Son équivalent était généralement le 4e jour du mois de floréal dans le calendrier républicain ou révolutionnaire français, officiellement dénommé jour de l'aubépine.
599 : le roi maya Uneh Chan de Calakmul attaque et défait la cité rivale de Palenque, dans le sud du Mexique. La reine Yohl Ik'nal est battue et la cité mise à sac.
1526 : François Ier quitte Bordeaux, après plusieurs jours de liesse populaire sur place, à son égard, avant de rejoindre sa Cognac natale, puis Angoulême, et enfin les bords de Loire de sa prime jeunesse[1].
1539 : François Ier célèbre la fête du patron de l'Angleterre, saint Georges, pour rassurer son confrère anglais Henri VIII, assailli de plus en plus souvent par les maladie, fièvre et abcès qui l'emporteront[2].
2003 : réouverture partielle d'une « ligne verte », qui séparait depuis 1974 les territoires grec et turc de Chypre.
2005 : Silvio Berlusconi est chargé par le président Carlo Azeglio Ciampi de former un nouveau gouvernement italien,t le Berlusconi bis ou Berlusconi III qui va obtenir la confiance du Parlement italien les 27 et suivants.
2015 : premier jour de louange, événement mondial tenu simultanément dans des églises et synagogues à travers le monde en parallèle à un événement central ayant lieu à la synagogue « Hazvi Israël » à Jérusalem (Israël & Palestine).
2018 : une camionnette fauche une trentaine de personnes sur près de deux kilomètres du trottoir de la principale artère rue Yonge de la ville de Toronto au Canada. Le conducteur de 25 ans tue ainsi dix personnes et en blesse quinze autres[5].
1950 : Maître Gérard Michel, avocat français chroniqueur juridique de l'émission méridienne de conseils pratiques en tous genres La quotidienne sur France 5.
1953 : James Russo, acteur, producteur et scénariste américain.
1954 : Michael Moore, écrivain et réalisateur américain de documentaires engagés.
2018 : Louis de Cambridge, fils de la duchesse de Cambridge Catherine Middleton et du prince William et duc de Cambridge héritier en second de la couronne du Royaume-Uni.
Décès
IVe siècle
303 : Georges de Lydda le « Saint Georges » ci-après des chrétiens et le patron de l'Angleterre (° v. 275 ou 280).
Richard Casanova, chef français du gang dit de la brise de mer (° ).
2013 : le mollah Omar (Mohammad Omar dit), seigneur de guerre et religieux taliban en Afghanistan, complice voire coauteur du terroriste Ben Laden (° v. 1950).
2022 : Arno (Arnold Charles Ernest Hintjens dit), chanteur et acteur europhile belge flamand, francophone et anglophone.
Célébrations
Internationales
Journée mondiale du livre et du droit d'auteur[6],[7] commémorant le même 23 avril de 1616 supra où décédèrent ou furent inhumés trois célèbres auteurs dont au moins deux pères de leurs littératures nationales européennes respectives de l'ère moderne : Miguel de Cervantes, William Shakespeare et Inca Garcilaso de la Vega (s'étaient-ils rencontrés, de leur vivant contemporain ?).
Première journée de la semaine mondiale pour la sécurité routière[8].
Angleterre (Royaume-Uni) : Saint George's Day(en) / « jour de la saint Georges » fête nationale anglaise dont la croix rouge du drapeau blanc (et indirectement celle de l'Union Jack britannique entremêlée avec les croix et fonds des saints André patron de l'Ecosse (30 novembre) et David patron du Pays de Galles (29 décembre) etc.) est surnommée croix de saint-George(s).
Brésil : dia nacional do choro[9]/ journée nationale du choro commémorant la naissance de Pixinguinha vers 1897.
Mythologie lettone et balte : festival de Jurģi(en), une variante linguistique locale du prénom Georges (date d'abord sans doute païenne christianisée ensuite par Saint Georges ci-après).
Scoutisme : occasion de célébrer le saint patron des scouts Saint Georges de Lydda ci-après dans plusieurs pays de traditions majoritairement chrétiennes[10](dont les États baltes ci-avant par exemple).
Bonne fête aux Georges et ses variantes : Georg, George, Georget, Georgi, Georgio, Georgy, Giorgio, György, Iouri infra, Jerzy, Jiří (plutôt que Jérémie et Jérémy les 1er mai ou Jérôme les 30 septembre), Jo (cf. Joseph et variantes les 17 mars par exemple), Jochen(?), Jord, Jordi, Jordy, Jorg, Jorge, Jorgen, Joris, Jorj, Jory, Jorys, Jürgen, Jurģi(en), Jurgit(h)a, Xurxo[12], Yorgi, Yorgis, Yorgos (6 mai orthodoxe)[13], Iouri, Youri, Yuri, Yury et Yuryi équivalents slavophones, Yurgi, Yurgit(h)a, Yurgod, Yurgos ; et pour formes féminines : George, Georgette, Georgia, Georgiana, Georgiane, Georgie, Georgina, Georgine, Giorgia, Gjorge [14], Marie-George(s), Xurxa, Yurga (cf. les Grégoire et leurs variantes les 3 septembre).
Les premiers épis récoltés en Europe étaient apportés à l'église et accrochés à la croix de procession pour augurer d'une bonne récolte.[réf. nécessaire]
« À la saint-Georges, la caille est dans l’orge. »[16]
« À la saint Georges, l'épi est dans la gorge. »
« À la saint-Georges, le millet vaut mieux que l’orge. »[16]
« À la saint-Georges, quitte tes avoines et sème (ou herse) ton orge. »[16]
« À la saint Georges, sème ton orge ; à la saint Marc, il est trop tard. »
« Entre Georges et Marquet [25 avril], un jour de l’hiver se met. »[16]
« Entre saint-Marc et saint-Georges, un seul beau jour peut faire de l’orge. »[17]
« Gelées de saint-Georges, saint-Marc et saint-Robert, récoltes à l’envers. »[16]
« Georget, Marquet, Vitalet [28 avril] et Croiset [3 mai], s'ils sont beaux, font du bon vin. »[18]
« Pluie de saint-Georges coupe aux cerises la gorge. »[19]
« Pluie de saint Georges, coupe aux prunes et aux cerises la gorge. »
« Pour la saint-Georges, sème ton orge. Pour la saint-Robert [30 avril], qu'il soit couvert. Mais si tu attends la Saint-Marc [25 avril], il est trop tard. »[16]
« Quand il pleut à la saint-Georges, il n'y a ni prune ni orge. »
« Quand il pleut à la saint-Georges, sur cent cerises, il en reste quatorze. »[20]
« Saint-Georges arrive souvent sur un cheval blanc. »[16](la légende du cheval blanc est une ellipse désignant le grésil ou la gelée blanche printanière)
« Saint Georges, saint Marc, sont réputés saints grêleurs. »
« Saint Georges, saint Marc, sont réputés saints vendangeurs. »
« S'il gèle à la saint Georges, sur cent bourgeons en restent quatorze. »
« S’il pleut le jour de la Saint-Georgeau, pas de fruits à noyau, ni guignes, ni bigarreaux. »[16]
« Si Saint-Georges n’est pas là, pas une hirondelle du ciel ne viendra. »[21]
↑Max Gallo, François Ier : Roi de France Roi-Chevalier Prince de la Renaissance française, Villeneuve d'Ascq & Mayenne, XO éditions, , 384 p. (ISBN978-2-84563-681-1), 7 (1526-1530), « Chapitre 43 (page 195) ».
↑Max Gallo, François Ier : Roi de France Roi-Chevalier Prince de la Renaissance française, Villeneuve d'Ascq & Mayenne, XO éditions, , 384 p. (ISBN978-2-84563-681-1), 11 (1538-1540), « Chapitre 67 (page 290) ».