Share to:

 

Pléven

Pléven
Pléven
Le lac d'Arguenon depuis l'embarcadère de Pléven.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Côtes-d'Armor
Arrondissement Dinan
Intercommunalité Communauté d'agglomération Dinan Agglomération
Maire délégué Christian Guilbert
Code postal 22130
Code commune 22200
Démographie
Gentilé Plévennais, Plévennaise
Population 609 hab. (2022 en évolution de +4,64 % par rapport à 2016)
Densité 63 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 29′ 27″ nord, 2° 19′ 09″ ouest
Altitude 80 m
Min. 7 m
Max. 107 m
Superficie 9,73 km2
Élections
Départementales Canton de Plancoët
Législatives Deuxième circonscription
Historique
Fusion
Intégrée à Val-d'Arguenon
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Pléven
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Pléven
Géolocalisation sur la carte : Côtes-d'Armor
Voir sur la carte topographique des Côtes-d'Armor
Pléven
Géolocalisation sur la carte : Bretagne (région administrative)
Voir sur la carte administrative de Bretagne (région administrative)
Pléven

Pléven [plevɛ̃] est une ancienne commune française située dans le département des Côtes-d'Armor et la région Bretagne.

Au , la commune fusionne avec Pluduno pour former la commune de Val-d'Arguenon.

Géographie

Situation

Carte de l'ancienne commune de Pléven et des communes avoisinantes.

Pléven est une commune située dans les Côtes d'Armor, bordée par la forêt de la Hunaudaye à l'ouest et par le lac d'Arguenon au sud et à l'est. Elle est proche de Plancoët.

Relief et hydrographie

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Finistère nord, caractérisée par une pluviométrie élevée, des températures douces en hiver (°C), fraîches en été et des vents forts[2]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Intérieur », exposée à un climat médian, à dominante océanique[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 713 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 6,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Quintenic à 8 km à vol d'oiseau[4], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 769,8 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme

Typologie

Au , Pléven est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9] et hors attraction des villes[10],[11].

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (84,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (52,1 %), prairies (22 %), zones agricoles hétérogènes (10,2 %), forêts (9,4 %), eaux continentales[Note 1] (2,8 %), zones urbanisées (2,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous les formes de Pleveno en 1083[13], Pleuhen en 1214, Plueen en 1220, Parochia de Pleven en 1264, 1469 et en 1516[14].

Son nom vient du breton ploe qui désigne la paroisse de saint Even[14].

Plévin en gallo[15].

La forme bretonne proposée par l'Office public de la langue bretonne Pleven[16].

Histoire

Néolithique

Une allée couverte, située au Port Blanc, aujourd'hui détruite, atteste le peuplement ancien de la commune. Elle comportait 8 orthostates en grès et la pierre de chevet. Elle a été détruite en 1878.

Moyen Âge

Les bourgs Heussais[17] constituent la plus grosse motte castrale du haut Moyen Âge (XIe siècle), ainsi décrite en 1778 par Jean-Baptiste Ogée :

« Près le château de la Hunaudaye, est une place très grande ; dans son enceinte deux esplanades séparées, capables de contenir trois ou quatre légions en bataille. Du côté du terre-plein, et où il n'est rien que de moyens coteaux, ce font des remparts très élevés avec des grands fossés en dehors. Les esplanades du côté de l'Est dominent la rivière d'Arguenon, à une très grande hauteur, en coteau perpendiculaire tout hérissé de rochers ingravissables. De ces deux esplanades, la moindre paraît avoir été la citadelle de l'autre : elle était séparée de la grande par une petite gorge seulement, et défendue, outre sa situation , par un fossé particulier, du côté de la grande esplanade, par des demi-tours en terre, outre une autre de même matière, d'une grosseur et d'une hauteur extraordinaires, qui ont un grand fossé tout autour taillé dans le roc. Quelque chose de surprenant, c'est qu'à peine y a-t-il un pied de terre sans trouver le roc, et qu'on n'aperçoit nulle cavité aux environs , où on aurait pu tirer l'étonnante quantité de terre qui compose cette masse énorme et tous les remparts. On n'y voit point de vestiges de murailles en pierres, mais seulement des débris de tuiles carrées. Est-ce ici un ouvrage des temps barbares, ou bien, est-ce une station des Romains ?[18]. »

Grâce au financement du Conseil général des Côtes-d'Armor, ce site a fait l'objet d'une très belle reconstitution en 3D en 2009[19]. Selon le réalisateur de cette reconstitution, le site, à cette époque, n'avait pas fait l'objet de fouilles archéologiques complètes. Il est constitué de deux basses-cours :

  • l'une, petite, pour la famille seigneuriale ; elle comprenait un bâtiment d'habitation, une aula, et une chapelle ;
  • la deuxième abritait les bâtiments et dépendances réservés aux gens d’armes, le écuries, une forge, et un grenier à provisions[20].

Selon Jean-Baptiste Ogée, qui cite Dom Morice, « le manoir de Montboucher appartenait vers 1050, à Geoffroi de Montboucher, qui donna à l'Abbaye Saint-Georges de Rennes les dîmes dont jouissait cette maison, pour la dot de sa fille qui avait pris le voile dans ce monastère. En 1440 cette terre appartenait à dame Honorée de Montboucher. Le château de Peillard est lui aussi très ancien , il appartenait en 1250 au sire de Guemadeuc ; on voit aussi dans ce territoire les terres et maisons nobles du Vaumadeuc, la Dieufaye, le Rocher annexé au Guebriand »[21].

Renaissance

Au XVe siècle, un certain Madeuc, sire de Guémadeuc, construit le manoir de Vaumadeuc.

Temps modernes

Carte de Cassini des paroisses de Pléven et Landébia ; à l'ouest la forêt de la Hunaudaye.

Avant la Révolution française, Pléven fait partie de la baronnie de La Hunaudaye et sur le plan religieux du diocèse de Saint-Brieuc.

Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Pléven en 1778 :

« Pléven ; à 7 lieues un quart à l'Est de Saint-Brieuc, son évêché ; à 13 lieues et demie de Rennes ; et à 3 lieues un quart de Lamballe, sa subdélégation. Cette paroisse ressortit à Jugon, et compte 500 communiants[Note 2]. M. le Comte de Rieux en est le seigneur ; la cure est à l'alternative. Son territoire, baigné des eaux de la rivière d'Arguenon , est en partie occupée par la forêt de la Hunaudaye ; des terres en labeur [labour], des prairies, et un peu de landes. Il avait un cœur remarquable : on voit communément, dans bien des endroits, des mottes élevées anciennement, et apparemment dans le temps de barbarie [sic], pour la défense et le refuge des habitants[18]. »

Révolution française

La commune, érigée en 1790 appartient sous le Directoire au canton de Jugon, comme commune administrée par un agent communal. La paroisse de Pléven est supprimée en 1792 puis rétablie en 1803, et est le théâtre au cours de la Révolution de combats entre les Bleus et les Chouans qui disposent de refuges dans la forêt voisine.
En 1798, la commune est condamnée en tant que telle à rembourser à Thibaud de la Chainneais le cidre que les chouans lui avaient volé. Le Vaumadeuc est habité au XIXe siècle par un érudit, Tresvaux du Fraval, tandis qu'un Danican (armateur malouin) fait bâtir le manoir des Portes.

Le XIXe siècle

Pléven ː tableau d'assemblage du cadastre de 1827.

Pléven a vu naître en 1805 Mgr Lebreton, vicaire général de Saint-Brieuc avant de devenir évêque du Puy, où il meurt en 1886.

La paroisse de Landébia est créée par un décret du  ; son territoire ampute celui de la paroisse de Pléven[22].

A. Marteville et P. Varin, continuateurs d' Ogée décrivent ainsi Pléven en 1853 :

« Pléven : commune formée de l'ancienne paroisse de ce nom ; aujourd'hui succursale. (..) Principaux villages : la Basse-Lane, la Vieille-Hote, la Ville-Gicquet, le Fémulon, le Plessis, Saint-Symphorien, le Vaumadeuc, le Beaufillon, la Ville-Baudoyin,la Chauvinais, le Vau-Boscher, Bellevue. Superficie totale : 974 hectares 17 ares, dont (..) terres labourables 571 ha, prés et pãturages 59 ha, bois 81 ha, vergers et jardins 12 ha, landes et incultes 194 ha (..). Moulins: 2 (du Bois-Bille, à eau). Plévin est un petit bourg situé sur la route de Lamballe à Plancoët, chemin qui traverse la commune de l'ouest-sud-ouest à l'est-nord-est. (..) Géologie : granite ; schiste micacé dans le sud-ouest. On parle le français [en fait le gallo][23]. »

Ces mêmes auteurs précisent que Jean-Baptiste Ogée a omis le château de Kerlouet et les manoirs de Penhoet et Crachqueta (qu'il a placé par erreur à Plévin au lieu de Pléven).

Joachim Gaultier du Mottay écrit en 1862 que Pléven a un territoire assez élevé, que sa partie ouest est plane, mais que les autres sont très accidentées, que la commune est boisée et plantée de pommiers et possède une école mixte ayant 78 élèves. Il indique aussi que « l'église, sous le patronage de saint Pierre, renferme la statue et les reliques de saint Symphorien, précédemment déposées dans une chapelle qui n'existe plus » [24].

Le XXe siècle

La Belle Époque

La Première Guerre mondiale

Le monument aux morts de Pléven porte les noms de 41 soldats morts pour la Patrie pendant la Première Guerre mondiale ; parmi eux Édouard Morin est mort de maladie en 1917 à Salonique (Grèce) ; la plupart des autres sont morts sur le sol français, dont Pierre Rohan, tué à l'ennemi le à Douaumont, décoré de la Médaille militaire et de la Croix de guerre [25].

L'Entre-deux-guerres

La Seconde Guerre mondiale

Le monument aux morts de Pléven porte le nom d'une personne morte pour la France durant la Seconde Guerre mondiale : Pierre Heuzé, lieutenant FFI, tué à l'ennemi le au Poteau en forêt de la Hunaudaye[25].

XXIe siècle

En 2025, la commune fusionne avec Pluduno et devient la commune nouvelle de Val-d'Arguenon[26].

Politique et administration

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1958 1989 Jean Doué DVG Agriculteur, ancien résistant en 39-45, fut maire honoraire jusqu'à son décès
1989 2008 Jean-Louis Rouxel PS exploitant agricole
mars 2008 23 mai 2020 Henry Blanchard DVG retraité de l'enseignement spécialisé
23 mai 2020 En cours Christian Guilbert[27]    
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[29].

En 2022, la commune comptait 609 habitants[Note 3], en évolution de +4,64 % par rapport à 2016 (Côtes-d'Armor : +1,78 %, France hors Mayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
524429546525517596647671685
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
654684719697728769774742757
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
694670651596591553573609558
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
607606630594578565597619565
2015 2020 2022 - - - - - -
581599609------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments

  • Le Manoir des Portes du XVe siècle. Il est devenu la mairie.

Autour de la partie centrale, entourée encore d'une douve à l'est et à l'ouest, se situent deux plateaux protégés aux angles par des restes de fortification. On peut supposer que cette forteresse qui défendait le passage de l'Arguenon fut abandonnée pour une structure défensive plus moderne, le château de La Hunaudaye.

  • L'église Saint-Pierre.

Le château de la Hunaudaye

Il est situé en Plédéliac, mais à la limite de Pléven.

Personnalités liées à la commune

  • L'abbé François-Marie Tresvaux du Fraval, né à Loudéac en 1782, mort à Paris en 1862 est vicaire général de Mgr de Quélen entre 1832 et 1835 puis doyen du chapitre. Il fait la connaissance d'une nièce de Minet, dont il devient le confesseur. Il fait très tôt des séjours au manoir du Vaumadeuc à Pléven avant que son neveu ne l'habite et surtout qu'il n'en devienne propriétaire. Il lègue à ce neveu, Charles-Marie Tresvaux du Fraval, sa bibliothèque, différents objets ainsi qu'une correspondance. Auteur de nombreux ouvrages, il réédite la Vie des saints de Bretagne de Dom Lobineau (1836), publie d'après les matériaux de Dom Maurice une Histoire de l'Église de Bretagne depuis ses commencements jusqu'à nos jours (1839).
  • Mgr Lebreton (1805-1886) , vicaire général de Saint-Brieuc avant de devenir évêque du Puy.
  • Yves Le Goff est un ancien coureur cycliste, né le à Pléven.

Notes et références

Notes

  1. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  2. Personnes en âge de communier
  3. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.

Cartes

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Pléven et Quintenic », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Quintenic » (commune de Quintenic) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Quintenic » (commune de Quintenic) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  9. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
  14. a et b infobretagne.com, « Étymologie et Histoire de Pleven ».
  15. Erwan Vallerie, Diazezoù studi istorel an anvioù-parrez, an Here, (ISBN 978-2-86843-153-0), p. 141
  16. « Pléven - KerOfis - Base de données toponymiques du service patrimoine linguistique et signalisation de l'Office Public de la Langue Bretonne »
  17. a et b Notice no PA00089446, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  18. a et b Jean-Baptiste Ogée, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, vol. 3, Nantes, Vatar Fils Aîné, (lire en ligne), p. 373.
  19. « Motte castrale » [vidéo], sur YouTube (consulté le ).
  20. « Motte castrale des Bourgheussais, simulation 3d », sur kiwimage.com, (consulté le ).
  21. Jean-Baptiste Ogée, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, vol. 3, Nantes, Vatar Fils Aîné, (lire en ligne), p. 374.
  22. « Étymologie et histoire de Pléven », sur pnfobretagne.com (consulté le ).
  23. A. Marteville et P. Varin, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, vol. 2, Rennes, Deniel, (lire en ligne), p. 300.
  24. Joachim Gaultier du Mottay, Géographie départementale des Côtes-du-Nord, Saint-Brieuc, Guyon frères, (lire en ligne), p. 385
  25. a et b « MémorialGenWeb Relevé », sur memorialgenweb.org (consulté le ).
  26. Ouest-France, « La fusion entre les communes de Pluduno et Pléven approuvée par les deux conseils municipaux », sur Ouest-France.fr, (consulté le )
  27. « Municipales à Pléven. Le nouveau conseil municipal a élu Christian Guilbert », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
  32. Notice no PA00089445, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Sur les autres projets Wikimedia :

Information related to Pléven

Prefix: a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9

Portal di Ensiklopedia Dunia

Kembali kehalaman sebelumnya