2-9 septembre : la IVe conférence au sommet du mouvement des non-alignés à Alger rassemble 65 chefs d’État et 16 mouvements de libération[6]. Elle réclame un nouvel ordre économique mondial.
12 septembre : Tokyo Round. Le 14 septembre, une déclaration des ministres du GATT réunis à Tokyo ouvre les négociations commerciales multilatérales (fin le )[7],[1].
26 janvier : affaire Sampaio/Fernando au Mozambique. Deux prêtres, accusés par la DGS d’encourager leurs paroissiens sur la voie du séparatisme, sont condamnés avec sursis. Le père Telles Sampaio avait en fait dénoncé dans un sermon la destruction et l’extermination des habitants d’un village à Mucumbura du nord du Mozambique par l’armée portugaise[10].
15 avril : discours de Zouara. Mouammar Kadhafi consolide son pouvoir en République arabe libyenne en décrétant une « révolution populaire ». Il demande un « sursaut populaire » contre un appareil administratif jugé « anti-démocratique » et accuse le parti unique (CCR) de « confisquer le pouvoir »[15]. Des comités populaires sont créés, les lois en vigueur sont suspendues, la population est armée. Le 2 juin, les comités populaires investissent la radio et la télévision ; le 11 juin, la révolution populaire gagne l’enseignement, l’agriculture et les centres culturels urbains[16].
9-13 mai : première conférence des ministres africains des finances et de l’économie à Abidjan, destinée à dresser le bilan de « la première décennie du développement ». Elle adopte une déclaration africaine sur la coopération, le développement et l’indépendance économique, approuvée au sommet de l’OUA à Addis-Abeba le 26 mai[17].
18 octobre : The hidden famine, un reportage qui fait la révélation sur la famine en Éthiopie est diffusé à la télévision britannique[26].
25 octobre : les chefs des missions diplomatiques des pays africains accrédités à Paris publient un communiqué qui condamne « les visées expansionnistes et annexionnistes d’Israël ». La guerre du Kippour provoque la rupture en chaîne des relations diplomatiques des États d’Afrique noire membres de l’OUA avec Israël[27],[28].
26 - 28 novembre : les chefs d'État arabes réunis à Alger décident de créer la Banque arabe pour le développement économique de l’Afrique (BADEA)[29].
30 novembre : au Zaïre, le discours du président Mobutu devant le Conseil exécutif national lance les mesures de zaïrianisation[30]. Les biens des étrangers sont confisqués et distribués aux partisans du régime[23].
12 février : annonce lors du G5 par le secrétaire américain du Trésor George P. Shultz de la deuxième dévaluation du dollar de 11,1 % par rapport au mark et au franc[33].
22 février : au Pérou, le président Juan Velasco Alvarado est hospitalisé pour un anévrisme de l’aorte abdominale et doit subir une amputation de la jambe droite tandis que l’agitation sociale est ascendante. Le 12 mars, le général Edgardo Mercado Jarrín assume la présidence, mais le 31 mars Alvarado, bien qu’affaiblit, reprend ses fonctions[34].
23 février : le président de la République de l’UruguayJuan María Bordaberry accepte la création d’un Conseil de sécurité nationale (COSENA), composé de militaires, qui va s’imposer petit à petit comme le vrai centre du pouvoir[35].
4 mars : l’Unidad Popular obtient 43,6 % des voix aux législatives au Chili, plus que pour les présidentielles de 1970, et augmente sa représentation parlementaire ; l’opposition unie obtient 54,5 % mais pas la majorité des deux tiers au Congrès nécessaire pour renverser le président[36]. Sous la pression des différents partis de son gouvernement, Salvador Allende ne peut accepter les conditions posées par les militaires pour participer à un nouveau gouvernement. Leur participation au gouvernement pendant six mois n’a pas ramené le calme politique mais les a rapproché du pouvoir. D’avril à septembre, Allende cherche diverses issues à la crise, sous la forme d’ajustements économiques et de remaniements ministériels, en vain. L’opposition, appuyée de plus en plus ouvertement par les États-Unis, organise le blocage des institutions, aggrave la crise économique en lançant des grèves à répétition et recours même à la violence[37].
27 juin : coup d’État en Uruguay. Appuyé par l'armée, le président Juan María Bordaberry dissout le Parlement pour « grave violation des principes constitutionnels » et prend tous les pouvoirs. Fin du gouvernement constitutionnel. Un régime autoritaire collégial de 25 membres s’installe[35]. L’état de siège est déclaré afin de pouvoir lancer la guerre contre la subversion. Les partis de gauches sont interdits et leurs dirigeants arrêtés. Les autres partis sont suspendus et le système électoral est abandonné.
9 août : retour des militaires au gouvernement au Chili. Le 22 août, la Chambre des députés adopte une motion qualifiant d’illégale la coalition de gauche et enjoint aux militaires de choisir entre l’exécutif et le législatif[37].
11 septembre : coup d’État au Chili. le gouvernement du Chili est renversé par un coup d’État militaire appuyé par les États-Unis[37]. Le président Salvador Allende se suicide dans le palais présidentiel de la Moneda alors que l’armée donne l’assaut. Le général Pinochet prend le pouvoir et met en place un régime militaire. Le 13 septembre, le Congrès est dissout, la Constitution suspendue, les partis politiques interdits et les médias placés sous surveillance[41]. L’état de siège est imposé et la répression sauvage. Près de 250 000 Chiliens doivent s’exiler pour échapper à la prison, la torture et la mort, la Direccíon de inteligencia nacional (DINA) faisant « disparaître » 11 000 personnes[38].
23 septembre : de nouvelles élections portent Juan Perón au pouvoir en Argentine avec 60 % des suffrages. Il lance la « reconstruction nationale »[38].
24 septembre, Argentine : l’Armée révolutionnaire du peuple est mise hors la loi et il semble que Perón va réprimer les forces de gauche. Il réactive l’alliance avec les syndicats (Acte de compromis national). Le 25 septembre, le secrétaire général de la CGT argentine est assassiné. Le 26 septembre, c’est au tour du président de la Jeunesse péroniste[38].
15 octobre, Chili : décret du ministère de l’Économie libérant totalement les prix. Un autre décret prévoit un ajustement des salaires par un système de bonification destiné à compenser l’inflation[38].
27 janvier : accord de Paris sur le Viêt Nam. Cessez-le-feu. Retrait des forces américaines du Viêt Nam du Sud dans un délai de soixante jours[43]. Il prévoit la formation d’un gouvernement tripartite de coalition qui ne verra jamais le jour. Rapidement, la situation se détériore au Sud-Viêt Nam, où les dirigeants anticommunistes corrompus, incapable de juguler l’inflation et privés du soutien d’une bonne partie des crédits américains, perdent le soutien de la population paupérisée et démoralisée.
20 février, Chine : retour de Deng Xiaoping à Pékin. Il fait sa première apparition publique le 12 avril et en août retrouve son siège au Comité central[46]. En décembre, il retrouve ses fonctions civiles et militaires.
6 avril : intervention des troupes indiennes pour restaurer l’ordre au Sikkim, agité par des troubles politiques, à la demande du chogyalPalden Thondup Namgyal[51]. Un accord est signé le 8 mai entre le représentant du gouvernement indien, le chogyal et les principaux dirigeants des trois grands partis politiques[52].
17 juillet, Afghanistan : dans une situation diplomatique et économique aggravée, Mohammed Daoud Khan s’empare du pouvoir, destitue le roi, et proclame une République afghane[58]. Il institue un gouvernement neutraliste.
8 août, Tokyo : enlèvement de Kim Dae-jung par le KCIA, les services secrets sud-coréens du dictateur Park Chung-hee. L’opposant coréen Kim Dae-jung est sauvé in extremis d’une tentative d’assassinat du KCIA grâce à l’intervention, de sa propre initiative, de l’ambassadeur américain Philip Habib[60].
15 août : fin des bombardements américains au République khmère[44], marquant officiellement la fin de 12 ans d’affrontements armés dans le sud-est asiatique.
14 octobre, Thaïlande : des manifestations organisées par des étudiants opposés au gouvernement militaire contraignent Thanom Kittikachorn à démissionner et aboutissent à la nomination d’un cabinet civil[66].
de violentes émeutes éclatent à Hama contre la laïcisation de l’État en Syrie. Elles gagnent rapidement Homs, Alep et le quartier sunnite du Midan à Damas et durent jusqu’en avril. Hafez el-Assad amende le projet de constitution en spécifiant que l’islam doit être la religion du président de la République[71].
25 février, Connecticut et 20 mai, près de Paris : rencontre entre le conseiller égyptien de la Sécurité nationale Hafez Ismaïl et Henry Kissinger[73], qui établit la politique des « petits pas » : reconnaissance de la souveraineté égyptienne sur le Sinaï mais maintien de la présence militaire d’Israël pendant quelques années pour garantir sa sécurité[74]. Sadate refuse, appuyé par les soviétiques qui rejettent leurs engagements du sommet de Moscou.
10 avril : un commando israélien dirigé par Ehud Barak assassine à Beyrouth trois responsables du Fatah, Kamal Nasser, Abou Youssef et de Kamal Adouan. Le raid provoque au total la mort de dix-sept personnes dont neuf fedayin, quatre Libanais, trois Syriens et une femme italienne. Le 12 avril, à l’occasion des obsèques, une manifestation rassemble 250 000 personnes accusant les autorités de passivité face aux raids du Mossad[76].
2-10 mai : de violents combats opposent à Beyrouth l’armée libanaise et des fedayin palestiniens. Les violences se multiplient au Liban entre Palestiniens et chrétiens, entre ces derniers et les forces de la gauche libanaise, entre chefs traditionnels, entre Israël et la résistance. Le 17 mai, l’accord de Melkart réglemente les activités de l’OLP au Liban et interdit les opérations de terrorisme menées à l’étranger depuis le Liban[79].
16-24 juin : deuxième sommet américano-soviétique Nixon-Brejnev[81] mentionnant les « intérêts légitimes du peuple palestinien »[82].
16 juillet : en Irak, création du Front national patriotique dominé par le parti Baas et avec la participation des communistes[83].
23 août : Sadate rencontre secrètement Fayçal à Riyad et lui fait part de sa décision d’entrer en guerre. Le roi d’Arabie saoudite lui promet un demi milliard de dollars et une utilisation de l’arme pétrolière[84],[85].
opération Badr. L’armée égyptienne franchit la ligne Bar-Lev et s’empare de plusieurs postes fortifiées[86]. Des commandos sont parachutés derrière les lignes israéliennes pour couper les communications. L’intervention de l’aviation israélienne est un échec devant les batteries antiaériennes égyptiennes. L’Égypte établit une ligne de défense en profondeur sur la rive Est du canal de Suez. Les Israéliens ont perdu 900 blindés dans les combats.
offensive syrienne sur le Golan, combinée à des actions de commandos sur les principales bases israéliennes du plateau. L’aviation israélienne essuie de lourdes pertes. La ligne de défense israélienne recule[88].
10 octobre : les Soviétiques organisent un pont aérien pour ravitailler en armes les Syriens[90].
13 octobre : les Syriens sont revenus à leurs lignes de départ[90]. La Syrie réorganise ses forces avec l’aide de blindés jordaniens et de contingents irakiens, assure la défense de Damas mais échoue à mettre en œuvre une contre-offensive[88]. Israël a dû sacrifier le quart de son potentiel militaire. Il s’adresse aux États-Unis pour de nouvelles fournitures, menaçant de recourir à l’arme nucléaire. Les États-Unis organisent un pont aérien le lendemain[90].
16 octobre : dans un discours devant l’Assemblée nationale égyptienne Sadate se dit prêt à accepter un cessez-le-feu et à entamer des pourparlers de paix en échange d’un retrait israélien su Sinaï[92], mais Israël refuse.
17 octobre : début du premier choc pétrolier. les représentants des pays arabes pétroliers (OPAEP), réunis à Koweït, décident une réduction mensuelle de 5 % de la production pétrolière jusqu’à évacuation des territoires occupés et reconnaissance des droits des Palestiniens[1].
22 octobre : le Conseil de sécurité des Nations unies adopte la résolution 338, qui réaffirme la validité de la résolution 242, adoptée pendant la guerre des Six Jours (1967) et appelle toutes les parties au conflit (l’Égypte, la Syrie, Israël, la Jordanie) à un cessez-le-feu immédiat et à des négociations en vue « d’instaurer une paix juste et durable au Moyen-Orient ». L’Égypte accepte, puis la Syrie et Israël. Ce dernier décide cependant de ne pas respecter le cessez-le-feu et poursuit dans la nuit sa manœuvre d’encerclement de la IIIe armée égyptienne[90]. Le camp militaire situé au kilomètre 101 de la route Le Caire-Suez est pris, et les forces israéliennes sont devant Suez[94].
24 octobre : la résolution 339 exige le retrait des Israéliens sur leurs positions du 22 octobre. L’Union soviétique propose une intervention militaire conjointe avec les États-Unis pour séparer les belligérants, mais Henry Kissinger refuse. Les Soviétiques sont prêts à agir unilatéralement[95].
25 octobre : à 0 h 25, Kissinger décide de mettre en état d’alerte toutes les forces américaines du secteur atlantique, y compris l’aviation stratégique nucléaire (DEFCON III)[95]. La résolution 340 réitère l’ordre de cessez-le-feu et crée une Force d’urgence des Nations unies (FUNU). Devant la tension internationale, Israël accepte le cessez-le-feu[94].
27 octobre : des pourparlers militaires entre l’Égypte et Israël commencent au kilomètre 101 de la route Le Caire-Suez[95].
11 novembre : accord technique du « kilomètre 101 » entre Israël et l’Égypte sous les auspices de Kissinger[96]. Il permet de ravitailler l’armée égyptienne et des échanges de prisonniers.
26 - 28 novembre : VIe sommet des Chefs d'État arabes à Alger[97],[29] qui proclame pour la première fois que l’OLP est « le représentant du peuple palestinien » et réitère les objectifs des États arabes face à Israël : libération totale des terres conquises en 1967, libération de la Jérusalem arabe et refus de toute atteinte à la souveraineté de cette dernière, rétablissement des droits nationaux du peuple palestinien[98]. Il exige la fin du soutien militaire et économique de l’Europe occidentale à Israël et la suppression de l’embargo sur les ventes d’armes aux pays arabes. Il demande aux États-Unis une meilleure considération de la cause arabe. Il réitère la nécessité du soutien des pays de l’Est à la cause arabe et la poursuite des livraisons d’armes. Les États-Unis doivent infléchir leur politique jugée trop favorable à Israël, tout comme l’Europe occidentale et le Japon[99].
21 décembre : ouverture de la conférence de Genève[73]. Syriens et Égyptiens, soucieux d’obtenir un retrait militaire israélien, sont disposés à céder sur la question palestinienne. Un comité technique militaire, chargé du désengagement des belligérants, est mis en place.
22-23 décembre : la conférence de l’OPEP tenue à Téhéran décide d’augmenter le prix du baril de pétrole brut qui atteint 11,65 dollars (contre 2,9 en octobre)[103].
25 décembre : les ministres de l’OPAEP réunis au Koweït décident d’abandonner la réduction mensuelle de production ponctuelle de 5 %[1].
un référendum en Ulster, boycotté par les partis nationalistes (41,8 % d’abstentions), opte à 98,9 % pour le maintien de l’Ulster dans le Royaume-Uni[110].
18-22 mai : Léonid Brejnev est le premier secrétaire général du Parti communiste de l’Union soviétique à se rendre en Allemagne de l’Ouest ; le 19 mai, il signe avec Willy Brandt un accord de coopération économique, industrielle et technique pour dix ans[80].
1er octobre, RDA : un document retrouvé en août 2007 dans les archives de la Stasi autorise les agents de la police politique à tirer sur quiconque essayerait de franchir le mur de Berlin, y compris les femmes et les enfants[125].
13 novembre : état d’urgence au Royaume-Uni ; face à la grève des mineurs du charbon, le gouvernement conservateur impose une semaine de trois jours de travail (Three-Day Week) afin de préserver les stocks de charbon utilisés pour produire de l’électricité (fin le )[128].
14 novembre : révolte de l’École polytechnique d’Athènes contre le régime des colonels en Grèce, prise d’assaut par des chars dans la nuit du 16 au 17 ; la répression provoque une centaine de morts[115].
↑ abcd et eAssociation Georges Pompidou, Georges Pompidou face à la mutation économique de l'Occident, 1969-1974 : Actes du Colloque des 15 et 16 novembre 2001 au Conseil économique et social, Presses universitaires de France, (ISBN978-2-13-063724-0, présentation en ligne)
↑Albert Léonard Dikoume, La fiscalité pétrolière des États membres de la CEMAC : Cameroun, Congo, Gabon, Guinée équatoriale, Tchad, Centrafrique, Paris, Harmattan, , 417 p. (ISBN978-2-296-05359-5, présentation en ligne)
↑Andrew Harrison, Ertugrul Dalkiran et Ena Elsey (trad. Siméon Fongang), Business international et mondialisation : vers une nouvelle Europe, De Boeck Supérieur, , 601 p. (ISBN978-2-8041-4470-8, présentation en ligne)
↑Ismaïla Madior Fall, Évolution constitutionnelle du Sénégal : de la veille de l'indépendance aux élections de 2007, Dakar-Fann/Paris/Dakar-Étoile, Karthala, , 191 p. (ISBN978-2-84586-882-3, présentation en ligne), p. 50-56
↑ ab et cCentre de recherches et d’études sur les sociétés méditerranéennes, La Libye nouvelle : Rupture et continuité, Institut de recherches et d'études sur le monde arabe et musulman, , 303 p. (ISBN978-2-271-08122-3, présentation en ligne)
↑Jean Maurice Djossou, L'Afrique, le GATT et l'OMC : entre territoires douaniers et régions commerciales, Presses Université Laval, , 263 p. (ISBN978-2-7384-9070-4, présentation en ligne)
↑ a et bCentre d'étude d'Afrique noire (Institut d'études politiques de Bordeaux), L'Afrique politique 1999 : Entre transitions et conflits, Khartala, , 218 p. (ISBN978-2-86537-984-2, présentation en ligne), p. 203
↑Jon Kalb, Adventures in the Bone Trade : The Race to Discover Human Ancestors in Ethiopia’s Afar Depression, Springer Science & Business Media, , 389 p. (ISBN978-0-387-98742-2, présentation en ligne)
↑Les pays africains qui rompent leurs relations diplomatiques avec Israël : Guinée (6 juin 1967) ; Ouganda (30 mars 1972) ; Tchad (28 novembre 1972) ; Congo Brazzaville (5 décembre 1972) ; Niger (10 décembre 1972) ; Mali (5 janvier 1973) ; Burundi (16 mai 1973) ; Togo (21 septembre 1973) ; Zaïre (4 octobre 1973) ; Bénin (6 octobre 1973) ; Rwanda (9 octobre 1973) ; Haute-Volta (11 octobre 1973) ; Cameroun (15 octobre 1973) ; Guinée Équatoriale (15 octobre 1973) ; Tanzanie (18 octobre 1973) ; Madagascar (20 octobre 1973) ; République centrafricaine (21 octobre 1973) ; Éthiopie (23 octobre 1973) ; Nigeria (23 octobre 1973) ; Gambie (26 octobre 1973) ; Ghana (28 octobre 1973) ; Sénégal (30 octobre 1973) ; Gabon (30 octobre 1973) ; Sierra Leone (30 octobre 1973) ; Kenya (1er novembre 1973) ; Liberia (2 novembre 1973) ; Côte d’Ivoire 8 novembre 1973) ; Botswana (13 novembre 1973) ; île Maurice (mai 1976). Seul l’Afrique du Sud, le Botswana, le Malawi, le Lesotho et le Swaziland conservent leur relation avec Israël.
↑René Kiminou, Économie et droit des affaires de la Caraïbe et de la Guyane : contribution à la connaissance des droits et des économies de la Caraïbe et de la Guyane, vol. 1, Paris, Éditions Publibook, , 226 p. (ISBN978-2-7483-4632-9, présentation en ligne)
↑Marielle Chevallier, Axelle Guillausseau, Jean-Philippe Renaud, André Ropert, Bescherelle Chronologie de l'histoire du monde contemporain : les événements majeurs de 1914 à nos jours, Hatier référence & pratique, (ISBN978-2-218-99853-9, présentation en ligne)
↑Jean-Michel Lacroix et Jean Cazemajou, La Guerre du Vietnam et l'opinion publique américaine : 1961-1973, Presses Sorbonne Nouvelle, , 199 p. (ISBN978-2-87854-020-8, présentation en ligne), p. 57.
↑Georges Fischer, « Le nouveau statut du Sikkim », Annuaire français de droit international, vol. 20, no 1, , p. 206 (présentation en ligne).
↑François Voeffray, L’actio popularis ou la défense de l’intérêt collectif devant les juridictions internationales, Graduate Institute Publications, , 406 p. (ISBN978-2-940549-15-3, présentation en ligne).
↑Nguyen Phu Duc, Arthur J. Dommen, The Viet Nam Peace Negotiations : Saigon's Side of the Story, Dalley Book Service, Inc., , 463 p. (ISBN978-0-923135-82-9, présentation en ligne).
↑Léa Drouet, La Paix à l'œuvre : Récit de négociations pacifistes entre Menahem Begin et Anouar el-Sadate, Éditions Intervalles, , 184 p. (ISBN978-2-36956-116-3, présentation en ligne)
↑Ken Wharton, Northern Ireland : An Agony Continued : The British Army and the Troubles 1980–83, Casemate Publishers, , 448 p. (ISBN978-1-911096-80-1, présentation en ligne)
↑Collectif, Politiques et pratiques des banques d'émission en Europe (XVIIe – XXe siècle) : Le bicentenaire de la Banque de France dans la perspective de l'identité monétaire européenne, Albin Michel, , 832 p. (ISBN978-2-226-37830-9, présentation en ligne)