Opium (film)Opium
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution. Opium est un film français réalisé par Arielle Dombasle, librement inspiré d’Opium, journal d'une désintoxication de Jean Cocteau, sorti le . SynopsisLes amours contrariées de Jean Cocteau et Raymond Radiguet au début des Années Folles, jusqu'à ce que Cocteau sombre dans l'opium après la mort de Radiguet en 1923... Fiche technique
Distribution
Sélection
Accueil critiqueL'Obs met en évidence qu'« Arielle Dombasle (…) incarne le miroir féminin de Cocteau, comme un vœu sur mesure. »[1] Pour Sandra Benedetti, « Opium est une fantaisie que les surréalistes auraient adoubée. »[2] Dans Le Figaro, Éric Neuhoff estime que le film est « ahurissant de prétention » et le qualifie « d'amateurisme pompeux[3] ». « Objet bizarroïde pour happy few, potentiellement agaçant mais jamais rasoir, Opium dégage le charme étrange et capiteux d'une certaine liberté » », écrit Guillemette Odicino, dans Télérama[4]. Marie-Elisabeth Rouchy, dans Le Nouvel Observateur, estime qu' « en convoquant une distribution étincelante et grâce à un montage aussi kitsch qu'inventif, la réalisatrice, qui s'est octroyée le rôle de Mnémosyne, la déesse de la mémoire, signe un bel hommage à l'artiste disparu il y a cinquante ans. »[5]» « Il faut reconnaître ce grand mérite à Opium : on ne voit pas ça tous les jours. Et parmi la surcharge hétéroclite et sérieB-ique, le film trouve son confort dans une sorte de folie évanescente, non pas fumeuse mais fumée d'opium. Un rêve éveillé », écrit Louis Seguin dans Transfuge[6]. Dans le quotidien 20 Minutes, Stéphane Leblanc souligne qu'Opium « permet d’apprécier la fantaisie d’Arielle Dombasle pour rendre hommage au poète. »[7] Notes et références
Article annexeLiens externes
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