à la bande d'azur, à Saint Martin donnant la moitié de son manteau à un pauvre, les corps humains de carnation et le reste de gueules, brochant sur le tout[1].
De gueules au pont de cinq arches d'argent, maçonné de sable, sur une rivière courante d'argent, sommé d'une croix du même accostée de deux tours aussi d'argent (ouvertes et ajourées de sable).
D'azur à la tour d'argent, ouverte, ajourée et maçonnée de sable, soutenue de deux scorpions du second, le dextre mis en bande, le senestre contourné mis en barre[1].
D'argent aux trois tours de gueules rangées sur une terrasse de sinople[1].
Détails
Armes parlantes.
(tour/Tornac) Différences entre dessin et blasonnement : les tours sont dessinées ci-contre maçonnées de sable, ce que ne mentionne pas le blasonnement. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Burelé de sinople et d'or de quatorze pièces, à la borne milliaire d'argent chargée de l'inscription « AD VIII » de sable sur deux lignes, surmontée d'un listel d'argent chargé de l'inscription « AD OCTAVUM LAPIDEM » [à la huitième pierre] en lettres capitales de sinople, brochant sur le tout[23].
D'or à la bande losangée de gueules et d'argent accompagnée, en chef, de deux pics de sable passés en sautoir et, en pointe, d'une lampe de mineur du même[1].
Échiqueté de sinople et de gueules à la tour d'or ouverte, ajourée et maçonnée de sable brochant, surmontée d'une grenouille descendante accostée de deux colombes fondantes, celle de dextre en bande et celle de senestre en barre, le tout d'argent, accostée de deux grenouilles assises affrontées du même et soutenue d'une troisième colombe montante aussi d'argent, brochant sur une truite aussi d'or[1].
Détails
* Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (l'échiqueté n'étant pas une partition, il ne peut être composé de deux émaux sans constituer d'infraction à la règle de contrariété des couleurs..). Le statut officiel du blason reste à déterminer.
D'azur à deux lettres V capitales d'argent entrelacées l'une dans l'autre, accompagnées de trois étoiles rangées en chef et d'un croissant en pointe, le tout d'or.
↑œuvre personnelle avec comme base un document de la Mairie de Gailhan
↑Eugène Germer-Durand, Ministère de l'instruction publique (Éditeur scientifique) et Comité des travaux historiques et scientifiques (dir.), Dictionnaire topographique du département du Gard : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Impr. impériale, , XXXVI-298 p., in-4 (BNF30500934), p. 131