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Mohammed Ghali El Fassi, né en 1908 à Fès et mort à Rabat le , est un homme d'État marocain[1].
Activisme
Comme son cousin Allal El Fassi, il passera au nationalisme et à l'Istiqlal en étant le lien entre le Sultan Mohammed V et les nationalistes durant la période préindépendance, où son rôle était de transmettre les informations de l'extérieur vers l'intérieur du Palais Royal. Il a été aussi l'un des signataires du Manifeste de l'indépendance du et a été longuement emprisonné pour son nationalisme et sa proximité avec Feu Mohammed V.
Formations
Il eut une formation au collège Moulay-Driss de Fès puis à la Quaraouiyine dont il deviendra le recteur. Plus tard, il obtiendra une licence en lettres à la Sorbonne ainsi qu'un diplôme de l'institut des langues orientales.
Fonctions
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Perles de l’histoire du Maroc et de l’Andalus aux époques Almoravide et Almohade (en collaboration avec Ahmed Balafrej) (1931) •Contes fassis (en français) • Rage du Califat almohade, Abou Al-Abbas El Jraoui (1957) • L’écrivain ministre, Mohamed Ben Othman El Meknassi (1960) • Livre de présentation du Maroc (1961) • Annotation de « L’élixir pour libérer le captif », de Mohamed Ben Othman El Meknassi •Annotation de « Le voyage marocain » de El-Abdi Annotation de « Intimité du lion et de l’errant », de Mohamed Essarraj • Inspiration de transparence (ensemble d’articles) (1969) •Arabités des femmes de Fès (1975) • Le patrimoine du Malhoun (6 tomes, éditions de l’Académie du royaume du Maroc).