Vermeil devient l'assistant de Felix Klein (-)[7]. À la demande de celui-ci, il étudie la courbure scalaire[7]. Il prouve que celle-ci est l'unique invariant scalaire faisant intervenir des combinaisons linaires du tenseur métrique et de ses dérivées premières et secondes[7]. Plus tard, Hermann Weyl (-) et Max von Laue (-) donneront des preuves supplémentaires[7].
De à , Vermeil est le dernier assistant de Klein[8]. De à , il est responsable, avec Robert Fricke (-), de l'édition complète des œuvres de Klein[8].
Publications
[Verneil 1914] (de) Hermann Vermeil, Das Näherungsverfahren und seine Anwendung auf Theorie und Praxis algebraischer und transzendenter Gleichungen, Borna-Leipzig, R. Noske, , 1re éd., 99 p. (OCLC9050975, lire en ligne [PDF]).
[Vermeil 1917] (de) Hermann Vermeil, « Notiz über das mittlere Krümmungsmaß einer -fach ausgedehnten Riemann'schen Mannigfaltigkeit », Nachrichten von der Gesellschaft der Wissenschaften zu Göttingen, Mathematisch-Physikalische Klasse, , p. 334-344 (OCLC946375662, zbMATH46.1130.01, S2CID126115781, lire en ligne [jpg]).
[GTT 1917] (de) Gothaisches genealogisches Taschenbuch der uradeligen Häuser : der in Deutschland eingeborene Adel, Gotha, J. Perthes, , 18e éd., 1044 p., 10,5 × 15 cm (OCLC888179672, SUDOC179977644, lire en ligne).