Le Temple universel
Le Temple universel est une mélodie pour double chœur d'hommes et orgues, composée en 1861 par Hector Berlioz sur un poème de Jean-François Vaudin. Non présentée en concert, l'œuvre est adaptée pour chœur sans accompagnement et publiée comme op. 28 en 1868. Le Temple universel est l'une des dernières partitions de Berlioz, référencée H137 (A et B) dans le catalogue des œuvres du compositeur dans le catalogue établi par le musicologue américain Dallas Kern Holoman. CompositionHector Berlioz compose Le Temple universel en janvier ou février 1861 : l'œuvre devait être exécutée par un double chœur d'hommes à Londres en septembre, ce qui n'a pas eu lieu[1]. Une version pour chœur d'hommes sans accompagnement est publiée en 1868[2]. Le Temple universel, l'une des dernières partitions de Berlioz, porte le numéro d' op. 28 ou H137 (A et B) dans le catalogue des œuvres du compositeur dans le catalogue établi par le musicologue américain Dallas Kern Holoman[3]. PrésentationLe texte du Temple universel devait être chanté en français et en anglais, par un double chœur gigantesque (8 000 choristes étaient prévus à Londres[3]) : Embrassons-nous par-dessus les frontières ! Cet « hymne galvanisant » est répété « avec enthousiasme en février 1861 » par les orphéonistes de Paris[4]. La partition est en fa majeur, Moderato maestoso à AnalyseEn 1968, Claude Ballif voit dans ce « grand « machin » destiné à une exposition au Crystal Palace de Londres » une « prémonition de certaines trouvailles de Charles Ives[6] ». Discographie
Références
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