Hélène de Troie (film, 1956)Hélène de Troie
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution. Hélène de Troie (titre original anglais : Helen of Troy ; titre italien : Elena di Troia) est un film américano-italien réalisé par Robert Wise, sorti en 1956. SynopsisLe prince troyen Pâris quitte son royaume pour porter un message de paix au roi Ménélas de Sparte. Mais, lors d'une tempête, le mât de son navire se brise et l'entraîne en tombant dans les flots. Pâris échoue sur une plage de la côte grecque où Hélène, la femme de Ménélas, le trouve à bout de force. Elle le soigne en secret et ils ne tardent pas à tomber amoureux. Avant de rencontrer Ménélas, Pâris doit se plier aux coutumes et affronter Ajax dans un combat singulier dont il sort brillamment vainqueur. Ménélas voit aussitôt en lui un dangereux adversaire doublé d'un grand rival et le fait emprisonner. Hélène, surprise alors qu'elle préparait l'évasion de son amant, s'enfuit avec lui à Troie. Sa trahison, outre qu'elle bafoue Ménélas, déclenche immédiatement un énorme mouvement offensif des Grecs qui s'embarquent pour aller attaquer Troie. Fiche technique
Distribution
ProductionCasting
Tournage
AccueilVariety[3],[4] écrit que « ce nouveau récit de la légende homérique, entièrement tourné en Italie, use du CinemaScope avec prodigalité. Warner Bros. et le réalisateur Robert Wise ont accumulé les dépenses en armée grecque et siège de Troie. […] Comme souvent dans les péplums, l’interprétation est parfois guindée. Warner réunit deux inconnus, Rossana Podesta, une exquise beauté italienne, et Jacques Sernas, un musculeux et beau Français. Ils correspondent visuellement tous les deux à leurs rôles », tandis que Bosley Crowther note dans The New York Times[5],[4] « toutes les techniques de guerres antiques développées et affinées à Hollywood sont admirablement et bruyamment restituées grâce à des dépenses supplémentaires italiennes. […] Mais l’intrigue dramatique est complètement perdue ou totalement desservie par la banalité du scénario, la maladresse des dialogues anglais, et des clichés inexcusables. […] Dans le rôle d’Hélène, Rossana Podesta est assez éblouissante, c’est vrai, mais son émotivité et les expressions de son visage sont celles d’une figurante. De même, le jeune Jacques Sernas est un Pâris vif et beau, mais son expressivité est d’une nuance juste au-dessus de zéro. » Notes et références
Liens externes
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