Nous les coyotesNous les coyotes
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution. Nous les coyotes est une comédie dramatique franco-américaine réalisée par Hanna Ladoul et Marco La Via et sortie en 2018. Le film a été présenté lors de la 71e édition du Festival de Cannes dans la programmation de l'ACID. SynopsisL'histoire suit un jeune couple, Amanda et Jake, durant leurs premières 24 heures à Los Angeles. Ils viennent de l'Illinois en voiture pour l'entretien d'embauche d'Amanda dans une maison de disques. Rien ne se passe comme prévu durant cette journée qui enchaîne les déboires, d'un bout à l'autre de la ville.[1] Fiche technique
Distribution
SortieAccueil CritiqueEn France, le site Allociné recense une moyenne des critiques presse de 2,9/5, et des critiques spectateurs à 4,4/5[2]. Pour Jacky Goldberg des Inrocks, « Au-delà de sa justesse descriptive, le film tire sa force de sa capacité à faire du cinéma à partir de presque rien, de l’anecdotique et du quotidien, des jeux de regards, des pas feutrés et des chuchotements. »[3] Pour François Forestier de L'Obs, « Tirant le meilleur parti d'un budget étriqué, Hanna Ladoul et Marco La Via trouvent un ton, une énergie amusée, et transforment une petite idée (sans doute autobiographique) en une sympathique virée californienne. Il y a de la vie, là-dedans. »[4] Pour Jérémie Couston de Télérama, « Apprivoiser le monde des adultes, se faire une place au soleil, se fondre dans la masse sans renier son identité : voilà l’objectif de Jake et Amanda, jeune couple d’Américains parti de l’Illinois pour s’installer dans la Cité des anges. Leur histoire résonne avec celle des réalisateurs, Français exilés à Los Angeles, et auteurs de ce premier long métrage attachant, plein de vitalité, qui évite les écueils inhérents à son sujet, tel que l’excès de naïveté ou d’arrogance. »[5] Le Parisien décrit Nous les coyotes comme « Un joli film sur la jeunesse et l’émancipation, dans un Los Angeles aux couleurs saturées de soleil. »[6] Pour Olivier Pélisson de Bande à part, « Sans cynisme ni angélisme, ce conte montre la paupérisation, la loi des séries, les rêves et les chutes dans la mégapole du tout est possible, du pire au meilleur. Avec une bienveillance dans la captation des visages entre béton et océan. »[7] DistinctionsSélections
Références
Liens externes
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