Elle est agrégée de lettres classiques, et enseigne les lettres classiques jusqu'en 2010. Elle devient secrétaire générale de l'association Autisme France de 2007 à 2010, puis présidente de cette même association depuis 2010.
Elle est membre du CNCPH, membre titulaire du Conseil de la CNSA, experte auprès de la Haute autorité de santé[1], et de l'ANESM, et formatrice régionale autisme en Rhône-Alpes.
Elle est intervenue à l'ENS en tant que représentante des usagers[2].
Publications
Danièle Langloys, Marcel Hérault, Vincent Gerhards et Delphine Piloquet, « Déclaration du collectif Autisme », L'information psychiatrique, vol. 87, , p. 421-422.
« Recommandations de bonnes pratiques et enjeux de la scolarisation d’un enfant autiste », NRAS, (lire en ligne).
« Inclusion ou exclusion scolaire pour les élèves avec autisme en France ? », dans À la découverte de l'autisme, Dunod, .
« Etat des lieux et d'urgence sur l'autisme », Le Huffington post, (lire en ligne).
« Pour la journée mondiale de sensibilisation à l'autisme 2017, les familles espèrent plus qu'une simple conférence », Le Huffington post, (lire en ligne).
« L'autisme, c'est un problème de lâcheté collective », Le Monde, (lire en ligne).
Elle a participé au bilan du plan autisme 3 et à des propositions du plan 4.
Elle est l'auteur de 3 rapports à l'ONU sur les violations des droits des enfants autistes, des droits de l'Homme et des droits des femmes. Elle s'est investie dans l'affaire Rachel[5].
Le 2 octobre 2019, dans Le Monde, elle défend publiquement Greta Thunberg contre les attaques basées sur son autisme[6].
↑Diane Regny, « Attaques contre Greta Thunberg : « On accuse les autistes de ne pas avoir d’émotions depuis longtemps » », Le Monde, (lire en ligne, consulté le )