Cette liste regroupe les grandes provinces historiques françaises, dont la plupart ont formé jusqu'en 1789 des gouvernements militaires, des ressorts de parlement ou des intendances. Certaines provinces historiques appartiennent toutefois à de plus grandes provinces :
Podhornie ou Horná zem (nord du pays, versants méridionaux des Carpates, que les Hongrois appellent « Haute-Hongrie » ou Felvidék, ce qui agace les Slovaques)
Podunavie ou Podunajská nížina (sud du pays, plaine danubienne)
Les cantons ont aujourd'hui une existence administrative mais quelques-uns, comme l'Argovie, les Grisons ou le Valais ont été d'anciennes provinces historiques avant leur adhésion à la Confédération suisse ; traditionnellement on parle aussi de « Romandie » pour désigner l'ensemble francophone, de « Suisse alémanique » pour désigner l'ensemble germanophone et de « Suisse italienne » pour l'ensemble italophone.
Crimée (rattachée de fait à la Russie depuis 2014)
Galicie, partagée entre l'Ukraine (est) et la Pologne (ouest)
Méotide (ou Donbass depuis la période soviétique, en partie contrôlée par des républiques sécessionnistes depuis 2014 et rattachée de fait à la Russie depuis 2022)
↑Une idéologie étroitement nationaliste considère qu'une province historique ne peut pas appartenir à plusieurs pays modernes mais doit s'encadrer dans les frontières actuelles d'un seul, soumettant ainsi l'histoire à la géographie actuelle : exemple ici [1] + [2] + [3].
↑Suivant l'usage acquis pendant la longue période soviétique, la géographie russe moderne n'utilise pas les noms historiques des régions traditionnelles de l'empire des Tzars, que la Moscovie a réunies, d'où les titres de « Tzar de toutes les Russies » et de « Patriarche de toutes les Russies » et la tendance historique des gouvernants et des patriarches russes à vouloir rattacher à la Russie les États et les Patriarcats voisins : Paul Hensel, Sara Mitchell, Andrew Owsiak, « Russian irredentist claims are a threat to global peace », The Washington Post, (lire en ligne, consulté le )