Le titre traduit le fait que le thème est issu d'un air de berger ardéchois recueilli par le compositeur. Ce thème forme la cellule sur laquelle est bâtie toute la symphonie. Le piano, bien qu'ayant un large rôle de soliste, se fond dans l'orchestre, qui lui offre ainsi la possibilité de maintenir de longs dialogues.
Structure
Cette symphonie comprend trois mouvements réalisés dans l'esprit d'un allegro, d'un andante, puis d'un finale en forme de rondo[1] :
Élisabeth Pommiès, Vincent d'Indy, Biarritz, Séguier, coll. « Carré Musique » (no 5), (ISBN2-84049-220-2).
François-René Tranchefort, « Vincent d'Indy », dans François-René Tranchefort (dir.), Guide de la musique symphonique, Paris, Fayard, coll. « Les Indispensables de la musique », , 896 p. (ISBN2-213-01638-0), p. 372-376.