De gueules à la tour d'or accostée de deux étoiles d'argent et surmontée d'un ostensoir aussi d'or accosté de deux étoiles aussi d'argent, le tout enfermé dans un trescheur croiseté de huit pièces du même.
De sinople au pont en dos d'âne d'une arche et deux demies d'argent maçonné de sable, mouvant des flancs, posé sur une rivière aussi d'argent, surmonté d'un lion couché contourné du même, accompagné, en chef à dextre, d'un roc d'échiquier aussi d'argent et, à senestre, d'un écusson cousu d'azur au chêne arraché d'or, de quatre branches passées en double sautoir, sommé, à dextre, d'une mitre du même et, à senestre, d'une tête de crosse épiscopale contournée aussi d'or.
Détails
* Ces armes emploient le terme « cousu » dans le seul but de contrevenir à la règle de contrariété des couleurs : elles sont fautives : azur sur sinople. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Parti : au premier d'azur à la coupe sigillée d'or, au second d'or aux quatre pals de gueules, le tout sommé d'un chef d'azur chargé de trois fers de lance d'argent.
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Différences entre dessin et blasonnement : coupe d'or uniquement. Adoption officielle au cours de l'année 2008 suivant une décision du conseil municipal du 18 juin 2008[2].
Parti: au 1) d'azur à un chêne englanté d'or à trois racines et quatre branches passées en sautoir; au 2) d'argent à une paire de skis de gueules en pal, les semelles affrontées.
D'azur à deux Aquilons d'argent mouvant des angles du chef, leurs souffles prolongés par deux bouffadous du même passés en sautoir et accompagnés en chef d'une abeille, à dextre d'une épée posée en barre et à senestre d'une clé posée en bande, le tout d'or; au mont de trois coupeaux posés en fasce d'argent et chargé d'une roue de moulin de gueules[4].
Différences entre dessin et blasonnement : Les Aquilons sont dessinés occupant les angles du chef, mais sont dits mouvant de ceux-ci ; Les trois coupeaux sont dits posés en fasce, mais dessinés égaux et rangés en fasce et posés à plomb.
1) D'hermine au chef d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or ; sur le tout, d'or au lion couronné de gueules, l'écusson touchant le trait du chef.
2) D'azur aux deux clefs liées et passées en sautoir, accostées des lettres U et V onciales, et à la croix épiscopale brochante, le tout d'or, sur le tout de gueules au chef émanché aussi d'or de quatre pièces.
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Il s'agit des blasons respectifs des anciennes communes ayant fusionnées pour fomer Bourgs sur Colagne : Chirac et Le Monastier-Pin-Moriès. Adopté par la municipalité.
D'azur au mont de six coupeaux d'argent, à la fasce ondée de sinople chargée de trois flammes d'or brochant en pointe, surmontée d'un bâton de pèlerin en forme de canne de berger de gueules aussi brochant, une gourde du même brochant sur le fût sous la crosse, accompagné en chef de deux étoiles de six rais aussi d'argent.
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Conflit héraldique : le dessin ne représente pas nettement six coupeaux. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
De gueules à la bande d'argent chargée de quatre feuilles de chêne du champ posées à plomb, accompagnée en chef d'une cloche et en pointe de deux moutons passants rangés en bande, celui en pointe brochant sur celui en chef, le tout d'argent.
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Armes parlantes.
(allusion étymologique au chêne) Approuvé par délibération du conseil municipal le 28 octobre 2015[6].
Écartelé : au premier et au quatrième de gueules à trois roses d'or, au deuxième et au troisième fascé d'or et d'azur de six pièces ; sur le tout d'argent à l'aigle de sable.
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Approuvé par délibération du conseil municipal en 1956[7]
De sinople au calice d'or accompagné en chef d'une coquille versée d'argent et en pointe d'une jumelle ondée du même; à huit épis tigés et feuillés d'or mouvant de la pointe en deux bouquets de quatre, de part et d'autre du calice et de la coquille, et brochant sur la jumelle[8].
D'or aux trois pals d'azur, au chef de gueules ; à l'écusson d'argent en abîme, chargé d'une aigle bicéphale de sable, becquée et membrée de gueules, et d'une cotice du même brochant.
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Approuvé par délibération du conseil municipal le 29 avril 1956[9]
Parti : au 1er de sinople à une tour ruinée d'argent, maçonnée de sable et ouverte du champ, au 2d d'argent à un manteau de gueules posé sur le fil d'une épée basse d'or, posée en barre ; au chef d'or chargé de quatre pals de gueules[10].
Détails
Création Jean-François Binon. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Parti : au 1er d'argent à trois fasces ondées d'azur, au 2d coupé au I d'or à un caducée d'azur, au II de sinople à un glaive renversé en barre d'argent, garni d'or[11].
Parti : au 1er de sinople à une crosse d'évêque contournée d'or, au 2d d'or à deux montagnes isolées de trois coupeaux de sinople, l'une au-dessus de l'autre[12].
Divisé en chevron renversé: au 1er d'azur à un pont droit d'argent maçonné de sable et mouvant de la partition et accompagné dans l'arche d'une roue de moulin d'argent, au 2e de sinople chargé des lettres onciales A et M d'or[14].
De pourpre à un fayard (hêtre) arraché de sinople, à une salamandre contournée et regardante d'argent languée et allumée de gueules brochant sur le fût de l'arbre, accompagnés en chef, à dextre, d'une croisette de Malte, à senestre, d'une coquille, et, mouvant de la pointe, de trois coupeaux rangés en fasce, le tout d'argent.
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Conflit héraldique : la salamandre n'est pas représentée languée et allumée de gueules. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Chapé-ployé: au 1) d'or au hêtre arraché de gueules; au 2) parti d'argent à l'aigle de sable, et d'azur à la tour d'argent ouverte et ajourée du champ[15].
Coupé-crénelé: au 1er d'azur à deux fontaines d'argent, au 2e de sinople à deux fontaines d'argent; à la hallebarde contournée du même brochant en cœur[8].
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Armes parlantes.
(fontaines) Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Écartelé, au 1 et 4 de gueules à un tonneau d'or, au 2 et 3, d'azur à une amphore d'or ; sur le tout : d'argent à l'aigle de sable (qui est de Peyre)..
Détails
M. Michel Thuault officialisé le 24 avril 2010[20]
Pas d'information pour les communes suivantes : Julianges
D'or à quatre pals de gueules, le pal de senestre chargé en chef d'une fleur de lis d'argent; sur le tout, un écu en bannière d'or chargé d'une tête de loup contournée, arrachée de gueules, allumée et dentée d'argent[8].
Parti : au premier d'argent à la couronne de laurier de sinople, au chef de gueules chargé de trois étoiles d'or, au second de gueules au lion d'argent, accompagné de sept besants du même ordonnés en orle.
De sinople à la tour d'argent, ouverte, ajourée et maçonnée de sable, au chef cousu d'azur chargé d'une lettre M onciale d'or, au franc-canton d'argent chargé d'une croix patriarcale de gueules.
Détails
* Ces armes emploient le terme « cousu » dans le seul but de contrevenir à la règle de contrariété des couleurs : elles sont fautives : Azur sur sinople. Approuvé par délibération du conseil municipal, date inconnue[22]
D'azur au château de trois tours d'argent, celle du milieu plus haute, le château ouvert, ajouré et maçonné de sable, surmonté d'une main dextre vêtue d'un gantelet aussi d'argent tenant une fleur de lys d'or.
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Approuvé par délibération du conseil municipal, date inconnue[23]
"marque" concédée en 1419 à la communauté des habitants pour estampiller les draps de laine vendus aux foires de Meyrueis, par le comte Jean IV d'Armagnac, baron de Meyrueis. Devenue armoiries de la ville en 1432 lors le l'institution du Consulat en remplacement du Syndicat institué en 1229. Enregistrées à l'Armorial d'Hozier en 1696 (certificat conservé aux archives municipales)
D'azur aux deux clefs liées et passées en sautoir, accostées des lettres U et V onciales, et à la croix épiscopale brochante, le tout d'or, sur le tout de gueules à quatre émanches d'or en chef.
D'argent aux deux bêtes du Gévaudan affrontées de sable, allumées et armées de gueules, sur un mont de sinople, surmontées d'une croisette de Malte aussi de gueules.
De sinople au pont en dos d'âne de deux arches inégales d'argent, flanqué à senestre d'une tour couverte du même, maçonnée de sable, ajourée du champ, posé sur des ondes aussi d'argent mouvant de la pointe, la tour adextrée d'une abeille volant d'or.
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Conflit héraldique : le blasonnement dit la tour ajourée du champ ; le dessin la représente ajourée d'argent. Approuvé par délibération du conseil municipal en avril 1950[29]
Parti au premier gironné d'argent et d'azur à la couronne à l'antique brochant en cœur, au second d'or à l'aigle au vol abaissé et à la tête contournée de sable.
Parti de gueules et d'azur au monogramme de la Vierge AM entrelacé d'argent accompagné de douze étoiles d'or ordonnées en orle et, en pointe, d'une fontaine jaillissante aussi d'argent, le tout brochant sur la partition ; au chef émanché d'or de quatre pièces.
D'azur à deux léopards affrontés d'or tenant entre leurs pattes antérieures une tête humaine, posés sur un listel, le tout d'or; au chef de vair de trois tires; à trois besants d'or chargés chacun d'une croisette pattée de gueules, deux en chef et un en pointe[8].
Tranché : au premier d'or au château donjonné de gueules, le donjon accosté de deux haches d'armes adossées d'azur, au second d'argent à l'aigle de sable ; à la bande ondée de sinople brochant sur la partition ; au pont en dos d'âne de trois arches de gueules maçonné de sable brochant en abîme sur le tout, l'arche centrale de la largeur de la bande[31].
D'or, au pairle ondé d'azur, accompagné en chef d'un calice gallo-romain, sigillé, de gueules et de deux roses feuillées et tigées du même aux flancs[32].
Détails
Armes parlantes.
(roses) Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Parti: au 1er de gueules à l'étoile d'or,au 2e d'argent à deux fasces de gueules; au pal ondé d'azur, chargé de trois rochers d'or brochant sur la partition[33].
D'azur, à une tour d'argent, maçonnée de sable, posée sur une plaine herbée cousue de sinople et accostée de deux brebis affrontées aussi d'argent passant sur la plaine ; le tout accompagné en chef de trois fontaines de même[36].
De gueules au pont de trois arches, sommé d'un château de deux tours, le tout d'argent maçonné de sable; chaussé d'or chargé de deux têtes de lions affrontées de vair, couronnées et lampassées de gueules ; le tout sommé d'un chef échiqueté d'azur et d'argent de deux tires[37].
Détails
Conflit héraldique : le blasonnement annonce un pont de "trois arches" ; le dessin n'en montre qu'une. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
D'or au château sommé de trois tours de gueules, ouvert, ajouré et maçonné de sable, la tour du milieu plus élevée, accostée de deux haches d'armes adossées d'azur.
Détails
Approuvé par délibération du conseil municipal, date inconnue[38]
Écartelé : aux 1 et 4, de sable, à la croix engrêlée d'or, cantonnée de dix-huit billettes du même, 5 à chaque canton du chef, et 4 à chaque canton de la pointe, aux 2 et 3, d'argent, à deux fasces de gueules (de Barre) ; sur le tout, d'azur, au bélier d'argent, accorné et onglé d'or, accompagné en chef d'une étoile d'or.
Parti: au 1er d'azur au cristal de neige d'argent en chef et à l'épée d'or la pointe brochant au centre du cristal, au 2e d'or au château de deux tours, donjonné d'une tour plus élevée, d'azur maçonné de sable, le donjon accosté de deux haches adossées d'argent mouvant du château[41].
Coupé: au 1er d'azur aux clefs de Saint-Pierre passées en sautoir, celle posée en bande d'or, l'autre d'argent, au 2e d'argent au vautour de sable, la tête contournée et le col d'argent, membré du même, becqué de sable, posé sur un mont de sinople de trois coupeaux sommant une rivière de deux ondes d'azur mouvant de la pointe[42].
D'azur à l'écusson d'or chargé de six tourteaux de gueules en orle, accompagné de trois fleurs de lys aussi d'or, au chef bastillé de cinq pièces cousu de gueules chargé d'une couronne à l'antique d'or, accostée de deux lys de jardin d'argent, tigés et feuillés d'or, mouvant du trait du chef.
Détails
Approuvé par délibération du conseil municipal, date inconnue[43]
Écartelé: au 1er d'or à la lettre capitale L d'azur, au 2e de sinople au rencontre de vache au naturel, au 3e de gueules à la branche de gentiane tigée, feuillée et fleurie au naturel, au 3e d'or à la lettre capitale S d'azur[44].
D’azur, à une voûte caussenarde en lauze d'argent, cantonné en chef de deux feuilles de hêtre d’or, montant en barre et en bande; à un dolmen d'argent posé sur une plaine herbée d'or, accompagné en chef d'une gerbe de blé de neuf épis d’or et accosté de deux demi brebis affrontées d’argent, mouvant des flancs de l’écu ; le tout brochant sur la voûte.
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L’attachement à l’agropastoralisme qui anime la commune de La Tieule est marquée par les brebis, la plaine herbeuse et la gerbe de blé.
Cette gerbe de blé est composée de neuf épis pour chacun des lieux habités : La Tieule, Le Lebous, Longviala, Pertuzades, Le Duc, Malavilette, La Falgette, Lou-Claouzet et La Foulguière.
Le dolmen indique la présence de celui du Lebous.
L’azur reprend le champ des armes du seigneur de Canilhac, fondateur de la baronnie du même nom et dont l’influence s’étendait jusqu’à La Tieule. Le blason exact est « d’azur au lévrier rampant d’argent, colleté et onglé de gueules à la bordure componée d’argent ». La reprise intégrale du blason de famille étant interdite pour les municipalités il suffit d’en emprunter un ou plusieurs éléments.
La voûte recouverte de lauze traduit le nom du village (La tuile) et permet de marquer le patrimoine architectural de la commune typiquement caussenard avec ces toits de lauzes sur voûte comme on les trouve sur chacun des huit lieux habités.
Les deux feuilles de hêtre symbolisent les bois.
Les ornements représentent deux fleurs de cardabelle de sinople, fleuries d'or, mises en sautoir par la pointe et liées d'argent, le village se trouvant sur le Causse de Sauveterre.
Le listel d'argent porte le nom de la commune en lettres majuscules de sable.
La couronne de tours dit que l’écu est celui d’une commune ; elle n’a rien à voir avec des fortifications.
Conflit héraldique : le dessin ne laisse pas voir le fait que tout broche sur la voûte. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
D'azur au cep de vigne arraché, feuillé et fruité de quatre grappes de raisin, soutenu d'une tierce ondée, le tout d'or; chaussé de gueules chargé de deux tours d'or maçonnées de sable et ouvertes du champ[8].
Détails
Armes parlantes.
Conflit héraldique : la tierce, annoncée "ondée" dans le blasonnement, n'est pas représentée comme telle. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
↑ ab et cMarius Balmelle et Robert Louis, Armorial des communes du département de la Lozère : Chefs-Lieux de canton, t. 1, Mende, Georges Caussignac, , 56 p., p. 19
↑« Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
↑Marius Balmelle et Robert Louis, Armorial des communes du département de la Lozère : Chefs-Lieux de canton, t. 1, Mende, Georges Caussignac, , 56 p., p. 22
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↑Marius Balmelle et Robert Louis, Armorial des communes du département de la Lozère : Chefs-Lieux de canton, t. 1, Mende, Georges Caussignac, , 56 p., p. 28
↑Marius Balmelle et Robert Louis, Armorial des communes du département de la Lozère : Chefs-Lieux de canton, t. 1, Mende, Georges Caussignac, , 56 p., p. 29
↑Marius Balmelle et Robert Louis, Armorial des communes du département de la Lozère : Chefs-Lieux de canton, t. 1, Mende, Georges Caussignac, , 56 p., p. 30
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↑« Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
↑Adopté en août 2009, Lozère Nouvelle du 21 août 2009, p. 47
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↑ a et bMarius Balmelle et Robert Louis, Armorial des communes du département de la Lozère : Chefs-Lieux de canton, t. 1, Mende, Georges Caussignac, , 56 p., p. 52
↑« Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
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↑Marius Balmelle et Robert Louis, Armorial des communes du département de la Lozère : Chefs-Lieux de canton, t. 1, Mende, Georges Caussignac, , 56 p., p. 51
↑Marius Balmelle et Robert Louis, Armorial des communes du département de la Lozère : Chefs-Lieux de canton, t. 1, Mende, Georges Caussignac, , 56 p., p. 55