Le toponyme Sillègue apparaît sous les formes
Sanctus Petrus de Silegue (1160[2]),
Sileugue (1316[2]),
Silegoe (1350[2]),
Silleugue (1413[2]),
Silegoe (1472[1], notaires de Labastide-Villefranche[3]),
Silengoa (1513[1], titres de Pampelune[4]),
Sillègue-les-Domezain (1734[1], règlement de la cour de Licharre) et
Sillegue (1793[5] et 1801[5], Bulletin des lois).
Histoire
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
Le recensement[7] à caractère fiscal de 1412-1413, réalisé[8] sur ordre de Charles III de Navarre, comparé à celui de 1551 des hommes et des armes qui sont dans le présent royaume de Navarre d'en deçà les ports[9], révèle une démographie en forte croissance. Le premier indique la présence de 5 feux, le second de 22 (20 + 2 feux secondaires).
Le recensement de la population de Basse-Navarre de 1695[10] dénombre 20 feux à Sillègues.
↑Jean-Baptiste Orpustan, Ouvrage collectif, Amikuze - Le Pays de Mixe, Éditions Izpegi - 1992 (ISBN2 909262 05 7), page 77
↑Recensements cités par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque III : Évolution économique et sociale du XVIe au XVIIIe siècle, t. 3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411 p. (ISBN8483317443 et 9788483317440, OCLC466971263), p. 26. Le même ouvrage de Manex Goyhenetche indique (page 284) qu'il faut compter une moyenne démographique de 5.5 par feu.
↑Transcrit et publié par Ricardo Cierbide, Censos de población de la Baja Navarra, Max Niemeyer Verlag, Tübingen, 1993
↑Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, E 575, transcrit par Louis Baratchart dans Les amis de la vieille Navarre, janvier 1995, pages 44-54
↑Bibliothèque nationale, 6956, registre Moreau 979, cité par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque III : Évolution économique et sociale du XVIe au XVIIIe siècle, t. 3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411 p. (ISBN8483317443 et 9788483317440, OCLC466971263), p. 299.