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Étrun

Étrun
Étrun
La Chapelle votive Notre-Dame-de-Pitié,
monument historique.
Blason de Étrun
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité CU d'Arras
Maire
Mandat
Michel Mathissart
2020-2026
Code postal 62161
Code commune 62320
Démographie
Gentilé Strumensiens
Population
municipale
321 hab. (2021 en évolution de +0,31 % par rapport à 2015)
Densité 145 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 18′ 54″ nord, 2° 42′ 07″ est
Altitude Min. 58 m
Max. 107 m
Superficie 2,22 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Arras
(banlieue)
Aire d'attraction Arras
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Arras-1
Législatives 2e circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Étrun
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Étrun
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Étrun
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Étrun
Liens
Site web etrun.fr

Étrun est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Strumensiens.

La commune fait partie de la communauté urbaine d'Arras qui regroupe 46 communes et compte 109 776 habitants en 2021.

Géographie

Localisation

La commune d'Étrun, située dans la vallée du Gy en Artois, se trouve dans le sud-est du département et à 7 km au nord-ouest de la commune d'Arras (chef-lieu d'arrondissement).

Carte
Carte interactive (cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de cinq communes :

Géologie et relief

La superficie de la commune est de 2,22 km2 ; son altitude varie de 58 à 107 m[1].

Hydrographie

Le Gy et sa petite cascade à Étrun.

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].

La commune est traversée par le Gy, d'une longueur de 8,09 km, qui prend sa source dans la commune de Montenescourt et se jette dans la rivière Scarpe au niveau de la commune de Duisans[3].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique d'Étrun[Note 1].

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 756 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Wancourt à 14 km à vol d'oiseau[6], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 711,4 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Milieux naturels et biodiversité

Espace protégé et géré

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[10].

Dans ce cadre, le territoire de la commune fait partie d'un espace protégé : le marais de Marœuil d’une superficie de 20,411 ha. Terrain géré (location, convention de gestion) par le Conservatoire d'espaces naturels des Hauts-de-France[11].

Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2] : la haute vallée de la Scarpe entre Frévin-Cappelle et Anzin-St-Aubin, le bois de Maroeuil et la vallée du Gy en aval de Gouves. Cette ZNIEFF, d’une superficie de 702 ha et d'une altitude variant de 60 à 115 m, s'inscrit dans un région agricole, dans une plaine dénudée avec deux vallées verdoyantes, celles de la Scarpe et du Gy[12].

Carte de la ZNIEFF sur la commune.

Urbanisme

Typologie

Au , Étrun est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Arras[Note 3], une agglomération intra-départementale regroupant 15 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[14],[15]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Arras, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[15]. Cette aire, qui regroupe 163 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (87,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (73,6 %), prairies (11 %), zones urbanisées (7,5 %), forêts (4,5 %), zones agricoles hétérogènes (2,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,8 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

Voies de communication

La commune est desservie par la route départementale D 939 qui relie Le Touquet-Paris-Plage et Arras[19].

Transport ferroviaire

La commune se trouve à 8 km, au nord-ouest, de la gare d'Arras, située sur la ligne de Paris-Nord à Lille, desservie par des TGV inOui et des trains régionaux du réseau TER Hauts-de-France[20].

Toponymie

Attestations anciennes

Le nom de la localité est attesté sous les formes Stroms au IXe siècle ; Estrum en 1053 ; Estrom en 1104 ; Strummum en 1115 ; Strumum en 1135 ; Struem en 1141 ; Stroem en 1155 ; Estruhem en 1179 ; Strumh en 1180 ; Struhem, Strumæ au XIIe siècle ; Estruem en 1227 ; Estroem au XIIIe siècle ; Estrem en 1302 ; Estrein en 1315 ; Estrain-l’Abbie en 1324 ; Estren en 1326 ; Struen en 1332 ; Estreun en 1363 ; Estrehem en 1402 ; Estrumes en 1403 ; Estroen en 1442 ; Estrunæ en 1551 ; Estrun au XVIIIe siècle[21], Etrun en 1793 ; Etrun et Étrun 1801[1].

Stroom en flamand[22].

Étymologie

Toponyme dérivant du germanique strom, « cours d'eau »[23].

Histoire

La commune est installée sur l'emplacement d'un ancien oppidum (agglomération fortifiée celtique) dont on peut encore discerner les remparts dans la topographie. Il s'agissait vraisemblablement de la capitale des Atrébates, peuple gaulois occupant le Sud-Est du Pas-de-Calais[24].

En 881, Louis le gros fait construire un retranchement où « il ne put trouver quelqu'un à qui confier cette forteresse pour la défendre[25] »

L'histoire de cette commune est marquée par la vie de l'abbaye des Dames d'Étrun. Pour être admises à l’abbaye bénédictine d’Étrun, les religieuses devaient faire la preuve de huit quartiers de noblesse, quatre paternels et quatre maternels. Toutes issues de la haute noblesse, les dames et demoiselles de l’abbaye d’Étrun recrutaient leurs servantes dans les familles bourgeoises et nobles de moins grande richesse.

Pendant la Première guerre mondiale, des soldats français affectés sur le front de l'Artois ont séjourné sur la commune, par exemple en février 1915[26].

Politique et administration

Découpage territorial

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais, depuis 1801[1].

Commune et intercommunalités

La commune est membre de la communauté urbaine d'Arras.

Circonscriptions administratives

La commune est rattachée au canton d'Arras-1. Avant le redécoupage cantonal de 2014, elle était, depuis 1991, rattachée au canton de Dainville[1].

Circonscriptions électorales

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la deuxième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1947 1971 Gabriel Ducroquet   Agriculteur
1971 1983 Adolphe Caron    
avant 1995 ? Jules Dumont   Chef d'entreprise
mars 2001 En cours
(au 19 février 2022)
Michel Mathissart PS puis DVC Ancien cadre
Conseiller départemental depuis 2021
Réélu pour le mandat 2020-2026[27],[28]

Équipements et services publics

Espaces publics

La commune fait partie des villages labellisés Village Patrimoine[29], qui œuvrent à mettre en avant leurs patrimoines matériels et/ou immatériels (historique, culturel, naturel, architectural, etc.).

Justice, sécurité, secours et défense

La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pôle nationalité du tribunal judiciaire d’Arras et du tribunal pour enfants d'Arras[30].

Population et société

Démographie

Les habitants sont appelés les Strumensiens[23].

Évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[32].

En 2021, la commune comptait 321 habitants[Note 6], en évolution de +0,31 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
190200220219237234251263268
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
282292298308296283294265248
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
236256230293236232247269324
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
378414367302336326329335317
2021 - - - - - - - -
321--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,3 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 154 hommes pour 156 femmes, soit un taux de 50,32 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,5 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
2,0 
7,3 
75-89 ans
11,2 
17,1 
60-74 ans
15,0 
20,4 
45-59 ans
24,7 
20,2 
30-44 ans
18,5 
14,9 
15-29 ans
11,8 
20,1 
0-14 ans
16,7 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2021 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,6 
75-89 ans
8,9 
16,7 
60-74 ans
18,1 
20,2 
45-59 ans
19,2 
18,9 
30-44 ans
18,1 
18,2 
15-29 ans
16,2 
19,9 
0-14 ans
17,9 

Économie

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Site classé

Un site classé ou inscrit est un espace (naturel, artistique, historique…) profitant d'une conservation en l'état (entretien, restauration, mise en valeur...) ainsi que d'une préservation de toutes atteintes graves (destruction, altération, banalisation...) en raison de son caractère remarquable au plan paysager. Un tel site justifie un suivi qualitatif, notamment effectué via une autorisation préalable pour tous travaux susceptibles de modifier l'état ou l'apparence du territoire protégé[36].

Dans ce cadre, la commune présente un site classé par arrêté du  : les parcelles suivantes au lieu dit le bois du mont César : 23, 26 à 29, 30p, 32, 33 section A 5[37].

Monuments historiques

  • La Chapelle votive Notre-Dame-de-Pitié fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques, par arrêté, depuis le [38].
    • Sur le dessus de la porte on peut lire : « … trois demoiselles religieuses d'Etrun … l'an 1624 ont fessé batard ces chapelle de Notre Dame de Pitié … »
    • La légende dit que trois religieuses ont été emmenées par un cheval emballé et qu'elles ont juré qu'elles bâtiraient une chapelle à l'endroit où le cheval s'arrêterait.
    • Il semble que la route de Saint-Pol à cette époque passait à cet endroit, son tracé fut rectifié ultérieurement.
  • La maison de campagne de monseigneur de la Tour-d'Auvergne est une propriété, comprenant une partie de l'oppidum gaulois, qui fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le et le [39] et où subsistent des vestiges de l'ancienne abbaye des Dames[40],[41].

Autres monuments

  • L'oppidum d'Etrun est un site fortifié d'une superficie de 42 ha. C’est le seul connu sur le territoire des Atrébates dont il fut sans doute le chef-lieu. Il a une forme ovale de 840 x 560 m. Son rempart haut de 7 à 8 m n’est conservé que dans ses parties orientale et occidentale. L’intérieur du site n’a pas fait l'objet de véritables fouilles archéologiques. Les objets mis au jour sont datés de l'âge du fer (La Tène) : quelques monnaies et céramiques[42].
  • Le monument aux morts[43].
  • L'église Saint-Nicolas. Cette église est le seul vestige de l'abbaye bénédictine de femmes de la haute noblesse, fondée au XIe siècle[44]. Cette église héberge 13 éléments patrimoniaux répertoriés dans la base Palissy dont cinq sont classés au titre d'objet des monuments historiques[45].
  • Le cimetière militaire de Duisans, situé sur le territoire de la commune à deux kilomètres à l'ouest.

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Blason de Étrun Blason
Parti : au 1er parti émanché de trois pièces de sable et d'or, au 2e d'azur à la crosse contournée d'or tenue par un dextrochère de carnation, mouvant de l'émanché et brochant sur le tout[46].
Ornements extérieurs
Croix de guerre 1914-1918
Détails
Armes de l'abbaye bénédictine des Dames.

Adopté par la municipalité en 1968.

.

Pour approfondir

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Bibliographie

  • B. Lesueur de Moriamé, Histoire d'Etrun : l'abbaye, la commune, Arras : impr. Repesse-Crepel, 1899. Texte en ligne disponible sur NordNum

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  4. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine d'Arras comprend une ville-centre et quatorze communes de banlieue.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  7. "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.

Cartes

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

  1. a b c d et e Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Le Gy (E2010660) » (consulté le )
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Étrun et Wancourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Arras » (commune de Wancourt) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Arras » (commune de Wancourt) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « Les espaces protégés. », sur le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  11. « espace protégé FR4505951 - Marais de Marœuil », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « ZNIEFF 310013279 - La haute vallée de la Scarpe entre Frévin-Cappelle et Anzin-St-Aubin, le bois de Maroeuil et la vallée du Gy en aval de Gouves », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « Unité urbaine 2020 d'Arras », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  15. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Arras », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  20. « Distance entre la commune et la gare d'Arras », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  21. « Dictionnaire topographique de la France », sur dicotopo.cths.fr (consulté le ).
  22. Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
  23. a et b Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
  24. Delmaire R., Carte archéologique de la Gaule : Le Pas-de-Calais (62/2), Paris : Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 608 p.
  25. Bernard Beck, Châteaux forts de Normandie, Rennes, Ouest-France, , 158 p. (ISBN 2-85882-479-7), p. 14.
  26. « Visionneuse - Mémoire des Hommes », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le ).
  27. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
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  30. « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Étrun (62320) », (consulté le ).
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  36. Articles L. 341-1 à 22 du code de l'environnement
  37. « Bilans annuel de la politique de classement des sites », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  38. Notice no PA00108274, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  39. Mémoires des antiquaires de France : 1817-1869, Volume 5 - éditeur Fournier, 1823 - A lire
  40. Notice no PA00108275, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  41. Bases de données Ministère de la culture.
  42. http://www.oppida.org/page.php?lg=fr&rub=00&id_oppidum=53
  43. « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
  44. « Église Saint-Nicolas / Ancienne abbaye des Dames d'Etrun », sur patrimoine-religieux.fr (consulté le ).
  45. « Éléments patrimoniaux de la commune inscrits ou classés au titre d'objet des monuments historiques. », sur le site du Ministère de la culture (consulté le ).
  46. « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
Kembali kehalaman sebelumnya