- : combats vers Malancourt. Puis stabilisation du front et occupation d'un secteur entre Béthincourt et Avocourt, étendu à droite jusqu'à la Meuse vers Forges[5].
- : front limité à droite à Béthincourt ; à partir du , front limité à gauche à Malancourt.
20 - : attaques françaises sur le bois de Forges.
: combats.
: attaque allemande au bois de Malancourt.
1915
8 - : retrait du front et mouvement vers Souilly ; repos[5].
- : mouvement vers le front par Les Islettes. À partir du , occupation d'un secteur dans la région de Massiges jusqu'à l'Aisne, réduit à droite le jusque vers Ville-sur-Tourbe[5].
14 - : retrait du front. À partir du , transport par V.F. de la région de Sainte-Menehould vers celle d'Épernay[5].
- : mouvement vers le front et occupation d'un secteur vers la ferme des Marquises et le nord-est de Saint-Léonard[5].
9 - : occupation d'un secteur vers la butte de Souain, étendu à gauche le jusqu'à la ferme Navarin[5].
- : retrait du front. À partir du , transport par V.F. au nord d'Épernay[5].
- : mouvement vers le front et occupation du secteur de Reims entre le nord-ouest de Saint-Léonard et La Neuvillette[5].
1916
- : mouvement de rocade et occupation d'un secteur vers la ferme des Marquises et le nord-est de Saint-Léonard, déplacé à gauche, le entre le bois des zouaves et les abords est de Reims[6].
7 - : retrait du front ; instruction vers Ville-en-Tardenois. À partir du , transport par V.F. vers Revigny ; repos[6].
- : transport par camions dans la région de Verdun. Engagée dans la bataille de Verdun entre la Meuse et le bois d'Haudromont[6].
20 - : retrait du front et transport par V.F. vers Fismes[6].
- : mouvement vers le front et occupation d'un secteur vers Soissons et Pernant[6].
- : retrait du front, puis à partir du , occupation d'un secteur vers Troyon et le moulin Pontoy[6].
- : retrait du front et transport à Toulouse ; instruction[6].
- : au fur et à mesure du débarquement, mouvement vers les camps de Zeitenlik et de Toptchi ; repos, travaux, instruction (éléments portés à Ekchisou)[6].
- : mouvement de toute la division vers Ekchisou et Banitsa ; repos. Le , mouvement vers Jivonia, puis le retour vers Ekchisou et Salonique[6].
- : embarquement à Salonique à destination de la Grèce centrale (service d'ordre[6] lors de la prise de pouvoir d'Elefthérios Venizélos à Athènes).
- : transport par V.F. en Macédoine, dans la région de Boukovo ; repos. En , occupation d'un secteur à l'ouest de Monastir, dans la région cote 1248, crête Bani Planina. Actions locales fréquentes[7].
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Le franchissement du Danube à Sistova et Nikopoli commence le au matin[8]. À partir du , la division fait mouvement vers Bucarest, la Dobroudja et la Bessarabie[7].
Et tous les services (compagnie de sapeurs mineurs, compagnie télégraphique, compagnie radio, 30e groupe sanitaire divisionnaire, 30e parc d'artillerie divisionnaire, groupe d'exploitation etc.)
Jean Bernachot, Les armées françaises en Orient après l'armistice de 1918 (AFO), vol. 2 : L' Armée du Danube, l'armée française d'Orient (28 octobre 1918 - 25 janvier 1920), , 447 p. (lire en ligne).