Le département de Seine-et-Marne est divisé depuis 1988 en neuf circonscriptions législatives, d'une population moyenne de 133 085 habitants. Toutes ont élu aux élections législatives de 2002 et de 2007 des députés UMP.
Depuis le nouveau découpage électoral de 2010, en vigueur à compter des élections législatives de 2012, le nombre de circonscriptions est passé de neuf à onze, du fait de la forte croissance démographique du département. Quatre députés socialistes et sept issus de la droite sont élus en 2012. En 2017, cinq députés LREM-MoDem sont élus, la droite conservant cinq sièges et le PS, un seul. En 2022, les orientations se diversifient. Sont élus 3 députés NUPES (2 FI, 1 PS), cinq députés de la majorité présidentielle (2 LREM, 1 Agir, 1 Horizons, 1 MoDem), deux députés LR et une députée RN.
↑Le , Yves Jego, député pour la troisième circonscription, démissionnaire, est remplacé par son suppléant, Jean-Louis Thiériot [Source : Faustine Léo, « Melun : Jean-Louis Thiériot assure « qu’il n’abandonnera pas la Seine-et-Marne » : Jean-Louis Thiériot (LR) a quitté la présidence du conseil départemental. Il a préféré siéger au Palais Bourbon, après la démission d’Yves Jégo (UDI) dont il est le suppléant. Son successeur doit être élu ce vendredi matin à Melun », Le Parisien], édition de Seine-et-Marne, (lire en ligne, consulté le ). (LR)
↑Faustine Léo, « Législatives en Seine-et-Marne: Christian Jacob renonce à briguer un 6e mandat : Le président des Républicains, député depuis 1995, ne sera que suppléant lors des prochaines élections de juin. Une aubaine pour le Rassemblement national qui avait déjà coché cette circonscription de Provins comme gagnable », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le )« L’ancien maire de Provins (Seine-et-Marne), plusieurs fois ministre dans le gouvernement de Jean-Pierre Raffarin et jusqu’ici président des Républicains, a décidé de passer la main à Isabelle Périgault (LR), maire du Plessis-Feu-Aussoux. Il sera néanmoins suppléant et accompagnera sa candidate pour tenter de conserver la circonscription ».
↑Ghislain Bray est le suppléant de Christian Jacob, qui a renoncé à son mandat le , à la suite de sa nomination au gouvernement, comme ministre délégué, chargé des Petites et moyennes entreprises, du Commerce, de l'Artisanat, des Professions libérales et de la Consommation.
↑Roger Boullonnois est le suppléant de Jean-François Copé, qui a renoncé à son mandat le , à la suite de sa nomination au gouvernement, comme ministre délégué, chargé de l'Intérieur, Porte-parole du Gouvernement.
Étienne-Louis Bezout, administrateur du district de Nemours. Est appelé à siéger en vertu de la loi du 7ventôsean III () et du tirage au sort destiné à compléter la Convention, opéré le 5floréal ().
Petithomme (Jean-Baptiste), administrateur du département. N'a pas siégé.
Guyardin (Simon-Nicolas), ex-grand vicaire épiscopal, administrateur du département. N'a pas siégé.
Vacheron (Jacques-Théodore), administrateur du département. N'a pas siégé.
Galand (Pierre-Sébastien), administrateur du district de Meaux. N'a pas siégé.
Laborde, administrateur du département. N'a pas siégé.
Marest (Étienne), ex-vicaire épiscopal. N'a pas siégé.
Le Preux-Poincy (Louis-François), marchand à La Ferté-sur-Marne, administrateur du district de Meaux. N'a pas siégé.
Pichonnier (Romain). N'a pas siégé.
Frager (Claude), cultivateur à Ebly. N'a pas siégé.
Chapelle (Jean-André), administrateur du directoire du département. N'a pas siégé.
Les électeurs de Seine-et-Marne nommèrent 11 suppléants au lieu de cinq. Un seul fut appelé à siéger.