La sonate K. 160 en ré majeur est notée Allegro. Elle forme une paire avec la sonate suivante (que Parme présente inversée) et dont elle partage un discours ponctué de points d'orgue[1].
Premières mesures de la sonate en ré majeur K. 160, de Domenico Scarlatti.
Manuscrits
Le manuscrit principal est le numéro 13 du volume I (Ms. 9772) de Venise (1752), copié pour Maria Barbara ; les autres sources sont Parme I 14 (Ms. A. G. 31406), Münster IV 28 (Sant Hs 3967), Vienne B 28 (VII 28011 B)[2] et le numéro 7 du manuscrit Ayerbe de Madrid (E-Mc, ms. 3-1408, no 7)[3].
(es) Laura Cuervo Calvo, « El manuscrito Ayerbe : una fuente española de las sonatas de Domenico Scarlatti de mediados del siglo XVIII », Ad Parnassum, Ut Orpheus Edizioni, vol. 13, no 25, , p. 1–26 (ISSN1722-3954, OCLC1006521868, lire en ligne).
Les dates indiquées sont celles de l'édition des Essercizi et de la copie des volumes — et non la date de composition des œuvres.Les accolades figurent les paires ou les triptyques des manuscrits de Venise, Parme, Madrid et Saragosse, etc.Voir aussi : Concordances des catalogues et manuscrits des sonates