Par décret du , le nombre de cantons du département est divisé par deux, avec mise en application aux élections départementales de . Le canton d'Aureilhan est conservé et est à nouveau réduit. Il passe de 4 à 3 communes[2].
À l'issue du 1er tour des élections départementales de 2015, trois binômes sont en ballottage : Jean Glavany et Geneviève Isson (PS, 38,38 %), Gilles Delasalle et Reine Padioleau (FN, 21,27 %) et Erick Barrouquere-Theil et Simone Gasquet (FG, 21,27 %). Le taux de participation est de 53,73 % (6 234 votants sur 11 602 inscrits)[5] contre 54,65 % au niveau départemental[6] et 50,17 % au niveau national[7].
Au second tour, Jean Glavany et Geneviève Isson (PS) sont élus avec 70,54 % des suffrages exprimés et un taux de participation de 53,87 % (3 886 voix pour 6 251 votants et 11 603 inscrits)[8].
Le premier tour des élections départementales de 2021 est marqué par un très faible taux de participation (33,26 % au niveau national)[9]. Dans le canton d'Aureilhan, ce taux de participation est de 34,34 % (4 063 votants sur 11 832 inscrits)[10] contre 39,47 % au niveau départemental[11]. À l'issue de ce premier tour, deux binômes sont en ballottage : Yannick Boubée et Geneviève Isson (PS, 43,25 %) et Érick Barrouquere-Theil et Danièle Coronado (PCF, 16,76 %)[10].
Le second tour des élections est marqué une nouvelle fois par une abstention massive équivalente au premier tour. Les taux de participation sont de 34,36 % au niveau national[12], 39,92 % dans le département[11] et 33,49 % dans le canton d'Aureilhan[10]. Yannick Boubée et Geneviève Isson (PS) sont élus avec 100 % des suffrages exprimés (3 018 voix pour 3 962 votants et 11 830 inscrits)[10],[13],[14].
Composition
Composition de 1974 à 1982
Lors de sa création, le canton regroupait 15 communes[1] :
En 2022, le canton comptait 16 235 habitants[Note 2], en évolution de +3,2 % par rapport à 2016 (Hautes-Pyrénées : +1,59 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
(Sources : Base Insee, population municipale à partir de 2013[17].)
Notes et références
Notes
↑Pour éviter une trop forte concentration des scrutins, la loi du 22 février 2021 a reporté les élections régionales et départementales de juin 2027 à mars 2028[4].
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑Loi du 22 février 2021 portant report, de mars à juin 2021, du renouvellement général des conseils départementaux, des conseils régionaux et des assemblées de Corse, de Guyane et de Martinique.