Eugène BéringuierEugène Béringuier
Eugène Béringuier, né le à Toulouse et mort le à Castelnaud-Fayrac, est un peintre français. BiographieEugène Jean Baptiste Béringuier est le fils de Gabriel Béringuier[1], peintre, et de Barbe Juliette Tutin, couturière. Élève de Jean-Pierre Laurens, Benjamin-Constant et d'Albert Maignan[2], il remporte en 1893, à Toulouse le 1er prix en pose dessinée ainsi que le second prix en pose peinte[3] Il débute au Salon en 1899 et concourt la même année pour le prix de Rome. Eugène Béringuier présente des oeuvres au Salon jusqu'en 1914[4]. En 1907, il épouse Charlotte Camille Salmon[5], Louis Vergne et Paul Ducuing sont témoins du mariage. Œuvres dans les collections publiquesLes peintures d'Eugène Béringuier sont visibles dans les musées de France suivants : - Arabes dans un souk et Études d'Arabes au musée des Beaux-Arts Salies, Bagnères-de-Bigorre[6]. - Nature morte au musée des Augustins, Toulouse[7]. - Projet de décor allégorique pour l'hôtel de ville de Clichy, musée départemental de Sceaux[8]. - Rouget de Lisle chantant la Marseillaise en 1792 (copie d'après Isidore Pils), Fonds national d'art contemporain, Paris[9]. Un dessin sans titre est également référencé dans les collections du Fonds national d'art contemporain[10]. - Le vote du 3 février 1790 pour l’élection de la première municipalité de Clichy, salle du Conseil municipal de Clichy[11] (commande de la ville à l'artiste de cette grande peinture murale de 1,70 m x 3,70 m). Le tableau Charlotte Corday conduite au supplice[12], présenté au Salon de 1912, avait été acheté par un collectionneur et consul d'Autriche-Hongrie en Algérie, Louis-Constant Nessler, pour être exposé à Oran dans le musée Nessler[réf. souhaitée] qu'il avait fondé. A la mort de ce diplomate en 1947, son musée est laissé à l'abandon et on perd la trace de ce tableau qui est à ce jour non localisé. Notes et références
Liens externes
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