15 mai : fin du Kennedy Round dans le cadre du GATT. Cinquante nations représentant 80 % du commerce mondial parviennent à un accord dans la nuit. L’acte final est signé le 30 juin à Genève par 46 pays. Il décide la baisse des tarifs douaniers de 36 % à 39 % de certains produits industriels[2].
5 février : la TANU adopte le programme d’Arusha (Arusha Declaration) lancé par Julius Nyerere en Tanzanie pour le développement agricole[4]. Il préconise une réforme de l’agriculture par la « villagisation » ; dans cette version du « socialisme à l’africaine », l’industrialisation devait être réalisée dans un second temps, grâce au profit du secteur primaire et sans recours à l’endettement extérieur. Le nombre de villages passe de 1 200 (500 000 habitants) en 1970 à 8 216 (13 905 000 habitants) en 1979.
5 mai : la persistance de sérieuses difficultés économiques au Mali, des accords passés en février avec la France, qui envisage la rentrée à terme du Mali dans l’Union monétaire ouest-africaine, entraînent une dévaluation de 50 % du franc malien, à un moment où la balance des paiements accuse un déficit de 7,5 milliards de francs maliens. La France s’engage à soutenir la monnaie malienne et le FMI consent un important crédit[5].
26 mai : le général Yakubu Gowon, chef d’État du Nigeria, divise la fédération en douze États pour briser l’hégémonie du Nord, qui se trouve réparti en six unités[13]. Les Igbos (Ibo), qui dirigeaient jusqu’alors la région est, se voient coupés de la mer et des champs de pétrole.
24 juin : à la suite d’un référendum, la Constitution de la IIe République du Congo-Kinshasa, dite « Constitution révolutionnaire », est promulguée. Elle définit un État unitaire au régime présidentiel et un parlement monocaméral[14].
6 juillet : guerre du Biafra. Le gouvernement fédéral du Nigeria réagit à la sécession du Biafra en déclarant la guerre et organise un blocus[13]. La situation se complique par l’intervention de pays étrangers dont les ventes d’armes alimentent le conflit. Le Biafra est soutenu par la France, la Chine, la Côte d’Ivoire et la Tanzanie. Des luttes sanglantes et la famine font plus d’un million de morts de 1967 à 1970.
22 août, Mali : le Président Modibo Keïta annonce la dissolution du bureau politique du parti unique et la saisie par le Comité de Défense de la Révolution de la totalité des pouvoirs (CNDR). La constitution est suspendue. La situation économique l’oblige à dévaluer le franc malien qui entraîne un mécontentement général[5]. Les administrateurs ou les magistrats corrompus sont destitués ; en septembre, le Comité de Défense de la Révolution invite tous les cadres du pays à faire leur autocritique en leur adressant un questionnaire leur demandant ce qu’ils ont « fait de positif pour, de négatif contre, la révolution active »[16].
22 janvier : l’Unión Nacional Opositora, une coalition dirigée par le Parti conservateur du Nicaragua, appelle à une manifestation pour protester contre la fraude électorale. Cent mille personnes sont rassemblées place de la République à Managua. La Garde nationale mitraille la foule, massacrant plusieurs centaines de personnes sur l’avenue Franklin Roosevelt[22].
Février : la revue du ministère soviétique des Affaires étrangères, « Affaires internationales », écrit : « Stratégiquement, les Caraïbes forment une sorte d’hinterland qui conditionne la stabilité des États-Unis et leur liberté d’action dans d’autres parties du monde. »[25]
20 avril : après avoir rencontré Che Guevara et avoir passé quelques jours dans le maquis, Régis Debray est capturé à son retour par l’armée bolivienne et condamné le 17 novembre à 30 ans de prison en Bolivie[26] (libéré en 1970).
9 octobre : mort de Che Guevara au hameau de La Higuera en Bolivie. Capturé la veille, il est abattu de deux rafales par un sergent de l’armée bolivienne[32]. Ernesto "Che" Guevara avait installé quelques années auparavant un foyer (foco) de guérilla révolutionnaire dans la précordillère andine. Le lendemain, les soldats populariseront l’évènement en se faisant photographier par le reporter de l’agence UPI autour du cadavre à demi-dénudé étendu sur un brancard. Cette photo, où le Che porte cheveux longs et barbe, fera beaucoup pour sa légende ; la ressemblance avec le « Christ au tombeau » peint par Andrea Mantegna en 1490 est frappante de similitude.
recul du Parti du Congrès aux élections en Inde[38]. Il perd 78 députés, avec 40,8 % des voix (44,7 % en 1962). Les partis de droite progressent : le Jan Sangh (9,4 %) et le Swatantra, parti libéral (8,7 %) au détriment de la gauche. Sur le plan régional, le Congrès perd la majorité dans huit États sur quinze.
3 mars : les paysans du village de Naxalbari, au Bengale occidental, saisissent le riz d’un propriétaire foncier. L’épisode marque le début de la rébellion naxalite. Le naxalisme, un véritable courant révolutionnaire apparaît dans plusieurs régions de l’Inde (1967-1969). Au Bengale, une coalition la gauche marxiste(en) a pris le pouvoir le 2 mars, mais doit faire face à un mouvement révolutionnaire, le mouvement « naxalite »[39]. Parti d’une région tribale (Naxalbari) au pied de l’Himalaya, entre Népal, Bhoutan et Pakistan oriental, il réunit tribaux et hors-castes sous la conduite de militants maoïstes, qui occupent les terres dès 1967. Le mouvement s’étend rapidement au Bihâr, au Kerala et surtout en Andhra Pradesh.
2 avril, Cambodge : début de la révolte de Samlaut(en), quand deux soldats collectant du riz sont assassinés par des paysans à Samlaut (province de Battambang), qui prennent leurs armes. D’autres villageois les rejoignent, ils attaquent un camp des jeunesses révolutionnaires socialistes khmères et plusieurs postes de gardes provinciaux[40]. Le gouvernement de Lon Nol envoie des troupes pour éradiquer le mouvement, et les paysans armés s’enfuient dans la forêt.
2 mai : au Cambodge, Son Sann est nommé Premier ministre[41]. Malgré le soutien de la France, les difficultés croissent au Cambodge : révoltes paysannes de Samlaut, opposition des réactionnaires, maquis vietnamiens attirant les bombardements américains.
6 mai : début d’une période de troubles à Hong Kong contre la présence britannique. 21 personnes sont arrêtées par la police. La situation tourne à l’émeute à partir du 11 mai. L’ordre est restauré par les autorités le 14 mai. Le 15 mai, le ministère chinois des Affaires étrangères adresse une note de protestation auprès du gouvernement britannique. Le 22 mai, des manifestations devant la maison du gouverneur sont interdites par la police. Des affrontements entre policiers et manifestants éclatent. Les violences, grèves et manifestations continuent durant l’été (appel à la grève générale le 24 juin), suivies à partir d’août par une vague d’attentats terroristes menés par les communistes[43].
20 juillet : incident de Wuhan pendant la Révolution culturelle en Chine ; deux envoyés de Pékin, Xie Fuzhi et Wang Li, sont arrêtés par les autorités locales (Chen Zaidao) parce qu’ils favorisaient dans leur médiation une faction ouvrière favorable aux activistes maoïstes (« La triple union de l’acier »), en conflit avec les milices syndicales conservatrices (« Le million de Héros ») appuyées par l’armée provinciale[46].
29 septembre : discours de San Antonio ; devant deux mille parlementaires, le président Johnson propose de rencontrer les présidents Hô Chi Minh et de suspendre les bombardements sur le Nord-Vietnam si cela conduit rapidement à des négociations[66].
17 mars : des intellectuels croates, dont Miroslav Krleža, publient une « déclaration sur la position et l’appellation de la langue littéraire croate » dans laquelle ils dénoncent la domination en Croatie de la variante serbe (ékavienne) du serbo-croate et réclament la reconnaissance de sa variante croate (iékavienne) comme langue officielle[71]. Ils sont exclus du Parti communiste yougoslave. L’événement marque le début du mouvement social dit du « Printemps croate » qui culmine en 1971[72].
18 mars : le Torrey Canyon, un pétrolier géant, s’échoue sur des récifs proches des Cornouailles britanniques et laisse échapper une partie de ses 119 000 tonnes de pétrole brut[73].
26 mars : encycliquePopulorum progressio. Le pape Paul VI déclare que « la question sociale est devenue mondiale » et que « le développement ne se réduit pas à la simple croissance économique », il doit être intégral ; c’est « le nouveau nom de la paix »[74]. Pour diffuser ce message, il entreprend de nombreux voyages.
21 avril : coup d’État militaire et prise du pouvoir par les « colonels » en Grèce[76] (fin en 1974). Ils abolissent la Constitution et suppriment des libertés individuelles.
6 - 12 septembre : voyage de Charles de Gaulle en Pologne. Le 11 septembre, il prononce un discours devant la Diète (« la sécurité en Europe ne saurait résulter de l’affrontement de deux blocs mais de l'entente et de la coopération entre les peuples de l’Atlantique à l’Oural »)[87].
20 janvier : le 128e anniversaire de l’occupation d’Aden par la Grande-Bretagne est le prétexte d’une grève générale de vingt-quatre heures, qui dégénère rapidement en émeute[95].
2-4 avril : la Syrie réplique aux opérations de représailles israéliennes contre les commandos palestiniens en bombardant les implantations israéliennes de la frontière[96]. Le 7 avril, Israël lance un raid dans la région du lac de Tibériade, détruisant six MiG-21 de l’aviation syrienne[97].
17 avril : Israël bombarde le barrage Khaled ibn al-Walid, construit par les Syriens et les Jordaniens sur la rivière du Yarmouk[98].
11 mai : le premier ministre israélien Levi Eshkol menace la Syrie de nouvelles représailles[99].
12 mai : dans une interview à la presse, le chef d’État major israélien Itzhak Rabin menace d’occuper Damas et de renverser le régime syrien[100].
13 mai : les Soviétiques informent Le Caire et Damas que les Israéliens concentrent des forces à la frontière syrienne[97], ce qui est faux[100].
16 mai : l’Égypte demande le retrait des forces onusiennes de Gaza et de la région du golfe d’Akaba[97]. Des unités palestiniennes placées sous le commandement arabe occupent la bande de Gaza dès le retrait de la force internationale de l’ONU.
19 mai : Levi Eshkol, comme ministre de la défense, et l’État-major d’Israël décident une mobilisation à grande échelle des réservistes, approuvée par le Cabinet le 21 mai[101].
1er juin : un gouvernement d’union nationale est formé en Israël. Moshe Dayan prend le portefeuille de la défense et la droite israélienne entre dans le gouvernement (Menahem Begin). La solution militaire est adoptée le 4 juin[101]. La guerre des Six Jours commence (5 juin).
le chef du gouvernement du Liban, le sunnite Rachid Karamé, demande l’intervention de l’armée libanaise en Palestine. Le président Charles Helou et Émile Boustani, commandant en chef des forces armées, tous deux maronites, refusent, créant une scission entre chrétiens et musulmans libanais sur la question palestinienne[103].
les États arabes producteurs décrètent l’embargo des livraisons de pétrole vers les pays soutenant l’action israélienne (fin le 1er septembre)[104].
6 juin : l’armée israélienne envahit le Sinaï. Les forces égyptiennes ne sont pas préparées aux mouvements de grande envergure et le front égyptien est percé. Les forces égyptiennes se replient sur le canal de Suez[99].
8 juin : l’armée israélienne atteint le canal de Suez[99]. Le soutien aérien a été fondamental dans la victoire israélienne. Les opérations ont causé la mort de 10 000 égyptiens et la destruction de la plus grande partie du matériel militaire.
le cessez-le-feu israélo-syrien marque la fin de la « guerre des Six Jours »[99]. La Jordanie a perdu 6 000 hommes (tués, disparus ou déserteurs) sur une armée de 50 000 hommes contre 302 morts et 1 453 blessés du côté israélien[105]. 120 000 Syriens fuient ou sont expulsés du Golan dans les six mois. Seuls les 7 000 Druzes du plateau sont autorisés à y demeurer[106]. La conquête du Golan sert les ambitions israéliennes dans la maîtrise des eaux. Les territoires occupés (Cisjordanie et Gaza) sont peuplés d’un peu plus d’un million d’Arabes dont la moitié sont des réfugiés de 1948. 200 000 personnes fuient vers la Jordanie entre juin et septembre[106]. Le nombre total de réfugiés Palestiniens est de 1,3 million contre 960 000 en 1950, dont 600 000 en Jordanie.
le ministre de la défense égyptien Shams Badran, le général Abdel Hakim Amer, chef de l’État-major, sont démis de leurs fonctions ainsi que les principaux généraux. Badran et Amer tentent d’organiser un complot contre Nasser mais sont arrêtés le 25 août et placés en résidence surveillée[107]. Amer se suicide le 14 septembre[108].
11 juin : pont aérien entre Moscou et Le Caire pour rééquiper l’armée égyptienne[108].
17 juin : la conférence des ministres arabes des Affaires étrangères à Koweït décide le maintien de l’embargo pétrolier des États-Unis et de la Grande-Bretagne[108].
19 juin : discours du président Johnson à Washington. Les États-Unis définissent leur position au Proche-Orient : la responsabilité de la guerre est due à la fermeture du golfe d’Akaba par Nasser, les États-Unis n’exerceront aucune pression sur Israël hors du cadre d’un règlement général de la question, reposant sur cinq principes (droit de reconnaissance de l’existence de toutes les nations, justice pour les réfugiés, libres circulations des voies maritimes internationales, limitation de la course aux armements, indépendance et intégrité nationale de toutes les parties)[109].
21 - 24 juin : visite au Caire de Nikolaï Podgorny, membre du Præsidium du Soviet suprême, et du chef d’état-major soviétique, le maréchal Zakharov[110]. Nasser demande un accroissement de l’aide soviétique et accepte la présence de militaires et de conseillers, afin de neutraliser le territoire égyptien contre toute attaque israélienne et reconstituer son potentiel militaire[108]. Le Ve Eskadra, la flotte de guerre soviétique en Méditerranée, double ses effectifs fin juin. Nasser charge l’Union soviétique de représenter l’Égypte dans les négociations de paix.
23 - 25 juin : sommet de Glassboro (New Jersey) entre Johnson et Kossyguine[111]. Kossyguine insiste sur la nécessité du retrait des troupes israéliennes pour éviter la reprise de la guerre. Johnson campe sur ses cinq principes[108].
1er juillet : un commando égyptien tente de déloger les forces israéliennes de Rass-el-Aïch (Ras el Ush), près de treize kilomètres au sud de Port-Fouad, sur la rive orientale du canal de Suez. Une guerre d’usure commence entre les deux pays le long du canal[112].
1er-5 août : les ministres des Affaires étrangères arabes se réunissent à Khartoum[113]. L’Égypte propose le retrait des forces égyptiennes du Yémen en échange de la formation d’un front arabe uni contre Israël. Nasser espère obtenir une aide financière des pays pétroliers pour reconstituer son armée.
15-20 août : les ministres des finances, de l’économie et du pétrole arabes réunis à Bagdad décident de soumettre la question de la levée de l’embargo au sommet de Khartoum[114].
29 août-1er septembre : IVe sommet Arabe de Khartoum, qui réunit huit chefs d’États arabes, en l’absence de la Syrie. Nasser et Fayçal parviennent à s’entendre. L’Égypte confirme son évacuation du Yémen du Nord, l’embargo pétrolier est levé, 20 % des revenus pétroliers seront versés au pays arabes de la ligne de front avec Israël[104]. Khartoum scelle la réconciliation entre régimes progressistes et conservateurs. C’est la fin de l’antagonisme égypto-saoudien. À l’issue de la conférence, les huit pays adoptent la résolution de Khartoum : ils s’engagent à ne pas reconnaître Israël et à ne pas négocier ni conclure de traité de paix. Ils proclament que les États occupés par Israël sont arabes et la tâche de les récupérer incombe à tout État arabe[70].
22 novembre : résolution 242 du Conseil de sécurité des Nations unies prévoyant le retrait d’Israël des territoires occupés en échange de la reconnaissance de tous les États de la région, cessation de l’état de belligérance entre Israël et les Arabes, respect de la reconnaissance de l’intégrité territoriale de tous les États de la région, liberté de navigation sur les voies d’eau internationales, règlement de la question des réfugiés, création de zones démilitarisées. L’Égypte, le Liban et la Jordanie acceptent la résolution. La Syrie et les Palestiniens refusent. Israël interprète le texte dans sa version anglaise : retrait de « territoires occupés » et non « des territoires occupés » de la version française[70].
30 novembre : le Yémen du Sud, ex-protectorat britannique, accède à l’indépendance[115]. Les Britanniques cèdent le pouvoir à un Front National de Libération (cf. 1970). La fragilité de la région s’accroît. Le régime sud-yéménite est menacé par une guérilla organisée par les forces pronassériennes et les forces de tendance marxiste.
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