30 , le prince Prosper-Louis d'Arenberg leva en Belgique et équipa à ses frais (partiellement) un régiment de cavalerie appelé d'abord « chevau-légersbelges du duc d'Arenberg » ; Il s'agit de l'unique régiment de cavalerie belge ayant fait partie intégrante de la Grande Armée. Au début de sa création, il compte 4 escadrons à 2 compagnies. Mais en 1807, il ajoute un 5e escadron, dénommé 'Contingent' conformément aux exigences de Napoléon vis-à-vis de la confédération du Rhin, escadron entièrement à charge du Prince.
: Renommé 27e régiment de chasseurs à cheval, à la suite de son passage dans la ligne après décision de l'Empereur qui ainsi peut élargir ses capacités de puiser dans la population pour de nouvelles recrues, dont des conscrits. Cependant, ce régiment ne lèvera pratiquement jamais de conscrits.
1814 : Le 27e régiment de chasseurs à cheval sera dissous peu de temps après l'abdication de Napoléon Ier.
Chefs de corps
1811 : Prosper-Louis d'Arenberg ; blessé les à l'affaire de Gibraléon (Espagne), et à Arroyo-del-molino (Espagne) où il est fait prisonnier des Anglais.
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
Historique des garnisons, campagnes et batailles
Garnisons successives
La dénomination des engagements est strictement celle reprise dans les dossiers régimentaires officiels. Elle n’est aucunement tirée d’un ouvrage historique quelconque. S’échelonnant dans une échelle de gradation allant de la simple escarmouche à la bataille rangée, ces faits d’arme souvent intitulés « affaires » servent à glorifier le soldat, de même qu’à le récompenser de sa bravoure par une promotion ou toute autre gratification émanant du Ministère de la Guerre.