Institut français de la biodiversitéL'Institut français de la Biodiversité (IFB) est un ancien groupement d'intérêt scientifique (GIS) créé en et intégré à la FRB en 2008. Il fédèrait (en 2007) 17 membres (issus des pouvoirs publics, organismes de recherche, ONG et associations professionnelles) pour promouvoir les recherches en biodiversité en France et dans un cadre international, notamment via son site Internet. Les experts de la Commission scientifique de la Commission de l'IFB analysent la mise en œuvre des orientations nationales pour la biodiversité et exercent une veille scientifique sur les thèmes relatifs aux missions confiées à l'IFB. Ils s'appuient pour cela sur les données de différents réseaux d'experts (MNHN, IRD, Ifremer, conservatoires, etc.). Ces réseaux ont contribué à quelques avancées dont
ObjectifEn , l'objectif est de répondre aux défis et enjeux de la biodiversité, de sa restauration et préservation ainsi qu’aux engagements et obligations internationales de la France (stopper la perte de biodiversité avant 2010). Missions
Pour cela, l’IFB est ;
LocauxL'IFB a, de son temps, été hébergé dans la maison Buffon (muséum national d'histoire naturelle, jardin des plantes). Fin de l'IFB[1]En , conformément aux propositions du Grenelle de l'Environnement, la fondation pour la recherche sur la biodiversité (FRB) est créée. Elle regroupe le bureau des ressources génétiques (BRG) et l'institut français de la biodiversité (IFB). Évaluations, résultatsEn 2009, selon l'analyse annuelle[2] de la Stratégie Nationale pour la Biodiversité ("SNB", adoptée en 2004, déclinée en 11 plans sectoriels) par le comité français, de l’UICN, les 11 plans d’action progressent, ainsi que les notions de corridors biologiques, et de réseaux d’aires protégées, grâce notamment aux propositions du Grenelle de l'Environnement (dont plans de restauration et de réintroduction). L'UICN note positivement l’intégration d’une dimension « biodiversité » dans le plan de mobilisation du bois, mais estime en termes de bilan global que les actions concrètes de restauration, préservation et gestion, n'avancent que trop lentement sur le terrain ; les « indicateurs » restent au rouge et l'appropriation des enjeux de biodiversité dans les politiques n'est pas encore à la hauteur. L'UICn estime que les actions engagées ne suffiront pas à tenir l’objectif 2010 pour la biodiversité. Voir aussi
Liens externes
BibliographieNotes et références
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