Jean-Didier Berger
Jean-Didier Berger, né le à La Garenne-Colombes, est un homme politique français. Membre du parti Les Républicains, il est maire de Clamart dans le département des Hauts-de-Seine en région Île-de-France, puis député de la circonscription correspondante. BiographieOrigines et vie familialeNé le 23 janvier 1980 à La Garenne-Colombes[2], Jean-Didier Berger est marié et père de deux enfants : Robin et Florent. Lui et sa famille vivent aujourd’hui à Clamart au Jardin Parisien après avoir habité près du centre-ville[3]. Études et formationJean-Didier Berger est diplômé de l'Institut d'études politiques de Bordeaux[3]. Carrière professionnelleIl occupe des responsabilités auprès de Philippe Pemezec, maire de Le Plessis-Robinson et ancien député rapporteur de la loi d'orientation et de programmation pour la ville et la rénovation urbaine[3]. Il accompagne les collectivités à mettre en œuvre une nouvelle approche du logement et un véritable parcours résidentiel. Directeur de la société d'économie mixte départementale SEMPRO[2],[4] dédiée à l’aménagement urbain, à la construction et à la gestion de logements sociaux mais pratiquant aussi l’accession sociale à la propriété. Cette société travaille aujourd’hui au renouveau urbain de villes de tout parti politique[3]. Carrière politiqueLors des élections municipales de 2001, il apparaît sur la liste de Nicole Gouéta à Colombes. Il n'est pas élu. Le , Jean-Pierre Schosteck est élu député de la 12e circonscription des Hauts-de-Seine, lors de l'élection partielle organisée à la suite de l'invalidation de l'élection de juin 2007 de Philippe Pemezec ; Jean-Didier Berger est son suppléant. En , Jean-Didier Berger conduit la liste « Écouter pour agir à Clamart »[5] d'union « UMP – Parti Radical – Nouveau Centre »[5]. Compte tenu des résultats du premier tour, cette liste fusionne avec la liste « UDF, Modem, Divers Gauche, Divers Droite, écologistes et indépendants »[6] mais, au second tour, cette nouvelle liste n'arrive qu'en deuxième position avec 45,18 % des suffrages exprimés, derrière la liste d'union de la gauche avec 54,82 %[7]. Le 21 mars 2010, il est élu au conseil régional d'Île-de-France[2]. En 2013, il critique dans L'Express, Philippe Kaltenbach maire de Clamart qui s'accroche à son poste, alors qu'il est mis en examen dans une affaire de fraude aux HLM[8]. En mars 2014, la liste d'union de la droite « Unis pour agir à Clamart » qu'il conduit[9] est élue dès le premier tour avec 53,76 % des suffrages exprimés[10],[11]. Le , lors de la première réunion du nouveau conseil municipal, il est élu maire[12]. Le , en duo avec Isabelle Debré, il est élu conseiller départemental du canton de Clamart, puis, dans le cadre de la mise en œuvre de la métropole du Grand Paris, il est élu le , président de l'Établissement public territorial Vallée Sud Grand Paris[13]. En , il quitte LR en même temps que Valérie Pécresse après la défaite de la droite aux élections européennes de 2019. Il se présente sous l'étiquette « Libres ! » aux municipales 2020 avec le slogan « Clamart en toute sérénité »[14]. Dans l'équipe de campagne de Valérie Pécresse, candidate LR à l'élection présidentielle de 2022, il est chargé du suivi de l'opinion[15]. Lors des élections législatives de 2024, il est candidat dans la 12ᵉ circonscription des Hauts-de-Seine pour le parti LR soutenu par la majorité présidentielle[16],[17]. Il remporte les élections avec 53,86 % des votants[18]. Le non-cumul des mandats ne lui permet pas d'exercer comme député-maire. Mandats et fonctions politiquesMandats électorauxMandats actuels
Anciens mandats
Notes et références
Voir aussi
Article connexeLiens externes
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